Hm Le Miroir a l'avantage d'être très court mais faut vraiment connaître le bonhomme, Stalker me semble une bonne idée sinon Andrei Roublev mais il est très long. Sinon Solaris... De toutes façons il va falloir t'accrocher au début ^^ évite de regarder si t'es fatigué haha. Après t'as toujours L'enfance d'Ivan, c'est le plus facile à regarder je trouve mais c'est pas forcément le plus représentatif.

Stalker je l'ai choppé je me le ferait un jour meme si je me suis bien fait spoilé la gueule sur le net
 
Dolan c'est du cinéma gay mais pas que ce qui m'a deranger dans les amours imaginaires c'est l'accent  du quebec deja ( on comprend mais c 'est chaud des fois ) et surtout une espece de tension malsaine enfin c'est bizarre , l'univers du film est étrange a moitié feutré à moitié malsain

Ah je savais pas que c'était un québécois.  
L'accent québécois c'est au dessus de mes limites.

Premières image du prochain film de Gaspar Noé "Love".
http://www.letempsdetruittout.net/article-very-first-visual-for-gaspar-noe-s-love-nsfw-porn-sex-123704012.html
Intéressant

5 ans après l'incommensurable Koyaanisqatsi, Godfrey Reggio poursuis ce qu'il a entrepris et nous livre le 2ème volet de sa trilogie Qatsi.
Reggio est vraiment un grand, il fait preuve d'une justesse avec ce film vraiment incroyable. A un tel point que son propos se reflète totalement dans ses images, il y'a vraiment un message et une réflexion clair et précise tout au long du film. Il sais ce qu'il cherche a faire, et sais retranscrire son idée a travers ses images. C'est vraiment incroyable.
Alors certes le film laisse aussi la place au ressenti personnel, comme dans Koyaanisqatsi le film peut être perçu différemment selon la personne, avec toujours cette force incroyable en terme de réflexion, mais ici c'est d'autant plus frappant et clair, Reggio s'est totalement fait comprendre.
Comme dans Koyaanisqatsi à la fin du film nous est dévoilé la signification du titre, ("Qatsi" voulant dire "Vie" en langue Hopi) nous expliquant donc la grande thématique du film et donc, ce vers quoi Reggio veut en venir. Pour Koyaanisqatsi, la traduction n'était pas forcément ce a quoi je pensais en premier. Alors que pour Powaqqatsi, c'était absolument ce a quoi je pensais a chaque instant du film.
Je trouve ça d'ailleurs con qu'il mettent sur les affiche "Life in transformation", parce que ça trahis un peu le film. Le traduction est placé a la fin , et ça prend tout son intérêt a la fin , ça percute d'autant plus.
Sinon c'est drôle de voir a quelle point Koyaanisqatsi et Powaqqatsi se répondent, c'est vraiment 2 faces d'une même pièce. Et on vois que Reggio a vraiment réfléchis son oeuvre, parce que c'est vraiment une trilogie très cohérente quoi (du moins pour ces 2 premiers volets).

En voyant ce film là j'ai beaucoup relativisé sur les films de Ron Fricke (qui a réalisé Samsara et Baraka, 2 films qui reprenne le concept des films de Reggio, et rappelons aussi que Ron Fricke était le chef opérateur sur Koyaanisqatsi). Maintenant il me paraissent nettement moins bon que ce qu'a fait Reggio, alors esthétiquement ça envoi du patté (et encore, je trouve que ça n'égal pas(a par pour le plan de la Geisha qui est HALLUCINANT) ce que peut réussir a retranscrire Reggio. Reggio provoque parfois des moment de poésie ou encore de l'abstrait, et c'est d'autant plus percutant aussi), mais en terme de réflexion, de profondeur etc... c'est rien et même artistiquement parlant, Reggio est au dessus. D'ailleurs la grande différence entre Fricke et Reggio, c'est que les films de Reggio ne sont pas décousu , tout s'enchaîne parfaitement avec cohérence du début à la fin. Alors que pour Fricke, ses films sont assez bancal, il ne sais pas allié dureté et douceur/beauté alors que Reggio ses films montre justement ça , la dureté et la beauté ainsi que la douceur comme si c'était un tout ('"il faut de tout pour faire un monde"). Donc pour moi il n'y aucun doute Reggio surpasse Fricke en tout point.

Je n'ai pas encore vraiment parlé Powaqqatsi, mais y'a pas mal de chose a dire. Déjà qu'on se le disent, c'est un chef d'oeuvre. Pas au niveau de Koyaanisqatsi on est d'accord, mais ça n'en reste pas moins un immense film encore une fois. Ici c'est très différent, Reggio ne filme pas la société et la modernité (il me semble que dans Koyaanisqatsi tout est filmé aux USA). Mais au contraire il fait place au pays qui vivent plus simplement, c'est donc les pays d'afrique, d'amérique du sud ou encore l'inde et autres pays pauvres... Donc des endroit avec une culture ou la nature, les tradition et la spiritualité sont important, ou l'argent, le consumérisme, l'individualisme et autre n'ont pas leurs place. Cependant progressivement le film va devenir de plus en plus dure, on se rendras compte que ces peuple bascule la dedans ou en tout cas ils s'y dirige. Et ce que Reggio nous montre, c'est que c'est a cause de ce mode de vie (typiquement américains/occidental) qu'ils ont tant de misère. Et pire, ils sont pris dans une spirale ou de toute façon ils sont obligé de suivre cet idéal de vie, il sont conditionné petit a petit mais c'est un idéal qui ne peut absolument pas être atteint par ces peuples, c'est une folie pure qui les mène a l'abattoir.
En gros Koyaanisqatsi, exposais toute l'absurdité de notre société et notre système, le monde moderne (la société est un circuit électronique...). Tandis que Powaqqatsi lui nous montre le décalage entre ce monde moderne et le monde traditionnel , qui lui ne peut que subir et est condamné a devoir suivre ce model de vie moderne.
C'est un film principalement sur la pauvreté, et c'est franchement dure.
A part ça, bah c'est visuellement sublime. Reggio comme je le disais avant, a un style parfois poétique et abstrait, ses images sont très parlante et frappante, ce qui donne quelque chose de vraiment sensationnel.
Au niveau de la bande son, Philip Glass encore. Depuis que je l'est découvert j'aime de plus en plus ce qu'il fait, c'est vraiment un grand compositeur.
Encore une fois il fait du très bon travail. Cependant ça n'arrive pas a la cheville de ce qu'il a fait sur Koyaanisqatsi... Mais ça reste génial. Et puis faut dire que dans la trilogie Qatsi, la bande son est extrêmement importante, disons que c'est 40% du film.

Bref, un chef d'oeuvre qui cependant n'égal pas Koyaanisqatsi mais n'en reste pas moins d'une richesse incroyable.

Mon dieu j'ai vu Melancholia, SU-BLIME 
Très cynique et déprimant, mais vraiment incroyable, la fin est juste a coupé le souffle.

Strange Circus (de Sono Sion) :
Un putain de chef d'oeuvre    
Claque monumentale, Sono Sion est un génie. Le film n'est pas malsains, mais étrange, je le trouve par exemple moins malsains comparé a Guilty of Romance qui est un film assez "extrême" (sans pour autant être choquant). Mais pour Strange Circus, je n'ai pas vraiment trouvé ça malsains. Alors c'est du Sono Sion, donc ça reste assez spécial, mais le film est tellement beau et poétique que ce qu'on appel "malsain" moi je l'appel "sublime". Après il faut connaitre un peu Sono Sion pour regardé ce film, parce que c'est vraiment pas très accessible.
Bref du grand art, je pensais pas que Sono Sion était capable de tels choses, maintenant je vais pouvoir me plongé dans sa filmographie la bave au lèvre.

9/10

Naqoyqatsi (de Godfrey Reggio)
Bon ce dernier volet de la trilogie Qatsi est hyper décevant. Autant en terme de fond c'est super intéressant et riche (plus que Powaqqatsi je trouve même), autant sur la forme c'est assez, hum... dégueulasse.
J'ai trouvé le film affreusement moche, j'ai eu a certain moment un sentiment de dégoût pour tout dire... Enfin cependant même avec des images moche Reggio arrive a faire quelque chose d'intéressant. Et je doit dire que j'ai apprécier malgré tout. Alors de base je tiens en haute estime Reggio et les 2 précédant film de sa trilogie, donc le film je le prend avec le coeur, j'ai pas envie de le détesté quoi. Je pense par contre que quelqu'un qui n'a pas vue les autres film et ne connais pas Reggio, risque de déteste le film. Cependant la bande son (de Philip Glass une fois encore) est vraiment sublime, du début a la fin.

6/10

Comme N.B j'avais vu amour imaginaire sur Arte.. J'avais eu du mal à accrocher mais finalement, il a vraiment une patte cinématographique j'aime bien. J'ai vu le début de Laurence Anyways mais je me suis endormie (non pas que c'était ennuyant mais j'étais vraiment épuisée).. Mais du coup je vais tout remater dans la semaine, Tom à la ferme, Martyr et tout.. Y a trop de gens autour de moi qui m'en parle de Dolan donc ça me tracasse.

C'est un génie torturé par son orientation sexuelle et sa maman c'est ca?

Putain n'empêche le type a pondu 2 film cette années et apparement il taff déjà sur un nouveau projet... C'est bien en tout cas il a de l'énergie.
Je pense que je vais me faire sa filmographie.

Ce soir je matte Tabou de Miguel Gomes parait que c'est un pur chef d'oeuvre

Tetsuo (de Shinya Tsukamoto) :
Ca fait longtemps que j'avais envie de me lancé dans du Tsukamoto et j'ai donc commencé par son tout premier film (et aussi son plus connu).
Alors j'ai rien vu de tel je croit que c'est le film le plus fou que j'ai vue, c'est vraiment totalement barré. C'est typiquement le genre de film que soit t'adore soit tu déteste. Et moi j'ai adoré, pour moi c'est vraiment une perle, un film unique, bourré d'idées génial et puis c'est tourné avec aucuns moyens, ce qui donne un énorme charme au film. Et puis bon cette noir/blanc est génial
Franchement c'est pas un film que je conseillerais a tout le monde, parce que c'est vraiment... hum.. disons que le film viens d'une autre galaxie

8/10

vous avez entendu parler du film mommy ? il à l'air d'être lourd aussi

On en parle sur le topic du festival de Cannes

Pusher III (de Nicolas Winding Refn) :
C'est celui qui m'a mis le plus mal a l'aise, le plus dur, celui qui va le plus loin.
Ce qui est incroyable, c'est la profondeur que Refn arrive a donné a ses personnage, Milo en est l'exemple parfait. Dans les Pusher précédent, c'était un peu celui qui tirais les ficelle, un caïd, le genre de personne avec qui on ne déconne pas. Il avais une certaine place qui faisais de lui en quelque sorte un homme intouchable (et méprisable), mais dans ce 3ème opus (et dernier) c'est le contraire. En passant Milo en personnage principal, Refn nous montre a quelle point il est loin de l'image qu'on pouvais se faire de lui avant.
On a vraiment de la compassion pour lui, c'est un personnage incroyablement humain, pas autant que le personnage de Mads Mikkelsen, mais on est pas loin.
Après je trouve tout de même le film, dans l'ensemble, un peu moins "coup de poing" que les 2 autres, mais il reste tout de même génial.

En tout cas cette trilogie est vraiment balaise, c'est incroyablement vrai et ça nous prend vraiment aux tripes.

8/10

Chef d'oeuvre absolu. Sans aucun doute le meilleurs film d'animation que j'ai vue, et aussi l'un des meilleurs films (tout court). Il n'y pas de mots pour décrire ce film, ça doit se vivre et se ressentir avant tout, et surtout se contemplé.
Parsemé de référence biblique (Noé), avec quasiment aucun dialogue, des plans contemplatif, une ambiance fantomatique, douce et a la fois mélancolique. Un film riche. Riche en tout.
Et la ou le film fait très fort c'est dans l'animation (et je pèse mes mots. Parce que entre nous... j'ai envie de crier tout les sons du mondes tellement ce film est esthétiquement divin, la plus belle chose qui m'est été donné de voir a l'écran). Que ce soit les décors, digne d'Alien, ou du style (très simpliste et humble, mais d'une beauté écrasante) ou même de l'ambiance avec ces couleurs très mélancolique mais en même temps lumineuse. Y'a pas a dire, c'est un chef d'oeuvre absolu (aurais-je oublié de dire que la bande son est génial aussi ?).

Bref, Mamoru Oshii est en passe de devenir l'un de mes réalisateurs préférer, j'ai hâte de voir Avalon, Patlabor 2 et Jin Roh (qui n'est pas totalement son oeuvre cependant).

J'ai regardé deux classiques que j'avais mis de côté, bizzarement j'ai mis du temps à m'y mettre

Easy Rider de Dennis Hoper : Le film est vraiment cool, même si les images ont bien vieillies, mais je pense que la puissance du film c'est surtout l'ambiance. Vraiment l'impression d'être défoncé rien qu'en regardant et en écoutant le film.. et la scène du cimetière est vraiment oppressante. Sinon, scénario parlant, la fin est un peu décevante, et dans sa globalité j'ai pas trop aimé.. lent et sans but.
6,5/10

Sin City de Frank Miller, Rodriguez et Tarantino (Guest) : Enorme claque. Le style bande dessiné adapté à la perfection, des scénarios, des dialogues, des personnages de dingue j'ai adoré ! Marv est génial, Hartigan aussi ! Une ambiance folle ! Rien à dire j'ai carrément kiffé, je pense même acheter la BD pour le coup, en attendant le 2ème volet.
9/10

GODZILLA

Gareth Edwards

Godzilla ou tout ce que je déteste en 2h15 , j'ai entendu parlé d'un jeune prodige concernant Gareth Edwards ? Il à du se perdre dans le système hollywoodien parce que ce que j'ai vu c'était digne d'un Roland Emmerich en petite forme.Film banal , blockbuster banal Godzilla ne réserve aucune surprise et j'irais même plus loin , quand certaine scène commence bien quelque chose vient les pourrir derrière ( Je pense la à 2 scènes qui aurait pu être magique , celle ou le commando sur un toi tire des fusée rouge pour éclairer godzilla pour commencer elle aurait pu être bien mais les secondes de silence qui impose un vrai respect et une peur au spectateurs sont vite gâché par la musique en fond et pareil pour la scène des parachutistes qui est gâché par une musique de fond affreuse ) Pourquoi ne pas avoir offert à ce film une froideur comme Contagion de Soderbergh par exemple ?  avec des silence flippants et des scènes qui prennent à la gorge ?

Au lieu de ça on à le blockbuster typiquement ricain avec les militaires qui se font éclater pendant tout le film , la jolie fille , les répliques naze , et la fin heureuse ou tout le monde est content . Je n'ai pas vu les précédents Godzilla à part celui de Emmerich donc difficile de jugé de la fidélité de l’œuvre a celle d'origine mais le créateur doit se retourner dans sa tombe.

Reste la scène ou Godzilla crache son feu dans la gorge de son adversaire volant que j'ai bien aimé mais à part ça .... le vide intégrale

3/10

HMK a écrit:

J'ai regardé deux classiques que j'avais mis de côté, bizzarement j'ai mis du temps à m'y mettre

Easy Rider de Dennis Hoper : Le film est vraiment cool, même si les images ont bien vieillies, mais je pense que la puissance du film c'est surtout l'ambiance. Vraiment l'impression d'être défoncé rien qu'en regardant et en écoutant le film.. et la scène du cimetière est vraiment oppressante. Sinon, scénario parlant, la fin est un peu décevante, et dans sa globalité j'ai pas trop aimé.. lent et sans but.
6,5/10

Sin City de Frank Miller, Rodriguez et Tarantino (Guest) : Enorme claque. Le style bande dessiné adapté à la perfection, des scénarios, des dialogues, des personnages de dingue j'ai adoré ! Marv est génial, Hartigan aussi ! Une ambiance folle ! Rien à dire j'ai carrément kiffé, je pense même acheter la BD pour le coup, en attendant le 2ème volet.
9/10

C'est qui ? L'homme au 1000 noms ?

pédé