jj abrams je pense pas que ca va etre de la merde

on vas voir j'espère en tout cas j'ai été déçu de celui sorti en 2011.

Lol, le dernier Star Wars date de 2005.

Bon je vais mater halo 4.

peace.

Oui enfin c'est pas un film ça, c'est juste un truc fait par un studio de jeux video, comme les vidéo de Blizzard.

C'est juste pour dire à N.B que je m'en branle je préfère George à jj.

Oui enfin Lucas excuse moi mais ses Star Wars sont franchement pas terrible, c'est pas pour rien si les plus réputé ne sont pas réalisé par lui. Puis je doute que Abrams puisse signer une bouse aussi infâme que L'attaque des Clones...

Faut reconnaître que les 2 meilleurs Star Wars sont les deux seuls qui ne sont pas réalisés par George Lucas, mais ce qui m'enthousiasme encore plus que le fait que ça soit JJ Abrams à la réal et c'est que c'est Lawrence Kasdan au scénario, en sachant que c'est lui qui a écrit L'empire contre-attaque et Le retour du Jedi

White Bird de Gregg Araki: comme toujours avec Araki, j'en suis sorti assez déstabilisé... Mais cette fois-ci, c'est l'approche un peu plus modeste et moins imagée de la part du réal qui m'a surpris. Pourtant, White Bird s'inscrit parfaitement dans la lignée de sa filmographie: on retrouve cette forme de rite initiatique de l'entrée dans l'âge adulte, le traumatisme et ses fantômes, une jeunesse de moins en moins en phase avec son héritage... Mais Araki choisit ici de le représenter de façon plus rationnelle, en construisant son récit de manière plus logique qu'à l'accoutumée. Résultat, le traitement de ses thématiques se veut un peu plus classique néanmoins on retrouve sa patte dans le traitement des personnages: Shailene Woodley en premier, c'est le personnage principal "arakien" de base, celle à laquelle on s'identifie et dont on vit les différentes formes sous lesquelles s'expriment le traumatisme. Ensuite Eva Green, le personnage flottant, insaisissable, dont le travail de représentation est particulièrement appuyé, jonglant entre lumière quasi-céleste et sombre. Green appuie fortement son interprétation sur la transformation de son personnage, sombrant et s'enlaidissant. Autre chose assez intéressant à relever, cette fois-ci Araki n'hyper-sexualise pas ses personnages, il installe une tension sexuelle palpable mais coupe toujours au moment du climax, l'exemple parfais étant la scène entre Woodley et Patrick Jane, dans laquelle on passe sans transition d'un moment érotique à une histoire morbide. Par contre, dernier point noir, la fin qui nous indique qu'Araki a joué à un jeu de fausse piste tout le long du film, ça pouvait être prévisible mais je vois pas l'intérêt de l'expliciter, ça n'apporte rien, il aurait dû finir avec Woodley dans l'avion. 7/10

Night Call de Dan Gilroy: j'étais assez méfiant avant de voir le film, la parenté avec Drive rabâchée par la distribution française ne m'inspirait pas trop (Drive est bon mais ne m'a jamais ébloui) et des Gilroy je n'avais vu que le Michael Clayton du grand fère Tony que j'avais trouvé mauvais. Néanmoins l'histoire m'intéressait beaucoup, et j'ai vraiment eu raison d'être curieux parce que le film est une vraie bombe. En plus d'être un des thrillers les plus excitants de ces dernières années, il est également une critique acide sur les médias et le traitement de l'image. Gilroy part d'un point A qui est le personnage incarné par Jake Gyllenhaal ; dès le début, on sait qu'il n'y a rien à tirer de celui-ci, il est froid et asocial, manipulateur et sans scrupule... Il ne s'agit donc pas là d'un personnage qui sombre mais qui va faire sombrer ce qui l'entoure à ses fins. On le voit particulièrement à travers le personnage de Rene Russo, dont la position change face au personnage principal: ayant d'abord l'ascendant, elle se retrouve ensuite dans la position de victime avant de s'offrir aux ambitions de Lou dans une scène magnifique d'absurdité.

On a donc l'histoire sombre d'un homme à l'ambition dévorante auquel Jake Gyllenhaal prête ses traits hallucinés et livrent une prestation assez grandiose, semblant constamment à l'affût, paradoxalement épuisé mais très éveillé. Mais est-ce là tout? Non, ce qui fait la réussite de Night Call, c'est aussi et surtout la mise-en-scène de Gilroy. Bien évidemment, ce genre de sujet se prête à la mise en abyme et Gilroy l'a très bien compris. Tout comme Lou est obsédé par le cadrage, Gilroy joue de cela en superposant les cadres, on le voit bien durant la scène du restaurant chinois: la réalité est alors perçu à travers plusieurs filtres, et Gilroy montre à quel point elle peut être altérée dans les médias, mais rend aussi compte de la façon dont Lou voit le monde, il est déconnecté de la réalité, et c'est au final ce qui le caractérise dans son contact à l'humain. Au-delà de ça, la réalisation générale est très énergique, une impression de vie constante flotte sur Los Angeles, les courses poursuites sont à couper le souffle (et pourtant c'est pas les trucs qui me passionnent le plus en temps normal), et le film est équipé de son lot de scènes de haute voltige, je pense notamment à cette scène où Rene Russo donne ses consignes aux présentateurs qui commentent la vidéo de Lou.

On retient donc beaucoup de choses de ce film, de la prestation géniale et louée de Gyllenhaal à la réalisation de maître de Gilroy en passant par l'ambiance glaciale et oppressante qui plane sur ce film. Sans conteste une très grande réussite.

9/10

je suis d'accord sur la fin de White Bird pas besoin de nous dévoiler le délire , le mystère aurait du rester entier

sinon je trouve vraiment que Shailene Woodley est excellente dans le film , elle fait don de son corps à Araki

le top 10 de 2014 du cercle sur canal + :

10 Boyhood
9 Quand vient la nuit
8 Gone Girl
7 Nymphomaniac
6 Interstellar
5 Saint Laurent
4 Only lovers left alive
3 Grand budapest hotel
2 Timbuktu
1 Mommy

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pour moi gone girl et only lover n'ont rien à faire dedans et grand budapest est trop surcoté je trouve et boyhood sous estimé

Top 3 des blogueurs :

3 Boyhood
2 Gone Girl
1 Mommy

Gone girl encore la .

Je suis le seul à trouver les films de François Ozon soit moyen soit carrément médiocre ?

quand vient la nuit , très bon film

Pak a écrit:

quand vient la nuit , très bon film

oaui je les vue il est pas mal,l'acteur de " les hommes de loi" je crois il pourrais encore faire de sale film lui et l'actrice de millénium à pas mal de potentiel jtrouve

N.B a écrit:

Je suis le seul à trouver les films de François Ozon soit moyen soit carrément médiocre   ?

Je sais pas jamais vue, mais c'est surement le réal pour qui j'ai le plus d'à priori Je sens que c'est typiquement le genre de truc que je méprise.

dsl, j'ai oublié de mettre la b.a