les vertiges de la vie, les fresques du passer.
ne suis je pas depasser, par les vestiges de ma vie,
j'ai le vertige, je vie loin du verbe, loin de l herbe verte,
je gerbe, ecris quelque vers, le q sur la cuvette.

Nous sommes allée si loin que nous, nous sommes egaré. Que nos yeux, ce sont voiler.
Nous sommes allée si, loin que, nous nous sommes, eloigner du moi.
Nous sommes allée si loin, tellement loin, que nous avons reculé.
Reste t-il en nous ? a ton un sois, un chez soi.
Notre toit est pleine de fuite, les gouttes tombes, est leur bruit n'est que l'echo de nos fuites.

La plupart du temps, on aimerait faire autre, que ce que l'on est, mais on ne fait que, ce que l'on n'est.
En espérant être, autre que ce que l'on l'est, jubilation de la contradiction.
C'est con, comme quand on regrette d'être née, nez à nez face à la merde, d'année en année, rêve de prendre la mers, baiser des femmes qui, se prennent pour d'éternelles vierges, on veut tous être ce qu'on est plus, mais qu'est-ce que l'on est ? on recoue pas le passer, on vit le présent et on ne fait que passer.

La frustration comme un terreau,
de la, on lache des mots, de la bas on reve；
L'alcool noie notre foi, l'usine broie notre revolte；
Nous avions peur du noir, aujourd'hui leur lumiere nous aveugles.
Nous ne sommes plus que des formes informe aux esprits difforme.
Plongeant mon visage dans l'eau froide, me rappellant l'ivresse de l'insouciance d'enfance.
Notre esprit projette nos peur, sortir de l'arene, sortir du moi, ce mouvoir loin des entraves du pouvoir, ou la melasse entache nos ame, voir au dela des mots, au dela des rives, ce qui nous lie les uns aux autres, sont la mort et la vie.

J'ai le spleen un jours ensoleillés. Le soleil semble gâcher à reflété cette parcelle de route, c'est immeubles, c'est gens. Je n'entends pas les oiseaux chanter, ne voit aucun vert éclatant, mon coeur semble être pris en plein hiver. Un douloureux cauchemar me réveilla, de celui ci aucun souvenir si ce n'est celui d'une tristesse. Assis sur l'escalier de l'immeuble, fumant ma cigarette, pensant à l'usine ou je mettrais bientôt les pieds, un homme sorti de l'immeuble, s'assis à côté de moi est me demanda :
-Travaille tu pour la cia ?
- nan
- je t'es découvert, bientôt vous ne me trouverai plus.
- j'aimerai être seule
- j'ai vue vos entraînements, ils sont difficiles
-laisse moi seul.
Il avait une chemise coloré, un visage un peu gros, cheveux court, des lunettes ronde incrusté sur la tête, il était heureux.

Une froideur gagna mon cœur,
Regardant le monde comme une immense fourmilière,
Je me sentais détachées de tout, vide de toute substance,
Ma fin était elle arrivait?

Les chose qui jadis eveillé en moi un intérêt ce son envolé, je boit le reste de mes jours et me délecte de ton corps pour oublier que j'oublie.
Le vide que l'homme ressent est-il seulement l'écart qu'il y a entre lui et dieu?

Je me tiendrais prêt,
Près de la mort,
allongé, tête sur le sol,dans un immenses pré;
Paisible, entouré de nuages impassibles.
Nul n'évite les rouages de la vie.
Sans louange, sous les ailes d'un ange nous partirons.
Je regarde mes frères, savoure chaque dispute, sourire, accolade, promenade en ayant conscience, que peut-être mes mains ne vont plus les serré, que mes yeux ne les verront plus.
Un sentiment qui me presse, de ne pas oublié que demain n'est presque plus.
La conscience de la mort apparaît de plus en plus, sans savoir pourquoi.
Pourtant de ma vie encore un gâchis, ou gît mon âme en semi liberté entre un mitard moisie, est un doux blizzard.

Elle était mignonne maintenant petite mémère aux seins fripé,
Je baise tant que j'pe mais j'sai, le temps est compté ;
Pas de gosse, pas d'femme, pour être sur qu'un jours j'pourrais braqué sans regrets.
Si ta pas de méta, mieux t'vos de bon dorseau, un bon physique quoi.
Boire ça fait passer l'temps d'buko à tant d'autre, y'a pas d'miracle;
Pause 3'x10, t'apprend à écrire, y'a pire, y'a mieux, mais y'a peu d'gens longtemps heureux

Je n'écris plus, plus trop depuis quelque temps.
Il fait chaud, je traverse un long couloir au murs fait de plexiglass.
Je suis gras, des morceaux de chair coller de si de la.
Au début, ont se bats, sa nous démange, ont veut se gratter le piff, l'oreille, son gland mais, ont peu PA dans cette tenu, enlever un morceau sur son cou.
Alors ont trouvent une solution par si par la, et ont accepte sans rien faire,  car ont comprends qu'on ne peut rien faire.
Mieu ont voit en cela un entraînement sophistiqué pour accepter les choses.
Ont boit, ont baise, ça aide le temps d'un instant, ont rentrent, on sors, elle crie, ont jouie, on savoure le goût de la bière dans sa gorge, cette ivresse qui rompts toute sensation de temps, de sensation d'existence
Ont vagabonde dans cette méditation répétitif, ont ce souviens d'abord beaucoup de son enfance, des choses auxquels ont pensé avoir tout oublié puis ont oublient tout.
Il m'arrive de regarder le yeux de mes frère et de voir alors le temps d'un instant eux aussi rentré dans la même rêverie.
L'animal.

Je porterai les miens qui, me porteront jusqu'à la mort ?
Ils prennent leur temps pour écrire, je me prends mon temps pour me détruire.
J'ai visité des lieux, vaudrait peut-être bien,
vivre sur une île à mille lieues.
Beaucoup d'homme de sciences, beaucoup d'homme intelligent.
Purtant, je sens bien le vide dans leur plume, le vide dans leur'coeur, un peu comme un ciel éclairé, de la lueur des lampadaires

Je la baise. Et m'en lasse déjà.
Hélas,
Désir aussi volatile, que la fumer d'un spliff.
Quand le spleen m'enlace, je repense à mes rêves, qui eux, s'en vont à la nage.
Des livres empiler sur le rebord, qui semble bien morne,
sur l'balcon quelque fiente de pigeon, de vielle bouteille.
L'espoir ? fragile comme l'hymen d'une femme,
Le règnes qu'ils nous imposent, peuvent être sanglant
Je m'efface, comme un nuage qui se dissipe,
insipide son mes vers, limpide son mes verres.