bah ouais étant donné qu'ils font partie du même label

non mais je veut dire par la que pour beaucoup ils se connaissent depuis un certain temps etc et ils travaillent tout ensemble sur différents projets au niveau du label ouais

Soy Cuba et 4 mouches de velours gris ce week end parait que les 2 sont géniaux

Soy Cuba

4 mouches, bon franchement si c'est ton premier Dario Argento je sais pas si tu vas adoré. Je le trouve un peu décevant au vu de sa réputation, même si ça n'enlève rien à son importance dans tous les cas (de toute façon je suis pas très fan de sa trilogie animalière).

En fait je confond un peu, celui là c'est un peu le seul que j'aime vraiment dans la trilogie.

NB t'a fais buggué l'historique avec ton blaze

http://www.noelshack.com/2015-17-1429894155-sans-titre.png (c'est censé être un commentaire de que j'ai laissé sur ta fiche)
http://www.noelshack.com/2015-17-1429894155-sans-titre2.png (en cliquant dessus)

Jai vu eyes wide shut effectivement il est génial n'empêche j'aurais aimé voir plus de scène avec la genre de secte cest vraiment les meilleurs passage

Je téma mulholland drive jespere quil sera à la hauteur de blue Velvet Jsuis quau début mais jaime déjà le perso de Justin theroux

This is the girl

Jai trouver le twist de M Drive un peu trop brusque et du coup sa explique les bizarreries au cours du film mais sa reste un bon film. Hmmmm la scène lesbienne la griouuu

Cest un sacré wtf quand même ce film lol

Bah y'a pas de twist dans le film.

Enfin disons que ça n'explicite rien.

Tu ma compris quand je dis twist enfin jpense jai pas forcément envie de spoil

Chinatown !! Cette perle !!!

La scène du rituel dans Eyes wide shut est effectivement génial

Mdrr le con le site est compliquer à prendre en main globalement mais je vais essayer de m'en sortir

22 Jump Street est mieux que le deuxième après je trouve toujours que ça part un peut trop en couille dans la dernière demi heure mais le film m'a plier en 2 plusieurs fois avec 2,3 gros fou rire genre la scène d'improvisation avec Jonah Hill au début ou la scène avec Ice Cube qui pète un plomb au buffet du restaurant ... épic je pouvais plus m'arrêter de rire

Screens:

J'ai rarement vu (non, plutôt jamais) un film dont la mise en scène arrive à porter aussi bien son propos. D'autant plus qu'on pourrait facilement pensé à simple exercice de style.
Mais pas du tout, la façon dont Yoshida pense sa mise en scène en dit très long sur ce qu'il met en scène.
Le film est au premiers abords un acte de libération, il s'affranchis de la norme, c'est une déconstruction cinématographique. Mais on se rend assez vite compte, qu'il construit ses propres schémas et s'y enferme. Ainsi, plus le film avance, plus ça deviens mécanique et redondant.
A ce moment là, on est face à un paradoxe qui en dit beaucoup sur la révolution. Car même si chaque plan est inédit et ne suis aucune norme établie, au final ça reviens au même. Il construit ses propres barrières et s'enferme dans sa propres logique, prisonnier de ses propres idées. On n'atteint pas la liberté en créant ses propres codes, car ce seras toujours les codes qui nous posséderons, ils ne se plies pas à nous, mais c'est nous qui nous plions à eux. On façonne notre esprit de façon à être en accords avec ce système.
Tout ça Yoshida le montre dans sa mise en scène. Et les personnages qu'il met en scène, sont eux même à cette images, ce sont des types qui cherche la liberté, mais s'enferment sans le savoir dans leurs propres règles. Ils sont dénués de toute vie, des robots.

Mais au delà de cette schématisation, il faut dire que chaque plan est plus ou moins pensé pour faire ressentir l'enfermement de ses personnages. Il y'a un énorme travaille sur l'espace, les structures, les lignes (ce qui représente assez bien la rigueur des personnages et le façonnement de leur pensé, ils suivent). Presque chaque plan représente l'étroitesse, l'enfermement, mais paradoxalement c'est souvent dans de grands espaces, de grandes hauteurs, les personnage prennent très peu de place dans le cadre mais les décors eux sont souvent très spacieux, tout en étant eux même très étroit. Ce qui fait qu'on est face à des plans représentant, à la fois l'espace, et l'étroitesse. Encore une fois, c'est totalement dans le propos et ça sert terriblement ce paradoxe de la liberté.

Autant dire qu'à une époque où l'on prône la liberté à tout va, où ça en est quasiment la norme, et bien Purgatoire Eroïca se révèle être plus que jamais d'actualité.

Je suis entrain de regarder pour la première fois usual suspect dla bombee