Au fait, tu n'es pas sans ignorer que je m'appelle Brice. C'est un prénom d'origine celte qui est relatif à l'idée de force (tu as des attaches en Bretagne n'est-ce pas ? Peut-être que tu as aussi des racines allemandes mais comme je te l'avais dit, il y a des racines qu'il vaut mieux couper surtout quand on ne sait pas s'en servir pour se nourrir et qu'au contraire elles nous tuent à petit feu). Mon nom c'est Carré, si tu as un peu lu ce qu'a pondu le Guénon sur le symbolisme géométrique et que tu le lies à la loi de l'analogie, tu comprendras vite que toutes tentative de fuite sera vaine.

Merci

J'avais oublié 2 points (je trouvais étrange qu'on n'arrive pas à 7 étant donné le contexte)

6 On agit parce qu'il serait indigne de baisser les bras.

L'activisme n'est pas une bonne façon d'agir. L'action sans le désir d'agir l'est.

7 Cela signifie être à soi-même sa propre norme par fidélité à une norme supérieure.

Ce passage est le plus fort de tout son texte. La vérité exprimée sans l'avoir comprise. Dieu ait pitié de lui car là est résumé tout ce à quoi notre existence doit nous mener effectivement. (Guénon l'explique très bien). Dommage qu'il fut prisonnier de la mauvaise partie de son âme. Mais à l'heure qu'il est...

.:: CàmisOle ::. a écrit:

Au fait, tu n'es pas sans ignorer que je m'appelle Brice. C'est un prénom d'origine celte qui est relatif à l'idée de force (tu as des attaches en Bretagne n'est-ce pas ? Peut-être que tu as aussi des racines allemandes mais comme je te l'avais dit, il y a des racines qu'il vaut mieux couper surtout quand on ne sait pas s'en servir pour se nourrir et qu'au contraire elles nous tuent à petit feu). Mon nom c'est Carré, si tu as un peu lu ce qu'a pondu le Guénon sur le symbolisme géométrique et que tu le lies à la loi de l'analogie, tu comprendras vite que toutes tentative de fuite sera vaine.

Merci

Mais à qui parlez-vous ?? Et quelle arrogance... Le prénom ne fait pas l'homme et vous en êtes d'ailleurs la preuve puisque vous êtes faible... Vous ne faites que vous accrocher aux branches au lieu de tenir debout tout seul... Et ce, depuis des années... Vous vous parlez à vous-même dans l'espoir de vous auto-convaincre....... Votre foi est votre doudou... Quant aux tentatives de fuite, ça vous connait #GoToSleep alors par pitié ne vous étendez pas là dessus...

Je n'ai pas de tendance sadique, je t'ai assez giflé sur Instagram il me semble hahaha. Et il avait le toupet de me dire que je n'arrivais pas à décrocher d'RB. Dur dur de décrocher quand des morbacks comme toi se croient inviter à squatter mon slip. Fais attention à ce que je ne te fasse pas un remake des chambres à gaz en direct, là au moins personne ne pourra dire qu'elles n'ont pas existées.

Allez dégage, je t'ignore désormais car je te connais.

Dans ma tête je t'appelle Kirikou maintenant car il est petit mais possède une grande force. Toi tu es grand mais niveau force tu es mon négatif, un zéro pointé (1m95 pour 105 kilos, enfin avec tout ce que je t'ai fait transpirer t'as du maigrir, tu dois ressembler à un somalien à l'heure actuelle).

.:: CàmisOle ::. a écrit:

Je n'ai pas de tendance sadique, je t'ai assez giflé sur Instagram il me semble hahaha. Et il avait le toupet de me dire que je n'arrivais pas à décrocher d'RB. Dur dur de décrocher quand des morbacks comme toi se croient inviter à squatter mon slip. Fais attention à ce que je ne te fasse pas un remake des chambres à gaz en direct, là au moins personne ne pourra dire qu'elles n'ont pas existées.

Allez dégage, je t'ignore désormais car je te connais.

Dans ma tête je t'appelle Kirikou maintenant car il est petit mais possède une grande force. Toi tu es grand mais niveau force tu es mon négatif, un zéro pointé (1m95 pour 105 kilos, enfin avec tout ce que je t'ai fait transpirer t'as du maigrir, tu dois ressembler à un somalien à l'heure actuelle).

Vous me connaissez si mal en réalité... Votre égo est touché par ma remarque et c'est pour cela qu'au lieu de vous défendre sur le fond vous tentez bêtement de m'attaquer là où vous avez été blessé ; l'égo... Vous n'êtes pas sadique mais très susceptible pour quelqu'un de fort #JeVousBriceSiFacilement #JeVousDéboiteLégo ..... Si vous me connaissiez si bien vous sauriez que votre piètre tentative n'atteindrait pas sa cible.... Pourtant vous essayez quand même, mdr... Vous êtes tourmenté par vos obsessions, je vous fais partir en couille à la moindre remarque... Vous vous permettez d'être très vindicatif et cassant avec autrui mais lorsque je le suis un petit peu avec vous, vous fiottez...... Depuis que vous êtes seul à discuter avec vous-même ici, votre tête a multiplié de volume mon pauvre... Votre apparente assurance excessive est complètement fallacieuse...... Quelque part, vous le savez encore au fond de vous...

Bien à vous

« Dans le Saint Coran, le corps de la femme est parfois comparé au champ qu'il faut labourer, ce qui a le don de faire bondir certaines féministes actuelles. La raison de leur incompréhension est simple. La plupart d'entre elles n'ont connu que l'agriculture intensive, les pesticides, la brutalité et le bruit infernal des machines, qui détruisent plus qu'elles ne produisent. Si elles avaient pu connaître un agriculteur qui a l'amour de la terre, qui aime voir le jour se lever pendant qu'il laboure son champ avec soin et vigueur, sème, arrose et patiemment, contemple la nature se transformer chaque jour sous ses yeux, lui faisant oublier, voire même apprécier la dureté de sa tâche, leur regard sur la question serait tout différent. Mais voilà, malheureusement, elles n'ont connu que la force brutale de l'homme. »

« La salutation islamique "Asalamu aleykoum" possède un sens très profond et est plus qu'un simple salut de convenance comme cela semble trop souvent être le cas. Par cette parole, lorsqu'elle est prononcée avec une profonde sincérité, on souhaite à celui à qui on l'adresse que la Paix s'installe en lui, comme une colombe qui, dans son cœur, viendrait établir son nid pour chasser les mauvais serpents qui y siègent déjà ou tenteraient d'y entrer. Au-delà des simples mots, les intentions priment. Les paroles, accompagnées d'intentions sincères, reçues par quelqu'un qui n'y est pas habitué, peuvent faire vibrer son cœur au point que le doute est déstabilisé et commence à trembler. Mais comme le doute est l'un de ces serpents particulièrement obstiné, il faudra parfois à la colombe plus d'une tentative pour le chasser. Ne vous entourez que de gens qui vous souhaitent une Paix sincère. La colombe est seule et innocente. Les serpents sont nombreux et parfois venimeux. Pourtant, un regard de sa part peut suffire à tous les tuer. »

Je pense que l’émergence du mouvement Antifa (abréviation d’antifasciste) doit être vue comme une réponse au fardeau psychologique pesant sur les hommes blancs progressistes qui se définissent eux-mêmes comme féministes et antiracistes. En devenant «antifas», ils ont la possibilité d’affirmer une virilité qui serait, sinon, inacceptable. Pour la première fois de sa vie, un jeune homme peut arrêter de s’excuser d’exister et être l’agresseur, (pourvu que ce soit) contre les nazis. C’est pour cette raison que les nazis sont "devenus indispensables".

Matthew Crawford.

Le soir, je prenais ma canne et me promenait par les sentiers étroits, qui déroulaient leurs arcs à travers un paysage vallonné. Les champs envahis par les mauvaises herbes portaient des fleurs à l'odeur plus forte et plus sauvage. Parfois, au bord du chemin, on tombait sur des arbres isolés, sous lesquels les paysans avaient du faire halte au temps de la paix, inondée de fleurs blanches, roses ou rouge sombre, spectacle magique au sein de la solitude.

La guerre avait posé sur la face de ce paysage, sans en abolir la grâce, des teintes héroïques ou mornes; son opulence fleurie n'en paraissait que plus capiteuse et plus rayonnante. Il est plus facile d'aller se battre au sein d'une pareille nature que dans un village froid et désolé d'hiver. Ici, même une âme simple entrevoit que sa vie est enfouie dans une sécurité profonde, et que sa mort n'est pas une fin.

Ernst Jünger

Très beau.

« Une parole évangélique nous incite a redevenir comme les enfants. Ce conseil possède bien sûr plusieurs sens parmi lesquels celui-ci. Lorsque nous sommes encore enfant, tout s'imprime en nous avec plus ou moins d'intensité, comme l'encre pénètre la feuille avec plus ou moins de profondeur selon que l'on appuie fort ou non, selon la nature du papier, de l'encre et bien sûr, selon ce que l'on y écrit. Enfants nous sommes vierges, innocents et purs. En grandissant, les feuillets de nos cœurs prennent des allures de palimpsestes obscurs ; ils sont remplis de pensées diverses qui ont plus ou moins d'importance, quoi que tout a une importance relative. Certaines pensées sont à peine lisibles, s'estompant avec le temps qui passe, d'autres car elles sont inscrites en caractères minuscules dans un coin de la page, chevauchant d'autres pensées du même type ; d'autres encore, au contraire, sont comme gravées en lettres capitales, d'une encre qui semble indélébile et avec une force qui a, par endroits, déchiré le papier. Dans tout ce mélange de lettres désordonnées, nous n'y voyons jamais très clair mais quelque chose en nous, nous pousse parfois à croire le contraire. Cette chose s'appelle l'orgueil. Quand nous sommes enfant, nous en sommes dénués. Le maître d'école nous apprend à lire et à compter et nous lui obéissons sans broncher car il a sur nous une autorité naturelle que nous acceptons. En s'éloignant de l'enfance, l'orgueil nous fait perdre cette capacité à accepter que quelqu'un puisse nous apprendre quelque chose que nous ignorons, à plus forte raison lorsqu'il ne s'agit plus d'apprendre seulement à compter ou à lire, mais lorsqu'il s'agit de remettre un peu d'ordre dans le chaos de caractères évoqué précédemment. Fort heureusement, la nature du cœur des hommes diffère beaucoup de celle des feuilles et par une volonté certaine, il faut moins de temps que celui d'un battement de cil pour que tout soit effacé, et que l'on puisse recommencer à écrire sur une feuille, d'un blanc immaculé. »

« Dans un moment d'intense souffrance, le corps a certains réflexes qui ressemblent étrangement à ceux qu'il a dans les instants de pur plaisir. Il se crispe, se tord, tremble, transpire, parfois, se met à bouillir comme l'eau qui entre doucement en contact avec l'ardeur d'un torrent de lave qui semble inarrêtable. Du point de vue extérieur, il n'y a aucune différence entre ces deux états en apparence opposés. C'est que, la Source qui cause la souffrance et celle qui cause le Plaisir est la même. Tout tient dans la façon dont l'eau en nous jaillit, puis coule et circule, nous rendant ainsi capable de transformer un feu dévastateur en un feu salvateur. La souffrance peut causer une mort d'une lente atrocité. Le Plaisir cause une mort brève qui nous fait ressusciter. C'est l'un des nombreux sens que l'on peut donner au Yin-Yang chinois. Les Ténèbres sont naturellement opposés à la Lumière mais l'un peut être la source de l'autre. Et l'autre, la source de l'un. »

Intuition intellectuelle. Épée de la Vérité qui transperce le coeur de l'homme pour y laisser des scories qui se soudent à lui.

Sur les représentations classiques de Shiva, il apparait toujours avec un air plus ou moins endormi. Les deux yeux de l'homme sont en position horizontale ; l'œil qui voit tout lui est évidemment tracé à la verticale car c'est effectivement lui qui voit. Deux yeux valent moins qu'un et gentil n'a qu'un œil.

L'homme pense que son corps, son cerveau, ses muscles, ses os, lui permettent de tenir debout, d'effectuer des mouvements, en somme, de vivre. Une poupée articulée tient debout sans tout cela. Ses mouvements sont déterminés par le fil que manipule le marionnettiste. Ne cherchez pas le Marionnettiste qui vous fait mouvoir ; trouvez le Fil et Il vous mènera à Lui.

« La France hait d’instinct tout ce qui l’empêche de se livrer aux nègres. Elle les désire, elle les veut. Grand bien lui fasse ! qu’elle se donne ! par le Juif et le métis toute son histoire n’est au fond qu’une course vers Haïti. Quel ignoble chemin parcouru des Celtes à Zazou ! de Vercingétorix à Gunga Diouf ! Tout y est ! Tout est là ! Le reste n’est que farces et discours… »

Louis-Ferdinand Céline

"Le sublime bodhisattva Seigneur qui Regarde Vers le Bas s'adonnait à la profonde pratique de la Connaissance transcendante quand il baissa les yeux et vit que les cinq agrégats étaient vides de toute essence.


Ici, Shâriputra, les formes sont vacuité, et la vacuité elle-même, ce sont les formes: la vacuité n'est autre que les formes, et les formes ne sont autres que la vacuité. La vacuité est ce que les formes sont, et les formes sont ce qu'est la vacuité. De même pour les sensations, les représentations, les formations et les consciences.
Ici, Shâriputra, toutes choses ont pour attribut essentiel la vacuité: elles ne sont ni produites ni détruites, ni impures ni pures, ni déficientes ni parfaites.

En conséquences, Shâriputra, dans la vacuité il n'y a pas de formes, pas de sensations, pas de représentations, pas de formations ni de consciences; il n'y a pas d'yeux, d'oreilles, de nez, de langue, de corps, ni de mental; il n'y a pas de formes, de sons, d'odeurs, de saveurs, de tangibles ni d'objets mentaux; il n'y a pas de sphère visuelle, et ainsi de suite jusqu'à: il n'y a pas de sphère de la conscience mentale; il n'y a pas d'ignorance ni de fin de l'ignorance, et ainsi de suite jusqu'à: il n'y a pas de vieillissement et de mort ni de fin du vieillissement et de la mort; il n'y a pas de souffrance, d'origine, de cessation ni de voie; il n'y a pas de sagesse, pas de fruit ni d'absence de fruit.

Si bien que, Shâriputra, n'ayant pas de fruit à atteindre, le bodhisattva se repose sur la Connaissance transcendante et son esprit ignore tous les obscurcissements. Libre d'obscurcissements, il reste impavide et, bien au-delà des distorsions de la conscience, il finit par atteindre le Nirvâna. Les bouddhas des trois temps se reposent tous sur la Connaissance transcendante pour s'éveiller réellement et totalement dans l'insurpassable Eveil authentique et parfait."


_________________

《Jamais, il ne s’agit de la mémoire de ceux qui ont bâti cette cathédrale ni, d’ailleurs, les autres.

Il ne s’agit pas de l’esprit des bâtisseurs de Notre Dame de Paris, de l’esprit aryen dont a procédé l’élévation de ces pierres. Cet esprit qui a disparu de l’Etat, lequel n’est plus qu’une monstrueuse créature affligée des plaies du sémitisme.

Mais toujours cette haine exprime une opposition radicale à l’aryanité, créatrice et sédentaire. Celle qui tire du sol où elle vit le matériau qui permet à son génie de transfigurer la réalité.

Nombreux sont ceux des Français et même des autres Blancs qui, face à ces réactions, parlent d’hostilité culturelle que l’on pourrait, peut-être, ajuster un jour.

Savent-ils seulement ce qu’est la culture ?

Pourquoi aimer ces pierres si l’on n’aime pas les hommes qui les ont façonnées ? Ces hommes qui sont de votre sang et qui vous disent, à un millénaire de distance, que l’esprit qui a taillé ces pierres a jailli du sang qu’ils vous ont transmis.

Ces pierres n’ont aucune valeur en elles-mêmes : elles ne sont que le miroir matériel de l’action de votre âme raciale à travers les âges, projetée sur le monde génération après génération. Le génie de vos pères qui s’exprime dans une langue identique à la vôtre, d’action et de chair, pour peu que vous ouvriez votre esprit à votre plus longue mémoire, pour peu que vous sachiez vous ouvrir à vous-mêmes et décidiez de laisser s’exprimer cette langue.

Inversement, comment des hommes d’un sang étranger, méconnaissant tout du travail, de la souffrance et de la chair de vos pères, pourraient-ils aimer ces pierres puisqu’ils haïssent le visage du sang de ceux qui les ont taillé ?》

- BLL

"Je ne suis ni chrétien, ni juif, ni parsi, ni musulman. Je ne suis ni d'Orient, ni d'Occident, ni de la terre, ni de la mer... Ma place est ce qui est sans place, ma trace est ce qui est sans trace... J'ai mis de côté la dualité, j'ai vu que les deux mondes ne font qu'un; je cherche l'Un, je connais l'Un, je vois l'Un, j'invoque l'Un. Il est le Premier, Il est le Dernier, Il est l'Extérieur, Il est l'Intérieur..."

Cette phrase et lourd de sens et ma parlé longtemps, je trouve même qu'elle responsabilise l'être humaine, faire parti d'un tout.

Quand t-"il dit je cherche l'un, parle t-il de" dieu" du "tout" quand il dit qu'il le connais parle t-il de lui ?

Cette phrase est de Rûmî, un des plus grands maîtres soufis; il faut déjà bien comprendre que lorsqu'il dit "je ne suis ni chrétien, ni juif..." il ne veut pas là indiquer qu'il ne se rattache à aucune tradition spirituelle comme s'en vantent beaucoup de néo-spiritualistes (puisque Rûmî se rattache à l'Islam - le vocabulaire qu'il emploie dans cette citation est d'ailleurs parlant à cet égard), mais qu'en ayant atteint le coeur de la tradition Islamique, il a perçu la Source Unique d'où proviennent toutes les traditions spirituelles, et qu'ayant atteint la Source Originelle, il n'est plus de réel besoin de se réclamer exclusivement d'une de ses branches; Guénon dirait que Rûmi est de ceux qui sont "en-dehors" (même s'il faudrait préciser en quoi et dans quelles "limites") des traditions spirituelles "par le haut", et non "par le bas" comme ceux qui les refusent en bloc. "Je cherche l'Un, je connais l'Un, je vois l'Un, j'invoque l'Un"; il parle en effet d'Allâh ici (d'ailleurs "Il est le Premier, Il est le Dernier, Il est l'Extérieur, Il est l'Intérieur" est une citation d'un verset Coranique), mais pour comprendre ce que signifie véritablement "l'Un" et le "je" dans cette phrase, il faut être au minimum familier de l'enseignement des soufis; des centaines de lignes ne suffiraient pas à expliquer convenablement ce que ces mots renferment métaphysiquement. Il faut en tout cas, avant tout, prendre garde à ne pas tomber dans un "naturalisme" erroné et prendre ce "Tout" dont tu parles pour l'Univers seul; il s'agit là, en vérité, du Principe Divin qui se manifeste en toute chose, par toute chose, et transcende pourtant infiniment toute chose; comme le dit si bien Abd-al Kadir, "Allâh est Transcendant, Immanent, et Transcendant dans son Immanence même".