Je le redis encore une fois j'ai regarder 10min env. J'ai arrêter parce que le film était énorme ! Lourd dans la categories des films tout pourris.

Bon ok c'est ça, reste dans ta connerie.

Je parle du film steak sur pattes du Turin sinon dans le top des films de merde y a la vie de Jésus bref 2h de film mais bon 5 minutes suffise.

Ah sinon j'ai rematé shining.

Comme on fait pour demander l'ajout d'un film sur Allociné ?

https://www.google.ch/search?redir_esc=&client=ms-android-hms-vf-ch&hl=fr-CH&safe=images&oe=utf-8&q=google&source=android-browser-type&qsubts=1417000293780&devloc=0#hl=fr-CH&q=comment+ajouter+un+film+sur+allocine.

2 seconde.


j'ai vu Alabama monroe

J'ai mis les même notes que toi sur le vent se lève et rover Jok'R ( 7/10 The Rover )

j'ai vu Memories of murder du talentueux Bong-Joon-ho , le film est pas du tout comme je pensais au final mais c'est un grand thriller rien à dire .

Concernant Bela Tarr j'ai vu seulement les harmonies weickmester mais c'est un cinéma sombre et complexe , faut etre patient et puis niveau plan séquence

j'ai aussi vu Heli D'amat Escalante , le film est une immonde merde auteuriste avec de la violence gratuite ..

Non mais ta recherche google ne mène à rien.

Je matte American Psycho et Twenty feet from stardom soir ce .

le film m'intéresse vu que j'ai lu le livre et le docu à l'air bien

Bela Tarr moi j'ai vu que Damnation, j'ai pas du tout aimé mais j'abandonne pas Tarr pour autant ^^ Un jour je materai Le tango de Satan, mais bon les 7h faut les assumer.

Sinon j'ai vu Deux jours, une nuit des frères Dardenne: une base qui évolue sans trop grande prétention quant à sa portée sociale, on adopte un point de vue précis sans pour autant qu'un jugement soit vraiment porté sur le reste des cas présents dans le film. Au début j'avais peur, j'avais des doutes sur le fait de faire du personnage principale une femme déjà faible autant physiquement que psychologiquement, mais ce choix prend tout son sens quand on comprend que le film est plus à propos d'une femme qui va remonter la pente petit à petit plutôt qu'une femme forte seule contre tous. C'est beaucoup plus crédible, et ce qui fait qu'on suit le film très facilement malgré les nombreuses répétitions qui sont voulues et qui s'intègrent très bien. Quant à Cotillard, c'est clair que quand il s'agit de films francophones elle est dans le haut du panier, elle est vraiment à fleur de peau sans trop en faire et elle a réussi à adopter une pointe d'accent belge très naturel qui ne part jamais dans la caricature, c'est impressionnant. 7,5/10

L'équipée sauvage de Laszlo Benedek: le film qui a bâtit l'image de Brando en "rebel without a cause". Le film est carré malgré son classicisme, et on comprend son statut de film culte, que l'on accroche ou pas. Mention spéciale à Lee Marvin, charismatique dans un rôle délicieux. 7/10

Le tango de Satan, ça à l'air génial, mais franchement je pense pas que je puisse tenir

C'est un peu n'importe quoi ce montage... L'idée la voilà : vouloir faire de Baby Cart un film qui se met sur la gueule du début à la fin, et de basé tout son récit sur la voix off de Daigoro, donc elle va servir à nous expliqué l'histoire, nous décrire les personnages et les situations. Sauf que non.

Finalement cette voix off rend Daigoro et Ogami Itto sans profondeur.
Déjà parce que... Daigoro ne dit pas un seul mot de la saga. Pourquoi avoir fait de lui la voix off, et aussi pourquoi lui avoir offert des dialogues (qui sont totalement inutiles étant donner que la mise en scène Misumi parle pour lui) ? Ca détruit complètement la puissance du personnage que Misumi avait construit. Pour Ogami Itto, vu que la voix off se charge d'expliquer son état d'esprit et ses actes, c'est la même chose, on se retrouve avec un personnage sans plus aucune force. Alors qu'on parle de l'un des plus beau personnage de chambara quand même...

En ce qui concerne cette idée de vouloir mettre que des combats (enfin presque), c'est ce qui contribue le plus à saboter le personnage de Ogami et Daigoro. Puisque toutes les scènes qui servent à leur donner leurs aura mythique est passé à la trappe, à l'exception de quelques scène glisser discrètement, mais ça se relève être totalement vain puisque totalement déconnecté du film.

Je peux soulever le fait que le doublage est une connerie. Se passer de la voix extraordinaire de Tomisaburo Wakayama pour ce petit américain à 2 sous, franchement ça fait mal. Surtout que Tomisaburo fait un travail remarquable au niveau de sa voix, qui contribue grandement à la grandeur de son personnage.

Après on se fait pas chier ça c'est sûr. Le film est ultra rythmé (trop ?), pour moi le problème principal du 1 est dans son rythme assez innégale, mais bon ça ne l'empêche pas de dénaturer totalement l'oeuvre.
En gros c'est une américanisation fade de Baby Cart. Un affront à Misumi.

Cependant, la bande son est génial, en tout point supérieur à l'originale. Pour le coup j'aurais bien aimer qu'elle soit dedans.

Le meilleur film de Fincher ce soir sur France 3

Je me suis refait Voyage au bout de l'enfer ... la scène de la roulette russe me marquera toujours autant .. le niveau de jeu de Robert De Niro est oufissime

N.B a écrit:

Le meilleur film de Fincher ce soir sur France 3

haha de ceux que j'ai vu c'est celui que j'aime le moins mais il doit valoir le coup pour ceux qui kiffent

Sinon pour ma part

The Grand Budapest Hotel de Wes Anderson: bon, le film se regarde sans déplaisir mais Wes Anderson, avec son style si particulier, adopte vraiment des automatismes qui sont très prévisibles, du coup je n'ai pas retrouvé le charme de ces anciens films. Là j'avais vraiment l'impression de voir un mec réciter sa leçon. Mais au-delà de ça, son style est vraiment accrocheur, y a de très bonnes scènes et le casting est impeccable, en particulier Ralph Fiennes bien sûr. Le film vaut vraiment le détour, mais pour ceux allergiques au style Wes Anderson, c'est même pas la peine. 7,5/10

My sweet Pepper Land de Hiner Saleem: derrière son faux aspect de western ce film cache un vrai discours et une vraie patte artistique. C'est souvent beau, parfois drôle (même si les médias ont trop appuyé sur ce point alors que, franchement, c'est pas l'aspect le plus important du film loin de là) et très bien fait. C'est vraiment la surprise de l'année pour moi à priori, tout y est bien, l'ambiance, l'histoire, les interprètes... Un bon moment de cinéma. 8/10

States of Grace de Destin Cretton: c'était pourtant bien parti, j'étais vraiment intéressé par l'histoire de cette femme et des enfants dont elle s'occupe car je pouvais voir que chaque personnage avait son histoire. Malheureusement vers la moitié du film, ça s'attarde trop sur Grace en en faisant vraiment des caisses, avec pas mal de passages improbables comme dans beaucoup de films mélos indépendants américains. Mais bon, Brie Larson est parfaite. 6/10

Perso Grand Budapest m'a foutu un belle claque, surtout de par sa mise en scène à vrai dire. Parce que le film est surtout un exercice de style, ça ne raconte pas grand chose. Mais... osef, c'est tellement beau et jouissif à voir

Sinon je suis pas fan de Zodiac non plus, enfin de toute façon le seul film de Fincher que j'aime vraiment c'est The Social Network.

L'histoire vite fait: Dix Hanley est un voyou costaud mais accro aux jeux ; Gus Minissi est un barman bossu ; Louis Ciavelli est un père de famille champion de perçage ; Cobby est un bookmaker un peu trop gourmand ; Alonzo Emmerich est un avocat véreux. Ces hommes vont être réunis par Erwin Riedenschneider, évadé de prison et as du cambriolage, pour réaliser un gros coup avant de s'évaporer à l'étranger.

Mon avis: Ce qui est vraiment surprenant avec ce film, c'est qu'il fait le choix de ne représenter ses personnages dans tout ce qu'ils ont de laid et de mauvais, sans pour autant porter un jugement moralisateur sur eux, puisqu'au final aucun de ces personnages n'est rattrapé par la justice ou par le destin mais entraîne leur propre perte. Ce parti pris est annoncé dès le début avec la première scène entre Sterling Hayden et Jean Hagen: le premier est odieux et agressif alors que la seconde est une femme naïve et soumise. Dès le début Hagen, retire littéralement toute illusion de beauté (les faux cils) et on comprend qu'on aura affaire à des héros au sombre destin.

Si le film est considéré comme le précurseur du "films de casse" (ou "film de cambriolage") le casse en lui-même n'est que le catalyseur de tous les événements qui frapperont les personnages. Le cambriolage n'est pas si dur, sa préparation est vite expédiée et son exécution dure une dizaine de minutes. Mais voilà, il y a la cupidité des hommes, l'avidité, la méfiance... autant de grains de sable qui viennent se loger dans les rouages et entraînera l'inexorable perte des héros. Est-ce une victoire pour la justice? Non, elle n'a rien à faire là-dedans mais on ne manquera pas de la féliciter quand même.

On finit par noter la première apparition de Marylin Monroe dans un rôle de "premier plan". Elle n'a que 3 scènes mais elle y rayonne comme jamais (ou comme toujours). 10 ans plus tard elle retrouvera le réalisateur pour son dernier films, Les Désaxés.

8/10

Baby Cart 4: l'âme d'un père, le coeur d'un fils de Buichi Saito: c'est sûr, l'absence de Misumi se fait sentir mais le film n'en devient pas pour autant mauvais. Son vrai problème, c'est qu'il ressent le besoin de nous réexpliquer les bases de Baby Cart, au bout du 4ème volet c'est un peu lourd. Malgré tout, l'esprit demeure et se renouvelle quelque peu même s'il n'atteint pas les hauteurs des 3 premiers volets. 7/10

Sans Soleil de Chris Marker: merveilleux, ce documentaire du regretté génie nous offre de très belles images doublées d'une réflexion à la portée universelle. Marker, en filmant ce qu'il appelle "2 pôles extrêmes de la survie" (à savoir le Japon et la Guinée Bissau), interroge tour à tour la mémoire, la culture, la croyance et ses traditions, et de manière générale pose l'homme comme un animal de société afin d'en observer la vie, mais également ce désir de vivre au-delà de la simple existence. Avec son système narratif inventif et captivant, Marker mêle poésie et philosophie dans cette oeuvre unique et indispensable. 9/10

Will Hunting

Un grand classique avec Matt Damon et Robin Williams.

Pour Baby Cart j'en pense exactement la même chose

En tout cas le John Huston me dit bien !