Trop violent... surtout quand on connait son histoire personnelle vis-à-vis de ça effectivement; on peut comprendre qu'il l'ait vécu comme une résurrection

A la folie de Wang Bing pour tes yeux Camisole

C'est noté

D'ailleurs j'avais acheté Le dernier jour d'un condamné, faudra que je le lise il est pas long

Yes il est bien, mais y'a quelques longueurs je trouve malgré le fait qu'il soit pas long. Ceci dit il était jeune quand il l'a écrit

Il a écrit d'autres choses sur le sujet ?

Il a écrit "Claude Gueux" et "L'affaire Tapner" sur le sujet mais je les ai pas encore lus !

Ok je note merci

John Keats
Cela leur apprendra que l’homme qui se moque du romanesque peut bien être le plus romanesque de tous ; que celui qui insulte les femmes et fait profession de les mépriser les aime plus qu’un autre ; que si quelqu’un parle de jeter un homme au feu, il n’en ferait rien au moment de pousser pour de bon ; et surtout que ceux-là sont bien superficiels qui prennent toutes choses à la lettre. La vie d’un homme de quelque valeur est une allégorie continuelle, et très peu de regards savent en percer le mystère ; c’est une vie qui, comme les Écritures, figure autre chose, et ces gens-là ne peuvent pas plus la déchiffrer que la Bible en hébreu. Lord Byron est une figure, mais il ne figure rien. La vie de Shakespeare fut une allégorie ; ses œuvres en sont le commentaire.

Je regarde le monde,et ce n'est le monde que je vois,mais mon ombre.

" Mon inquiétude unique devant le journalisme actuel, c’est l’état de surexcitation nerveuse dans lequel il tient la nation. Aujourd’hui, remarquez quelle importance démesurée prend le moindre fait. Des centaines de journaux le publient à la fois, le commentent, l’amplifient et souvent, pendant une semaine, il n’est pas question d’autre chose. Ce sont chaque matin de nouveaux détails. Les colonnes s’emplissent. Chaque feuille tâche de pousser au tirage en satisfaisant davantage la curiosité de ses lecteurs. Une secousse continuelle se propage d’un bout du pays à l’autre dans le public. Quand une affaire est finie, une autre commence. Les journaux ne cessent de vivre dans cette existence casse-cou. Quand les sujets à émotion manquent, ils en inventent. " E.Zola

C'était mignon a l'époque ... aujourd'hui qu'est ce qu'il dirait sur ces chacals propagandiste

Haha j'ai imaginé Zola devant BFM le soir et les jours qui ont suivi les attentats de novembre: mort encéphalique

Cent fois dix j'ai parcouru la voie obscure qui même à la lumière et autant de fois j'ai traversé
l'obscurité pour régénérer mon pouvoir et ma force grâce à mon ascension dans la lumière.

Ça ça doit être de toi

Hermès Trismégiste

Tu dois être sa réincarnation

"- Je les forcerai à me haïr encore plus fort, et voilà tout. Moi, ça me soulagera.
- C'est-à-dire que leur haine appellera la vôtre, et, en haïssant, vous vous sentirez plus soulagé que si vous receviez d'eux de la compassion ?
- Vous avez raison. [...]
- Répondez à une question, mais sincèrement, à moi seul, seulement à moi: si quelqu'un vous pardonnait pour cela, et je ne veux pas dire quelqu'un que vous respecteriez ou dont vous auriez peur, non, un inconnu, un homme que vous ne connaîtrez jamais, en silence, qui lirait en lui-même votre terrible confession, cette idée pourrait-elle vous soulagez ou vous est-elle indifférente ?
- Elle me soulagerait, répondit Stravoguine à mi-voix, baissant les yeux. Si vous me pardonniez, cela me soulagerait beaucoup, ajouta-t-il d'une façon inattendue, et dans un demi-chuchotement.
- Si vous aussi, vous me pardonnez de même, prononça Tikhone d'une voix pénétrée.
- Pour quoi ? Vous, qu'est-ce que vous avez fait ? Ah, oui, c'est une formule monastique ?
- Les péchés volontaires et les involontaires. Ayant pêché, chaque homme a péché contre tous, et chaque homme, même dans une mesure infime, est coupable du péché des autres. Il n'y a pas de péché isolé. Moi même, je suis un grand pécheur, plus grand que vous encore, peut-être.
- Je vais vous dire toute la vérité: je veux que vous me pardonniez vous, et avec vous, un autre, et peut-être un troisième, mais... Mais, tout les autres, je préfère qu'ils me haïssent. Et la raison pour laquelle je le veux, c'est pour le supporter avec humilité...
- Parce que, la compassion de tous, vous ne pourriez pas la supporter avec la même humilité ?
- Peut-être que non. Vous êtes très fin dans votre écoute. Mais... Pourquoi est-ce que vous faites cela ?
- Je sens le degré de votre sincérité, et, bien sûr, je suis bien coupable de ne pas savoir m'y prendre avec les gens. J'ai toujours senti que c'était là un grand défaut que j'avais, reprit Tikhone d'une voix sincère et pleine de sympathie, en regardant droit dans les yeux Stravoguine. C'est parce que, simplement, j'ai peur pour vous, ajouta-t-il. Vous avez devant vous un gouffre presque infranchissable.
- Peur que je ne tienne pas ? Que je ne supporte pas leur haine avec humilité ?
- Et pas seulement leur haine.
- Quoi d'autre encore ?
- Leur rire"

.:: CàmisOle ::. a écrit:

Tu dois être sa réincarnation

ahah sur sur,j'essaye encore de remonté à toute les réincarnations que j'ai eu,foutu ange qui vient à la naissance tout faire oublier !

bien ouej

Il n'y a pas de péché isolé.