Voit les multiples division,
l'individus séparé de son n'ombres,
mon esprit est fractionné,
les tentations me soustrait,
de trai-nard à trainé tard,mes maux s'additionnes,
Qu'un nombre parmi les hommes esseulé;

j'ai une soif d'or,mes première gorgé,était de la main de pandore,
gosse, je roulé dehors,hors des villes,proche des lumières idyllique:
j'aspire à n'être rien,j'expire à être tout,
plus l'on approche de la réalité et plus l'ont recherche l'illusion,
à travers un champs,j'étendrais mon corps,dépouillé de toute vertu,
sobre je suis ivre,ivre je suis propre,aussi semblable que mon prochain,
aussi palpable q'un humain,sobre,et me voilà perdu dans un décore que je ne comprend plus.

La mers rumine,elle est amère,
Je porte mes regrets et le ciel cache mes doutes,
Des mots et sens,mélange d'absurde gorgé,
Jai vue pensé se vidanger,mes pieds suivre des chemin insensé,
Plus le temps d'écrire,juste le temps d'être ivre,
Aucun effort superflu,chaque souffle et une lutte obscure;
J'observe la déchéance d'une chance,titube dans le triangle des permude.

La seul lumière que je perçois en pleine obscurité et le bout d'une clope entre les doigt

je suis un fou perdu dans la foule,
j'ai peu de flouze mais quelque fouf,
de temps en temps,les récits sont précis,
d'autre, d'une mains indécise, les mots périsse,
sans attente d'un lendemain,
sans attente de mon prochain,
j'attend,j'attendrais un...... rien

pataugé dans la nausée,
usée de veille chaussette accroché à la cheminé
déchaussé une belle débauché,vaut mieux qu'être embauché au....au.....super marcher;
suée devant usual suspect huhu, j'suis scotché, la face miné,
déminé toute les illusion,un thé en infusionn ,
le visionnaire vie le présent,le passer,le futur n'en est que la fusion.

Il m'arrive d'avoir une haine si profonde,
rêvant d'une onde qui balayerai le monde;
Après avoir lus,et vue certaine beauté,
j'aimerai tout oublié,et vivre des jours de paix,
mais mon âme et souillé,la débauche éloigne le môme ,
qui est un éternel été,un éternel rêveur,un éternel est;
l'homme et  sa soif insatiable de l'insaisissable,
quel est le prix de la connaissance...
je crois véritablement que l'on peut vendre son âme au diable.

Dans les paysages éternel, le fond de mon œil à pris forme,
de l'informe au malpropre, des infortunes au rêves de gloire,
j'ai voulus trempé mes mains dans l'abreuvoir,voir au delà; hommeanimal
je n'est rien su, chaque jours le monde, me passe pardessus,
la pluie ruisselle sans cesse, je voit des rivières parcourir mes rêves,
allongé nue dans l'eau, face au ciel, les yeux fermé, traversant les infinis versant,
déversant tout ce que mon être et encore a même de recraché, de refilé, de craregagatya('rgaergggggggggaerg

petit levé, petite, pute, debout,
l'odeur de l'alcool colle sur mes draps,
les vomissures envahisse mon espace,
le vice grandi large, elle, dégage,
saoul, un âge ou les temps dévisages,
ou les sages trompe les âme de bas âges
toujours le même paysages;
l’alcool coule encore dans mes veines,
j'attendrais pas l'éveil, me promène au jardin d'eden,
que mes lèvres perde toute saveur,
que les vision s'établisse,
que les oraison fracasse la raison'''

Mon cerveau était ratatiné, j'étais un minable titubant des syllabes. Mais quand je les vue sourire je me suis réellement dit,que chaque jours se prête a vivre tantôt a mourir. On s'accroche souvent au souvenir et certaine pensé suffise toute une vie je crois bien.

Les nuages ce dispersés,
J'étais allongé faiblards,les yeux d'un petit gaillard,
Je pouvais rester des heures allongé à observé
Je me disais que j'arrivais à dormir et me réveiller en meme temps,
Dur de pas foiré sa vie, mais on choisi et si je pouvais être autre,je choisirais d'être le même raté,
Parce qu'au final, on n'est rien que des miettes, quoi qu'on face on en revient au même" amour et désillusion"

Une pomme,deux pomme une tarte à la pomme,
Un pauvres, deux pauvres, une bonne femme à aimer,
Hein un hein un des des sein à saisir,
Un essaims à vomir, une ruche niche dans ma chambre,
Le bourdonnement me rend marteaux muritombant,
J'achève mon oeuvres dans un plouf de plouc

quand il fait bon dehors, et qu'il a plut,
une odeur ce dégage du bitume,
et alors,on se dé froc et pisse,
sur l'herbe.... l'herbe verte;
repensant à l'apesanteur,
au senteur des prairies,
et de mes godillot ou quelque goutte s'échoue;

un chat passe, une ombre noir enfoui dans l'herbe,
continuant à pisser pendant ce laps de temps;
il me guette, je le guette, nous nous entre guettons,
tout les deux, plouc, à traîner dehors, ivre sans une chatte

l'enfer est paver de bonne intention,
voila pourquoi faudrait pas faire de gosse,
je suis née, était-ce une faute d’inattention,
croître c'est être voué à l'annihilation;
quand j'bois... je décroi-se les bras,
fait un signe de croix, touche du boit, et pisse debout,
peu importe qui suis-je, si je fait parti du grand... gangbang,
et c'est le bigbang dans ma tête,
il me faut une grosse bitch, un petit bang... bang bang
que mon esprit arrête de tangué,
que je ne soit plus un dandy et que j'file vers tanger éviter l'danger;

Au fond je ne suis qu'un étranger,
quand je me regarde dans le miroir, kafka apparaît,
il me murmure que j'suis un putain de cafard,
un gas coincé dans son placard sans baguette....d'pain;
faut arrêter les sottises, devenir un type lyrics,
un chic type sans hic, sans tic,
retour casse départ, l'esprit clair,
nettoie mon œsophage,
diagramme inspire,expire,respire'inspire,expie

Chicane,
Aboie,
Boit
Bois
Tronche boisé
Ecris a l'arrière d'une fourgonnette,
Ça rentre du taff, pas de petasse rien a boire,
Le véhicule gesticule vite bordel, testicule chambouler,
De l'écriture instantanée de la bonne chiase verbale du blabla dplafar dcafardmerse,
Bimbamshum photocopie de bukowski de mes couilles, je devrais tirer des douille plutôt qu'écrire ou faire le pointeur,pas de soucis cérébral, pseudo écrivain sorti d'un vagin, trajectoire d'un gredin, écris bien enflure, fait des poèmes bidon pour baiser purain purain putain j'ai dit quelque argot pour mes putain de lecteur

triptyque

petit j'aimé la vie, adolescent je la craignez, grand je la crève, vieux'je la reverrai encore

plus de nicotine dans les veines,
je peine à trouvé une qui en vaille la peine,
je suis défaillant, trop d'laboure je me suis chopé un...bleu sur la bite;
gagné son pain à la sueur de son front,dieu et vraiment un effronté normal que le monde s'effondre,
nous les verrons tous se morfondre et se fondre dans la masse, gisante de particule;
je suis donc je pense, si je pense donc je suis je ne suis qu'une illusion;



Je veux pas être la risée, je veux pas brillé mais les brisé,
j'ai pas percuté à la naissance j'avais déjà une corde autour du cou,
j'attendrais pas d'être vaillant, je suis jeanvaljean,
fallait redessiné le monde, evité la foule, se disséminé dans l'atome;
si j'avais su, j'serai qu'il y'a plus rien à savoir, qu'il y'a plus rien à voir,
j'perd mon temps, et croyez moi qu'on à l'éternité pour regretter.



yoo yooo putain de fainéant,
j'fais du yoyo en voulant touché le néant,
bordel bordel les mots peine à venir,
depuis que je picole plus j'ai plus rien à dire,
plus à rien prédire, mon cerveau et mortmortmortmrottoazeratg

Haha j'aime bien. T'as le temps d'écrire en ce moment ?

nan gro vraiment, j'ai du mal en ce moment, énormément de mal, j'comba entre lmanque d'alcool de clope jdors plu la nuit bordeldemerde, jfai même des blagues éclaté de merde,l'impression de devenir con aha

mais la jours d'congé surplu d'énergie jme sui dit ptit free trkl

Jai bu comme j'ai aimé
Jai aimer comme j'ai pus,
Jai vue, comme j'ai, perdu la....vue

j'ai senti un fourmillement dans mes entrailles,
une part de mal désarticulé se débâté en moi,
deux nature coexisté, deux nature existé;
une multitude d'action engendré, d'infini répercussion,
une onde rocailleuse perturbé les eaux immobiles,
tout n'était que sensation, tout n'était que vibration
Dans ce flot continue, je croyais navigué sereinement.

Mon esprit est en proie au regrets,
je me déploie avec des mots,
je ploie sous les mots,
croupie sous le soleil,
fumée cramoisie sort des mes oreilles,
ils traversent, sans cesse mon esprit,
qui ne connais nulle repos,
suis-je condamnée à vouloir comprendre sans cesse,
perdu dans ce marasme boueux;