Cette nuit la lune et pleine,
cette nuit les rue sont pleine,
cette nuit les paver sont couvert de déchet,
cette nuit les femmes sont émécher,
cette nuit,j'ai plus de feu pour ma cigarette,
cette nuit,je n'est pas fuis,
et quand le jours ce lèvera,
les gens n'auront plus rien à voir,
les gens n'auront plus rien à boire.

loin l'époque ou les consolent nous consolez,
et les parti de james bond sur 64,
maintenant ils comblent leur vi de de seize soixante-quatre;

j'ai plus su lire les astres,
luttant contre vent et désastre,
de son propre naufrage,
plus d'édifice,n'y d'artifice,
plus d'artiste tout et factice,
comme un fixe et son effet fictif.

je suis un novni ovni o'wi,
perché avec un Sac'de ki'wi wi hehe,
j'attend ma chute,avec un'point d’exclamation,
m'instruit dans un endroit confis,entend tu ? la chasse d'eau des rêveurs,
j'attend que la merde me lâche,
prisonnier constipé d'un monde violé.... depuis les année lumières huhu,
divagation d'un funambule planant, sur une fumé,flanant sur une boué  Blehblehblehgrfgrrgrgrgr

j'suis pas fan de ce type de poésie mais tu t'débrouilles bien

Tu écris en étant sobre a chaque fois Orphée ou arraché totalement ??

aucun des deux,de l'impro quasi pur ces temps ci,j'essaye de m'amuser,j'écris sur le tel,pas de retour possible

DORs émila


déso-la-tion,
do-mi-nation,
ré-mi-nésence,
lâchant,quelque goutte,de semence,dans (s)e monde "immense...."
tout en chantant autant qu'importe mon foutre.
Autant qu'un fou,sans vous,sans fou d'être fou,il en a rien à foutre!
allonger dans mon sofa,sur un monde en ragenauf
sauve qui peut,qui peut être sauver,sauf que nauf'nauf'nauf rien de'neuf,
désolé de n'être qu'un type,remplissant son ventre plein,
la gage thoracique ancré,le cendrier sur les fesses de cendrillon,
et par millions, crevons bouche ouverte,
car nos mains son tacheté,teinter,tenter de lâ-cheté.















Parfois la tech nique,me fait toucher le fond....
mille et une allusion,mille est une illusion,mille et...est...était

Une seconde secousse,
la terre tremble,les âmes s'effondres,
sombre reflet entachée de lumière;
une première analogie de ma tautologie,
les poumons cramoisie,une fumé sur mes rêves....oisif,
flâner,glaner,glander,près d'une mers,l'esprit pépere est libre,
putain d'esclave en plein naufrage dans un esprit défrague,
de belle parole,les mêmes paroles,les mêmes code,
qu'est qui déconne'qu'est qui décode,qu'est ce qu'elle veut cette conne"

l'éternel tombé de neige,
des pas,que je laisse derrière moi,
des années qui passent,des femmes qui passent,
des amis qui passsent,des être qui trépassent,
des éternels questions,aux éternels réponses,
des doutes,des doutes,des gouttes qui tombent,
des ôdes,des joies,des peines qui plâne;

je ne sais plus ce qu'il y'a de vrai,dans leur chair,leur bourlet et leur verre,
mes vers sont limpide,sur le robord d'une fenêtre,j'urine mes dernier litre,
et la terre je foule,et l'éternel me foule,et mes rêves se perde dans la foule.

des gouttes,des dégouts,des gouttes qui tombent en pleine égout,
les ruelles m'aspires,et je vais,gentiment,promener ma tête,rempli d'idée terne,mettre un terme à mes rêves de demain;
les jours s'allonges,les joue se raccourcice,mon ventre gazouille,ma conscience sautille,fumant allonger, dans les aléas d'une plaine au aléase.
Si nous étions toujours ivre,le sourire au lèvre,à morde,baver,cracher sur le pourquoi du pourquoi qui lui n'en finis plus.Et les même baratin,tintouin des villes grouillante,de corps gesticulants,au même remord ou rêve que toi.Des mirroirs partout,des partouze nul part,des plouc,des cloues et encore des cloues et de mes sornettes ineptie,un sort un récit,vuglaire,sans fin,n'y début,n'y début n'y fin.

inspiration,inspiration,
zero,rien,quedale,salope,pute,
chienne,insulte somaire,pensé sonore,
bascule les montagnes,dévie les nuages,
était une fois,la fois d'une fois,j'étais plus la,
dès lors la foi me broie,alors je boit et touche du',
puis,les pas, si léger que le décollage de l'âge et fendu,
de but en but,d'noir à blanc,haut monde en couleur,
oh monde de douleur,oh oh oh oh bientôt noel....











Continue de passer le temps,
continue de rêvasser,
quelque pétasse,quelque fésser,
quelque coup évincer,quel que oeilrincé,
quelque soirée gâcher à plâner sur le macadame,
un vulgaire primate,titubant acadame acadame,
clâmer l'existence,l'existence étrange,trgrtgrtgé'tgé'(gé'ghg'(gté'(rffrr!!g!g!g!g!g!g!


[l^ù*

l'ère d'aduler,
l'air des enculé,
le temps de reculé,
le temps de coa gu lé;
le monde et un balai gé ant,tout et bé ant,
je me promène dans la vallée des gé ant,
l'ombre s'immisce,les prémisses du vice dans l'adn,
je dévale des tas de pages et souvenir empaillé,j'ai beau piaffé,toujours les même empaffé,
je lis un livre,un autre que moi,un autre monde s'écoule devant moi,
c'est cool quoi,y'a pas de quoi en faire un.... plat,
je regarde la montre,le temps passe vite,je suis....à ....plat,
l’impression de dé lapidé mon âme,avec une rapi dité, je cogite gite,
pas de baguette magique gique,gicle vite,le temps se presse presse...presse le bouton,
l'alarme sonne,toujours les même bouffons, aux même postes,à croire que j'ai loupé le coche;

Ont lis des livres par millier,
peut se délivres,beaucoup subisse mille supplice,
les bougies j'ai souffler,les bougies essouffler,
tout est dans ma tête,j'improvise,les démon me domine,
avec une facilité,suis-je ? perdu parmi les signes,
j'expire,j'inspire,être ou ne pas paraître,
perdu parmi les con signes,j'con serve le peut qui me reste.

l'amertume du monde,la souffrance des autres, peut engloutir ton âme,
Ulysse voguant sur les mers,luttant contre les dieux,retombant dans la fatalité,
tu n'écris jamais assez bien,tant que les mots n'arrive pas à.... transmuter t'es songe,
douleur et folie,douceur et folie,j'éteint ma haine,dans la compagnie d'homme agité,

je cogite,sans fumé mon esprit fuse,l'impression d'une prison doré ou les visages ce brise;
la brise m'emporte loin, de tout ce vacarme,je cherche le calme au fond du néant,
fainéant, mon énergie se dissipe dans un trou noir,aspiré par les pensés infinis,
et dans la nuit j'entend mon cœur palpité, peut m'excité, pour existé,
entrain d'imploser,j'implore,déplore,ma faiblesse,
d'une fleur qui ce fane trop vite dans l'effort,
au fond de la flore,je cherche dieu loin de l'or.

L'impression d'être maintenu sous pression,
la gravité cherche à maintenir mon érosion,
ma gorge goudronné de merde,manquerai plus que je fredonne,
tout seul,dans les rues désertes,agresser un passant et ça pouffe,
le doute en a perdu tellement,tellement de gens finisse par patauger dans leur pisse,
combien coûte votre peace,combien coûte votre love,moi j'y comprends rien,
dans cette marais humaine puante,qui marche inlassablement propre sur eux,
ils sont pure eux hein,qu'ils sont pure,leur quotidien stérile,leur sourire factice,
aucun déboire,honte,humiliation,stupidité d'un cerveau usée,ré-utilisé depuis que l'homme est la,
hélas perdu dans la mélasse,je peine,une brasse sur le béton,l'enfer m'embrase,et tout les judas m'embrasse

Univers immense,univers danse,
chaque particule à un sens,
que ma pensé détale loin de tout ces dédales,
j'ai l'impression de perdre les pédales,
enfoncé dans mon pieux,les idée cieux s’obscurcisse,
mes état d'âmes, s'en vont, en poussière,
le même air polluer,les même idée qui pullule,
putain de libe llule;

change le temps d'une chanson,
aime le temps d'une chanson,
écris le temps d'une chanson,
au fond,je recherche encore le fond,
j'ai éclaircie mes pensé,de l'été à l'hiver j'ai étais.
et en autonome je perd les pétales'

la donne ne change rien,
née pour porté,née pour être emporté,
le don ne change rien,
née pour être caser,née pour être... nez à nez au né ant,
aucun dieux,en nage libre, sans aucune rive à porté,
rien n'a apporté de nouveau,ma vision est colporté par mes démon,
j'suis vautré,évite les empoté,qui ont vite fait de pa po té,
y'a co gi té que nos cerveau déraille,
le non agir agite mon esprit,que faire si ce n'est rien,
éteindre les doutes,étreindre les tous.

parfois je baigne dans ma crasse,
pataugeant à la recherche de la grâce,
mais le mondes et remplie de gens gras,
les ruelles sont grade,les rats envahisses les villes,
le vice, avilie, tout ce qui grandit en son sein,
les saints sont dévoré, par les lâches nécrosé,
les pauvres sont rossés,éparpiller dans d’innombrable fossé,
plus un sous dans les poches,les gouttes s'infiltre dans mes troues,
quelque verre d'un vieux rosé,quelque vers projeter par la mers vers les rocher,
mes idées s’obscurcisse,du pouvoir et des cuisses,de l'oublie et des cuites.

suicide en douceur,
alcool dans les veine,
peine dans le regard,
les femmes m'épuise;
leur chatte et un cloaque
vivre libre,ivre,fracasser des crânes,
cloack,passager temporaire,mille vie,mille nuit,
écriture automatique,le cerveau traite les inepties,
syncope syncope encore une et j'crève

Syncope a écrit:

écriture automatique,le cerveau traite les inepties,

tu devrais plus souvent employer ce type de tournure.simple mais lourde.
si l'envie te prends https://rap-battle.jeun.fr/t81910-killa-feat-yba-pilonner

aha ça roule,je vais voir ça gros ;)

et j'essayerai ton conseil

mon souffle refroidie les secondes,
les jours succombes aux nuits,
les hommes ce nuisent, depuis qu'ils souhaite, luire en pleine nuit,
les enfant trimbale, le passer de leur maître,soumis au sang,
prisonnier de leur mère,de leur père,de  la patrie,et de l'heure,
j'annonce l'avenir présent,le futur passer,
passager d'un monde déjà oublié.