N.B a écrit:

Leinad a écrit:

N.B a écrit:

Emporté par sa vindicte contre ceux qui avaient osé le braver, le général de Gaulle s’en prit avec acharnement non seulement aux hommes, mais aussi à l’ordre spirituel vivant dont ces derniers se réclamaient. Ainsi, par le jeu du hasard, le plus militaire des politiques a-t-il enseveli ce qui demeurait d’authentique au cœur de la plus ancienne nation d’Europe. Pour toujours ? Répondre affirmativement serait admettre la superficialité de la structure mentale des peuples. Non. Ce qui a été renaîtra.

Dominique Venner

Mdr un forum de rap ou ça site du dominic venner , on l'a vraiment infiltré et pulvérisé jusqu'à la moelle , ce rap de merde

J'y ai pensé, ça m'a au moins autant fait rire que toi haha ...  

(Dominique* )

« Nous pouvons aussi nous référer à un mot d'Augustin : " L'homme a une entrée secrète de la nature divine où toutes choses sont pour elle anéanties ". Cet accès, seul le pur détachement le permet sur Terre; quand celui-ci devient parfait, l'âme devient par connaissance, sans connaissance, par amour, sans amour et par l'illumination, obscure. »

Traité du détachement, Maître Echkart

.:: CàmisOle ::. a écrit:

« Nous pouvons aussi nous référer à un mot d'Augustin : " L'homme a une entrée secrète de la nature divine où toutes choses sont pour elle anéanties ". Cet accès, seul le pur détachement le permet sur Terre; quand celui-ci devient parfait, l'âme devient par connaissance, sans connaissance, par amour, sans amour et par l'illumination, obscure. »

Traité du détachement, Maître Echkart

Belle citation

Elle est effectivement magnifique

《 Si notre vie manque de souffre, c'est-à-dire d'une constante magie, c'est qu'il nous plaît de regarder nos actes et de nous perdre en considération sur les formes rêvées de nos actes, au lieu d'être poussé par eux (...). Et s'il est encore quelque chose d'infernal et de véritablement maudit dans ce temps, c'est de s'attarder artistiquement sur des formes, au lieu d'être comme des suppliciés que l'on brûle et qui font des signes sur leurs bûchers 》

Antonin Artaud

http://mecaniqueuniverselle.net/extention/eckhart-0.php

Tel un aigle et L'horloge de la sagesse de Suso doivent valoir le coup également.

.:: CàmisOle ::. a écrit:

« Nous pouvons aussi nous référer à un mot d'Augustin : " L'homme a une entrée secrète de la nature divine où toutes choses sont pour elle anéanties ". Cet accès, seul le pur détachement le permet sur Terre; quand celui-ci devient parfait, l'âme devient par connaissance, sans connaissance, par amour, sans amour et par l'illumination, obscure. »

Traité du détachement, Maître Echkart

Pour ceux qui n'auraient pas bien compris : il faut s'attarder sur le verbe devenir , C'est l'âme qui devient, c'est à dire que sa conscience d'exister se fait savoir (ou plutôt connaître) par la connaissance , l'amour et l'illumination qui ne peuvent véritablement survenir qu'avec un pur détachement de soit même, un abandon total de sa personne.

« Ceux qui sont seulement dans leur chemin ne connaissent que le chemin où ils marchent, et n'enseignent que celui-là; comme ils sont bien loin du but, ils condamnent sans miséricorde toutes les autres voies, ne voyant rien de meilleur que la leur; ils écrivent avec impétuosité sur une voie où ils ne sont qu'à peine, veulent porter tout le monde à y marcher et comme ils n'ont point franchi le premier obstacle qu'ils ont trouvé, ils se persuadent qu'on ne peut aller plus loin sans s'égarer. Ils écrivent de la sorte; et comme ces personnes ont souvent de l'autorité, ils entraînent une foule de gens après eux, qui croiraient être perdus s'ils outrepassaient la première barrière. »



Des deux sortes d'Écrivains des choses mystiques ou intérieures, Discours spirituels

plutôt que de m’exposer à encourir demain le mépris d’autrui, je préfère aujourd’hui repousser les avances d’autrui. Plutôt que de m’exposer demain à un avenir plus triste, je préfère supporter aujourd’hui une moindre tristesse. Trop de liberté, trop d’indépendance, trop d’égoïsme : telle est notre époque actuelle. Pour expier le péché d’y être nés, c’est une évitable nécessité sans doute que, tous, nous en partagions la tristesse !

Natsume

Rien de ce à quoi nous donnons une importance excessive n'en a réellement.
Si nous ne donnons aucune importance particulière à quoi que ce soit, là seulement, les choses importantes se révèlent à nous.
Puis nous comprenons que nous ne devons pas nous attacher à elles car bien qu'elles soient importantes, elles ne le sont que relativement et non pas réellement.

ptdrrr cette immonde branlette sans fin... j'aimerai bien savoir de qui c'est ca encore

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"Arrivés dans de telles époques de décadence, nous trébuchons et vacillons comme des êtres à qui manque l'équilibre. Nous vivons alors dans des temps écoulés ou dans des utopies lointaines, cependant que l'instant s'enfuit..."

Ernst Jünger - Sur les falaises de marbre

https://fr.wikisource.org/wiki/La_Bienvenue_Nuit_d%E2%80%99hiver

" La contribution positive de Schopenhauer est d'avoir signalé que, si les souffrances de l'amour trahi ou brisé dépassent toutes les autres, ceci est dû à un élément non empirique ou psychologique, mais transcendantal, au fait que dans tous ces cas, ce n'est pas l'individu fini, mais l'individu essentiel et éternel qui est frappé : il ne s'agit pourtant pas de l'espèce en lui, mais bien de son noyau le plus profond, dans son besoin absolu d'être, son besoin de confirmation, allumé par l'eros et la magie de la femme. "

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" On peut lire la même chose concernant la jalousie et la fidélité. Ni la nature ni l'espèce, ne les demandent comme nécessaires à leurs buts. Le contraire serait même naturel parce que l'attachement à un seul être ne peut pas ne pas représenter un facteur limitatif pour la libre pandémie génésique, pour l'emploi d'autres êtres offrant des possibilités biologiques égales, sinon meilleures, pour la reproduction. Au contraire, on peut comprendre que si une femme aimée donnée réalise les conditions que le besoin d'auto-confirmation et d'être soit apaisé, pour que soit atténuée la privation existentielle de la créature, pour qu'on s'achemine vers la possession de la Vie en soi-même, l'idée que cette femme nous trahit ou passe à d'autres donne la sensation d'une fracture mortelle, de quelque chose qui lèse le noyau existentiel le plus profond de soi-même : cela, d'autant plus, dans la mesure où la situation décrite plus haut d'un eros avec un petit degré de déplacement est présente. "

Métaphysique du sexe, Julius Evola, 1958

« L'homme à ceci en commun avec Dieu que, de même que Dieu est perçu différemment par l'homme selon qu'il lui apparaît sous un bon ou un mauvais aspect - ou pour être plus exact, sous un aspect qui lui apparaît comme était bon ou mauvais -, de même, l'homme est perçu par son prochain, et lui plaît ou non, selon qu'il a ou non un tempérament qui peut s'accorder avec le sien et permet, dans une certaine mesure, d'être aimé ou non par lui. Là où la comparaison s'arrête, c'est que l'homme diffère de Dieu en ce qu'il peut-être affecté ou non par le désamour d'autrui ; Dieu, dans son essence, en reste inaffecté.

Concernant les sages, on a pu lire, surtout dans l'Extrême-Orient, qu'ils sont " insensibles à l'opinion des masses " et que pour eux, " un oui et un non sont équivalents ". »

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La fourmi ne voit pas le monde comme l'aigle le voit.

https://www.google.com/amp/s/contesarever.wordpress.com/2012/04/28/le-fil-daraignee/amp/

" Parfois, comme dans certains labyrinthes, l'on peut avoir l'air d'être perdu et sembler revenir sur ses pas, tandis qu'en réalité, on prend un virage en épingle, à 360° pour ainsi dire ; et c'est peut-être cet instant charnière qui détermine notre arrivée vers la porte étroite de la sublime sortie. "

" Lorsqu'on mange un fruit acide mais sucré - comme un agrume par exemple - juste après avoir mangé un fruit doux et sucré - comme la banane ou la mangue - l'acidité nous paraît d'autant plus forte que notre langue s'était habituée à une douceur sucrée. Si nous mangeons un agrume ou un pamplemousse, puis une banane ou une mangue en revanche, l'acidité, bien que présente, sera moins forte. Ainsi ce n'est pas toujours les choses en elles-mêmes qui sont déterminantes, mais les circonstances dans lesquelles elles nous parviennent. "

De la Lumière vient la Vie.
De la Lumière et de la Vie... vient l'Amour.
ankh oudja seneb

Nous ne croyons pas à la subjectivité de la Beauté. Certes, chacun peut avoir des préférences, lorsqu'elle s'exprime sous telle ou telle forme, mais qui ne s'est pas ému pareillement devant un couché de soleil, un paysage enneigé ou le corps nu d'une femme ? Par ailleurs, il convient de préciser que le fait que nous rejetons l'idée de subjectivité de la Beauté n'implique pas que nous croyons à son caractère objectif. Pour nous la Beauté est un absolu qui s'offre à celui dont l'âme est suffisamment nette pour qu'Elle se reflète en lui et qu'Elle le pénètre de façon à le faire participer à son Être.

Le soleil se fiche bien de savoir s'il nous brûle, nous réchauffe ou nous éclaire. On cause parfois du tort à quelqu'un, sans le savoir ; mais le plus beau est lorsqu'une personne vous fait du bien sans qu'elle ne le sache, elle non plus. Le soleil est l'exemple parfait du détachement parfait. Par-delà bien et mal, il est.

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Qui aime le printemps doit adorer l'hiver.