Tu es,tu étais belle,
de t'es longue jambe nue et ta peau blanche,
de t'es lèvre dénuer de toute tristesse,
de la chaleurs de ton corps,j'oublier alors l'ennuie,
les longues journée à tournée en rond,
les longues journée à tirée sur des cigarettes,
je t'aimer ou bien j'aimer combler le vide,
celui qui te couche par terre,le bide endolorie,
les dessins en colorie,les visages endormi,
mais tu es parti,comme tout disparaît,
en un claquement,en un fracas,dans un bazar;

un paysage de rêve ou mes yeux ce serai égaré,
paumée à regarder le ciel,étendu contre un pommier,
à vouloir te retrouver dans ce vide grossier,
mais mon gosier et sec,mes yeux eux sont humide,
mais ou es tu ? pour combler ma solitude,
ma plume garde des traces de ton âme,
il me faut une garce maintenant,
affaler avec quelque grognassasse,
crachant sur les passants qui eux.... rêve encore peut être de toi;

Et les amis,eux,qui passe leur chemin,
et le destin qui nous lie,puis nous désunie,
la vie c'est être seul,
mais moi?
je ne dors... qu'au bruit de la foule
qu'au bruit des pas,
qu'au bruit des crie,
qu'au bruit des longue nuit de sauvagerie,
qu'au bruit des verres cognant la table,
qu'au bruit des vomis dégoulinant dans les rues,
qu'au bruit des putes baiser en pleine rue,
qu'au bruit des nuits ou je suis en rûte,
qu'au bruit des tête claquant contre le macadams
qu'au bruit du bruit de la nuit,du BRUIT,donnée moi encore du bruit.....du bruit.........................................................

d'immense nuit aux yeux clair,
d'immense regret aux yeux terne,
d'immense cieux sans yeux n'y dieu,
d'immense baiser sans saveur,
dimanche j'attendrai une nouvelle semaine,
dimanche j'userai encore d'autre semelles,
j'attendrai que la pluie diluvienne vienne,
que mon ombre ce rétracte et disparaisse.

Métro boulot goulot,
aliéné elle boit comme un forcené,
faut des nerfs solides pour vivre dans le sordide,
mam transmet son vice à son fils... qui à son tour glisse,
le même topo sur le même tempo;
les même pov fille,
aux mêmes tics symptomatiques,
une symphonie sur les chroniques d'une femme,
pas celle que l'on nique mais que la vie asphyxie,
que les cigarettes rendent asph...matique, hermétique,
et la vie à des dents-de-scie et les si ne l'aiment pas;
si j'aurai des denrées à mettre sous sont seuils...
mais je n'avais pas vu le diable sous ces yeux;
et mon orgueil, est en deuil,
seul,je la vois franchir le seuil,
d'ici au pied d'Eden,son âme s'étein si,
perdu dans la fantaisie,*
et j'écris crier dans le vide,
mais mon Dieu a déjà fait son devis;
on n'a que deux vies,
l'amour et la haine,
les peines et les joies,
c'est ain'si-gne,la'haut... j'ai vu les esquisses;

chimère, métro, goulot,
je regarde à travers un hublot,
mon horizon n'a pas de fin,
il n'y a plus d'oraison dans mon cœur,
les mots sont ma prison, limité par ma raison;
mon destin est façonné par ce qui m'a modelé,
une pâte à modeler,mon âme et scindé,
si vous saviez tout ce que mon écriture ne peut déverser,
mes vers set ne peuvent être décelés,
lésée mon poids et léger mon âme et lesté,
je fais du morse à des porcelets*,
et mes rêves sont de belle poupée....russe
traîné ou écrire,
sécurité ou vie de bohème,
j'ai vu la gravité tenter de m'aplatir,
l'alcool dessine des ruisseaux,
me donne la paix du pourceau*,
loin des balancements du berceau,
loin de l'écume des eaux,
je décuve mes songes,
me rongent les ongles,
loin des prairies qui ont bercé mon enfance....

la seule raison pour là qu'elle on ne peut voir l'avenir, c'est que la plupart se flingueront en le voyant advenir, perdu dans des fresques, entre moi et ses braise, je fais le vide,perdu dans l'enfer d'Ovide.

Le ciel s'empara de la terre,
les étoiles foncèrent en nuée par millier,
les femmes prière et les marie n'y croyait guère,
les poètes ennuyer, n'écrivais plus,et regarder la fin saoul,
les enfants continués de jouer dans les plaines,
les cygnes chanter tous à l'unisson et les nuages laisser place aux son,
les amants s'embrasser, d'un des rares baiser sincère,
nous ne sommes plus et le silence et née.

les anges ce confonde,
nos peine sont profonde,
les vivant ce morfonde,
j'attend les entité ailés,
j'entend les entité sceller nos destin,
pied nus nous foulons le ciel,
la folie gouverne nos yeux,
l'alcool balance nos bras azimute

Bodhisattva a écrit:

Métro boulot goulot,
aliéné elle boit comme un forcené,
faut des nerfs solides pour vivre dans le sordide,
mam transmet son vice à son fils... qui à son tour glisse,
le même topo sur le même tempo;
les même pov fille,
aux mêmes tics symptomatiques,
une symphonie sur les chroniques d'une femme,
pas celle que l'on nique mais que la vie asphyxie,
que les cigarettes rendent asph...matique, hermétique,
et la vie à des dents-de-scie et les si ne l'aiment pas;
si j'aurai des denrées à mettre sous sont seuils...
mais je n'avais pas vu le diable sous ces yeux;
et mon orgueil, est en deuil,
seul,je la vois franchir le seuil,
d'ici au pied d'Eden,son âme s'étein si,
perdu dans la fantaisie,*
et j'écris crier dans le vide,
mais mon Dieu a déjà fait son devis;
on n'a que deux vies,
l'amour et la haine,
les peines et les joies,
c'est ain'si-gne,la'haut... j'ai vu les esquisses;

chimère, métro, goulot,
je regarde à travers un hublot,
mon horizon n'a pas de fin,
il n'y a plus d'oraison dans mon cœur,
les mots sont ma prison, limité par ma raison;
mon destin est façonné par ce qui m'a modelé,
une pâte à modeler,mon âme et scindé,
si vous saviez tout ce que mon écriture ne peut déverser,
mes vers set ne peuvent être décelés,
lésée mon poids et léger mon âme et lesté,
je fais du morse à des porcelets*,
et mes rêves sont de belle poupée....russe
traîné ou écrire,
sécurité ou vie de bohème,
j'ai vu la gravité tenter de m'aplatir,
l'alcool dessine des ruisseaux,
me donne la paix du pourceau*,
loin des balancements du berceau,
loin de l'écume des eaux,
je décuve mes songes,
me rongent les ongles,
loin des prairies qui ont bercé mon enfance....

la seule raison pour là qu'elle on ne peut voir l'avenir, c'est que la plupart se flingueront en le voyant advenir, perdu dans des fresques, entre moi et ses braise, je fais le vide,perdu dans l'enfer d'Ovide.

Sympa celui là, y'a un bon travail de style je trouve Difficile de savoir où tu veux nous emmener et où tu veux en venir a quelques endroits mais ça a aussi son charme haha

merci gros,mais la pas mal de faute,conjugaison,orthographe ect et en vrai ça me limite trop,je dois étendre mon champs et re apprendre bcbc de règles huhu

mais un point positif maintenant j'essaye de prendre du temps pour écrire,et me focus sur un texte à la fois,mais j'ai encore du mal un peu,écris 1h sur un texte c déjà beau et bc

La vie des hommes,dans le joue capricieux des cieux,
aucune lyre,ne peut sauver l'homme de la fatalité,*
naissance et joie,esclave ou roi,tout être se ploie,
les dès ce déploie, et dès demain il pleuvra Peut-être des....oies,
nul lois n'écarte les circonstances qui défont,un titan en nains,
et font d'un nains un titan;
l'univers ne laisse place au hasard,t'es pas le fruit d'un hangars*....
Comme cette femme au regard hagard qu'on retrouve corps égaré sur les rails de la gare,
Et....je suis lasse,perdu dans la mélasse entre absurdité et paysage,
hélas,lointaine était l'époque des sages divin,et socrate et mort en vain,
je continue de boire mon vin,à me prélasser attendant que les choses ce fasse,
aucune ligne directrice,mes vers s'éparpille comme un vers solitaire,
quand je boit mes pupilles engloutisse l'univers,même si je fais quelque pas de travers,
je suis clair..voyant,mon coeur et pressant,je sent l'apesanteur soulever la puanteur,
je ne sais vers ou je vais,je n'est qu'à lever les coudes pour voir ce lever le soleil*,
je continue mon récit en espérant que le thème s’éclaircisse,pardonnée mes hérésie,
encore un je et je... zozote,j'ai perdu la jugeote et chuchote quand je suis pas saoul é;
Rien n'arrive par hasard,chaque crève la dalle à sa place,
l'histoire sans fin de la recherche du sens par l'insensé,
née beau ou moche,finir en apothéose ou empoté,
en beauté je me suis vautrer,cognant un œil à la vérité.


*lyre-orphée
*en buvant on ne voit plus le temps passer,et le soleil alors et déjà la
*hangar sert aussi à stocker des fruit clin d’œil facile "fruit du hasard..."

rengaine donc ta haine qui te gangrène et sème de mauvaise graine,
l'écriture automatique en guise de bible sur mon chevet,il n’y a que dieu pour m'achever,
j'ai finis de me lever et continue de rêver,assoupie je n'est plus de bougie à souffler,
et la vie tangue le boogie woogie,je suis rabougri et mon visage devient tout gris;
plus dans la danse,une case en décalage,à croire que je deviens un petite peu barge,
mon âme enfermer dans une gage ou les gens passent et me contemple comme un animal sage;
mon cerveau et livide,j'arrive à sentir le vide entre mes doigt,entre toi et moi,
l'impression que le monde et une boucle sans fin ou les même histoire sans fin s’enchaîne,::::;;::jkl:ilm

Allégorie des chiotte,partions de la plus grand révélation après la bible,
Me déplacent sommairement vers la porte verrouiller,j'entendis la chasse d'eau,deux fois,
le type sors et une odeur de chiasse plane,tan pis,j'enroule la cuvette de Pq et poses mes fesses,
j'ai rajouter une couche à l'odeur,et à tour de rôle,les gens en rajouter une.
Enfermer dans ce même compartiment,devant supporter l'odeur d'autrui puis autrui supporter l'odeur
du prédécesseur,comment voulez vous qu'on s'en sorte ainsi bon dieu,puis j'ai tirer la chasse d'eau.

Le jours et la nuit,ont fait leur temps,
de l’encens il n'en reste que l'odeur,
des guerres il n'en reste que l'aurore;
parcourant les rues déserte,
apercevant des hommes aux âmes nue,
déambuler dans les villes ou les filles sont embuer,
s'enivrer pour oublier, que l'on et.... ivre,
revivre pour mourir,mourir pour vivre,
Les aléas de mili ar de pas.

Illumination d'une canette de bière,
placer dans les entrepôts sordide,seul dans l'noir,
passant dans les bar,les stations,les épicerie....et cetera,et cetera;
la buvant dans les taudis,ou chaque crie et audible,
la buvant dans les bars,enthousiaste,entre brave gens,
la buvant allonger dans les rues,oubliant c'est 20 ans,
la buvant pour oublier cette amour parti pour un autre un autre...un autre,
et la vieillesse douce veilleuse qui veille sur mes nuit,
me rappelant que la mort et latente,
invisible garce,laisser moi encore chavirer sur ma barque........................................

La vallée éclairée de nos regrets,
allonger sur les sentier perdu, ou les coeur sont éperdu,
abandonnent toute vertu,longeant les bords à l'abri des géant,
rongeant les racines des arbres,étirant son ombre au soleil,
perdu dans les rêves insensé,ou tant homme,on marcher eux aussi.

Bodhisattva a écrit:

Métro boulot goulot,
aliéné elle boit comme un forcené,
faut des nerfs solides pour vivre dans le sordide,
mam transmet son vice à son fils... qui à son tour glisse,
le même topo sur le même tempo;
les même pov fille,
aux mêmes tics symptomatiques,
une symphonie sur les chroniques d'une femme,
pas celle que l'on nique mais que la vie asphyxie,
que les cigarettes rendent asph...matique, hermétique,
et la vie à des dents-de-scie et les si ne l'aiment pas;
si j'aurai des denrées à mettre sous sont seuils...
mais je n'avais pas vu le diable sous ces yeux;
et mon orgueil, est en deuil,
seul,je la vois franchir le seuil,
d'ici au pied d'Eden,son âme s'étein si,
perdu dans la fantaisie,*
et j'écris crier dans le vide,
mais mon Dieu a déjà fait son devis;
on n'a que deux vies,
l'amour et la haine,
les peines et les joies,
c'est ain'si-gne,la'haut... j'ai vu les esquisses;

chimère, métro, goulot,
je regarde à travers un hublot,
mon horizon n'a pas de fin,
il n'y a plus d'oraison dans mon cœur,
les mots sont ma prison, limité par ma raison;
mon destin est façonné par ce qui m'a modelé,
une pâte à modeler,mon âme et scindé,
si vous saviez tout ce que mon écriture ne peut déverser,
mes vers set ne peuvent être décelés,
lésée mon poids et léger mon âme et lesté,
je fais du morse à des porcelets*,
et mes rêves sont de belle poupée....russe
traîné ou écrire,
sécurité ou vie de bohème,
j'ai vu la gravité tenter de m'aplatir,
l'alcool dessine des ruisseaux,
me donne la paix du pourceau*,
loin des balancements du berceau,
loin de l'écume des eaux,
je décuve mes songes,
me rongent les ongles,
loin des prairies qui ont bercé mon enfance....

la seule raison pour là qu'elle on ne peut voir l'avenir, c'est que la plupart se flingueront en le voyant advenir, perdu dans des fresques, entre moi et ses braise, je fais le vide,perdu dans l'enfer d'Ovide.

Très bn celui là poto,il pourrait être rappé

merci de l'avis gros ;)

Sourd et muet l'homme commet le souhait d'atteindre les sommets,
enrayé des pieds à la tête,ils divaguent,laissant leur bateau errer en mers,
les sirènes charmes leur yeux,eux qui en on encore deux,
tandis que les cyclopes, prêchent la vérité d'un angle mort;
les anges jouant dans les cieux,les démon jouant sur terre,
nul doute, j'ai su voir à travers l'eau trouble,à travers le doute que....
la folie est le refuge de l'homme,le déluge sont arche,
tout cela est noéseabond,mais que faire si ce n'est un bond.

Il n'y a qu'un apaisement dans se brouha,
voir les oiseaux, déployer leur ailes dans le ciel,
avoir l'impression que,les nuages s'effondre sur terre,
les voir voltiger dans le vide,plein de vie,libre,
perdre son regard dans le calme impénetrable de la nature,
n'y livre,n'y musique,n'égale, la beauté d'un arbre enracinée,
qui tend vers le ciel,dont chaque branche recherche la lumière,
De mes nuits interminable de petit minable,
de mes nuits intermitente,entre raison et folie,
délirium tremens "sortir hors du sillon" hors du sillage,
dans un refuge,à l'abri du bruit incessant,
ou les fôrets,abrite,une parcelle de mon âme,
ou les rivières s'étende par si, par la,
pendant que mon corps étendu la,
contemple ce que nul temple n'offre.

Le temps passe,
plus le temps de panser,
les pieds dans le sablier,
nos jours sont égratignés,
de la pupille à l'âme;
le temps passe,
plus le temps d'aimer,
les pieds emporter par la marée,
nos jours sont ruiner, du coeur aux joues éreinter;
le temps,le temps, nous as pris,le peut de temps,que nous avions,
les schémas et ramassie,tout les gens assis,qui attendront encore qu'elle revienne,
les schémas et rammasie,tout les gens avachi,qui attendront que leur rêve naisse.

Je regarde l'être et ça dérision,
à travers lui,je voit ma propre perdition,
l'addition d'un cumule exorbitant,
et j’exhorte mes mots,exporte mes rêves,
à travers moi,je voit ma propre perdition,
l'addition des cieux,la partition des pauvres,
quelque ébauche,quelque débauche,
un peu d'impro,un peu d'impro,
évasion de l'esprit,
mission de sauvetage,
même si tout et voué à crever.

l'éclair d'un instant,les idée s'éparpilles,
ma vie je la voit sur un parvi à rêver d'une autre vie....pardi,
jadis, j'étais le filament accrocher au fir mament,
une source de mo ment,épuiser à force de mouv ement,
l'écriture un passssse temps,face à l'impasse des ruelles.

plus de raison d'être si être et une raison d'être,
exacerbe le verbe,rien qu'une mauvaise herbe,
qui baise la langue avec sa belle verge'''''''''''''''''''






Ce n'est pas le cancer qui effraie les gens,
ce n'est pas la mort qui effraie les gens,
ce qui effraie les gens,ce n'est que la souffrance,
ce n'est pas la vie qui les stimules,mais la mort,
la souffrance et la béquille de l'éveille,
le doute et le saint graal de l'évolutions.