é_é tu te débrouille, faut peu de trouille, quelque peu de couille,
puis savoir être ridicule, mais la honte ne tue, la bidouille peut-être'
quand bien même, cela est finalement la plus grand richesse de l'homme,
que l'on a enfant est perd avec le temps, comme si nous n'étions pas néé d'antan

Je m'ennui tellement que je la ferais criée ça mère,
passe le temps à l'en-vers,rêve de Défenestrer le passer,
je bascule l'ordre établi en reversant le temps,d'antan a demain t’entend le même refrain,
depuis Babylone aux mandarin,les même cycl'one,même cyclope,
envoi six clope,je fume,les enfume tous,
dans un nuage je traverse les fou-les,
plus d'aspect,rien que de la terre est des gens déterre,
les mères on abandonnée leur fils,
les pères on baiser leur fille,
plus d’idylle,le monde n'a plus de vinyle;

je reste recroque vrillé dans mon paradis vitreux,
évitant les croque-mort,perdu dans une vallée d'enfoiré,
je fais mon chemin seul,personne ne dévie de sont destin,
je reste et partage mon festin,drôle de dessin que se réveiller chaque matin,
un naufrage seul, à l'ouvrage,d'âge en âge je cherche le raffinage;

ça craint que les vautour soit à l'aube d'un nouveau jours,
parcours la terre à la recherche de ma cité d'or,celle ou les hommes aurais une parole or'normes

Je travaille constamment,
pas de testament,aucun entendement,
pendant que les chien tète moi je lève la tête,
glaive dans la mains gauche,bible mains droite,braise sur les lèvres,
pute sur ma braguette,pas d'étincelle n'y de baguette magique,le diable nous prend en levrette,
pendant que le monde s'agite dans une oubliette,ou es Juliette ?
m'enfonce dans le bus magique,beetlejuice et compagnie'

la tronche cabosser,
dorémi et cabrioler,
des putes et pipe show,
club dorothée mon niqué vision coloré,
je regarde le monde comme une partouze,
reste enfile mes shoes,encule les sans flouz,
manie l'impro comme un pendu dans c'est dernier murmure

dois-je les baiser tous pour qu'il m'aime,
la foule asphyxier,le gosier sec,
un gosse rocé par son père,
le temps dur,encore plus les baiser'

Si vous saviez comme je les aime,si vous saviez comme je les baise,
marche pied nue sur des braise,la baise en marche arrière tout nue,
je cours après le temps mais ne rattrape pas le cours du temps,
j'écris comme je vie,d'instant.... en instant je plane ou touche le fond,
qu'importe le delta'plane je tue l'apha omega

les sentiment sont cimenté,
fragmenté comme une pute sainte,
je crois plus en l'homme,j'e crois plus en moi,
perçois les anges à travers une gorger,
je reste et parfois rêve,
entre parloir et couloir je broie du noire,
reste et prêche de belle parole,
un lâche en imper,tire sur un coup d'paire







l'alcool monte est mon âme déborde,
une bonne étoile sur une pute,
ma conscience et gazée,je reste loin de gaza,
double sens ou parole pur,sort t'es tripe est baise avec une grosse trique



le son ne finis plus,
finir sous un caisson,
j'attend toujours la bonne cargaison,
loin de la maison de la peti'e prairie,
je prie chaque soir,
une mains sous la couille
une autre sur le coueur,
j'ai la trouille d'être mieux que vous,
j'parcours l'asphalte à travers un amas d'fumer,








l'univers m'étouffe,
sous une touff je touche le fond,
parcours le fond en aveugle boiteux,
en boite je danse et dandyne,
les pute bouge et dogine,
ghandi ou grandi,
joyeux thanks giving

J'ai vue l'aurore des premiers et derniers vers
j'ai vue l'horror des derniers verre,
à travers un verre, je voit l'envers du décor;
mon cœur souffre terriblement creuser par des verres infâme,
mon âme se mut en un démon de flamme;

et je fais du sale,du sale,
pendant que le château de sable s'efface,
je fais du sale,du sale,pendant que les perdant se pende;
tend a remonter le temps,a remonter la pente,
le passer me suis,laisse des traces inhérente dans mon esprit,
je sourie pensant..... qu'en me penchant j'entendrai un chant,

enchaîner par mes faiblesse,
équilibre entre ivresse et vertu,
entre belle femme et flamme tendre,
parce que je suis sale,sale,
que la saleté ne ma pas épargner,
que la poisse ma égorger,
je finirais peut-être pas être épargné,
trop égarée mon âme voltige,
que le passer disparaisse,
naître un nouveau jours,
mourir à hier

l'alcool rougie mais joue,
j'fait du zouk avec ma beetle juice,
qu'importe le fruit,je reste et mange à ma guise,
qu'importe le guide,je reste et vie à ma guise'
et j'aiguise mes mots,pendant que les trav se déguise;

je donne ma langue au chatte,vend mon âme au(x) diable,
pendant que les femme bouge leur boule,j'bouscule mes idée sombre,
un homme de l'ombre,mis bête,mis savant,j'doremi la vie fasoleeejkehhefiehjfazejfejio

Je ne sais grand chose,
au fond quelque chose ou d'autre chose,
puis je suis la chose du destin qui chausse du quarante trois,
puis dante,ovide,compte est ovni,personne les a vue venir,
l'étoile qui chute,les silence de chute,et les sicilienne sans seins siliconée;
on finira peut-être bien tous encornée,heureux sont les pas encore née

La confiance te baise,
ceux qui t'on enfanter te lèse,
porte ma bouteille au bout des lèvres,
lève les yeux au ciel,me plante au bout de la terre'

Les spectateurs bande,
les spectateurs se branle,
les spectateurs jacte,
les spectateurs sont des spectres,
les spectateurs juges,
les spectateurs assiste aux orgie,
les spectateurs sont de pur détracteur.

Naze éternel problème,
qui sème baise,
qu'importe les braise mais putain quel rime de con,
je trime comme un chien,pour deux trois petite,djdjqefjojzg
éjgoéj'gojrt


erjféer$oj


ons'en branle le temps passe mon gland ride,
je reste la et ride sur ma planche tordukasfopazefojker

Je rassasie les foule,
reste assis et moisie les pied dans la mouise,
bon qu'à boire et baiser les disciple de moise,
écarte t'es fesse que je passe dans le monde de narnia,
pas de raniania suis un pirahna na,de pire en pire,
prolifère dans l'ère de Méphistophélès,
je leve ma verge et baise le ciel '

Le vice m'entraîne,
la paresse caresse ma verge,
étendu saoul sous des sein,
en mon sein le saint à disparut,
âme pleine de crasse faut que je m'en débarrasse,
mais les basse sans cesse me tabasse;

les yeux vitreux,après quelque verre,
bascule de gauche à droite,premier uppercut dans le vent,
tout se mélangge ma guelang fourche,j'pousse une gueulante,
mes pied gluant s'enfonce dans le sol,ma bouche bouffe du gravier,
plus de sens,les mots saute puis finisse par clamser dans un clappement

https://vimeo.com/53748033

La lassitude,
me percher dans l’altitude,
l'habitude me tue chaque minute,
je titube est écoute souvent les même tube,
toujours le même disque sans fin,
les même mots qui s’emboîtent,
les même femme que j’emboîte,
les même boite... de conserve,
les même rimes claquer d'un vieux névrose,
se tuer à overdose,doser le paradis dans un verre apocalyptique

un vrai menteur,balançant l'apesanteur sur terre,
un vermicelle sur un grain de parcelle,on ma voler ma scelle,
depuis un petit temps mes scelle font des sienne,mais quel chienne,
fuser dans tout les sens,goûter par tout les sens,baiser sur un coup d'chance,
j'glaxone xone,vibre dans ma zone'quitte l’osmose pour le cosmos os ose

Le monde en vrac,la bite qui me gratte,
je m'allonge sur le carrelage est compte les étages,
tout cette étalage,se maquillage,juste envie d'un bon détartrage,
un bon braquage,une bonne pute sur une plage

fumer fumer voir mes dents se noircir,
descendre tout les fumier fumier,
fumer fumer voir ma gorge se noircir,
m'enterrer sur un tas de fumier fumier,
plus besoin de frimer trimer rêver,
courir courir à s'en briser le souffle,
retourner poussière ssière disparaître dans les air air