je poste tout ici quand il s'agit d'impro, cool d'avoir jetter un oeil ;)

Dit gueule louche,
file moi un peut peu la bouteille,buvons à la tienne'mienne
on se lève saoul,viens on va...drouiller foute la trouille,
déambule la nuit,comme un elubmanuf qui titube be,
je prend le bitu me en plein fa ce au sol mon p'auvre dos,mon alter ego me soulève,
j'continue le jours ne sais pas encore lever,
je dé saoule,je croyais j'étais à séoul;

les regrets me prenne, pourquoi j'suis toujours l'même,
je me demande si on peux raser l'passer,
si j'suis pas condamnée à toujours être ce que je suis,
quand j'étais môme j'avais bon coeur,un vrai coeur,
en grandissant j'ai faiblis, aussi vide qu'une bouteille,
j'voulais changer l'monde pas que le monde me change,
je voulais être grand pas un petit imbécile,
je voulais être fort pas docile...

j'ai tellement fait de gourde avec ma gourde,
j'ai tellement semer de goutte au compte goutte que tout le monde goutte mes coups de coude...
non je blague, juste un verre,un derniers vers,plus d'idée va te faire;
je déçois tout le monde,un homme sans foi,
y'a pas de seringue, rien que des femmes sereines quand j'ai de la veine,
j'suis sourd dingue regarde comme je suinte la pute en porc...elaine,
verlaine rimbaud des vers qui en on fait boiter plus d'un.... putain

de l'impro avachi sur un lit,moi je veux rien.... sauf être un pli d'plus,
et je reste la,dans le même bus,chaque jours les même gugusse me focus,
la honte j'ai donnée,j'suis un être qui n'a plus l'besoin d'étonner.

Rien ne dure,
je marche et je sent qu'il me manque de l'air pur,
plus d'herbe pur,le vice me colle à la peau dur,
je reste et j'endure,car je sais que rien ne dur;

dans le bus les oiseaux chante et danse,
des femmes assise au fond du bus,
quelque type se morfonde de leur peine profonde,
mais les oiseaux continue de danser sous le ciel d'hiver,
à chercher quelque verre au fond de la terre

l'écriture suis mes pas,
chaque penser est obnubilé par la présence du vide,
le remplir comme on rempli son verre le jours d'un deuil,de fête,
je m'approche du seuil ou la solitude frôle la plénitude,
ou bien l'habitude servile d'une plume qui maquille la réalité,
et sur mes pas,la prose marque un temps de pause;

les lumières flanches,
le vélo tangue sur chaque coup de jambe,
est je repense à elle et mes coups de langue,
sur les lymbes j'aurais peut-être le droit à quelque nymph,
l'écriture suis mes pas,mes derniers pas.

La danse de l'homme saoul,
sous un monde à faire des vagues,
le verre de trop les pieds divagues,
la flaque sort de ma bouche est coule le long de mes semelles,
les femelles s'offusque,j'essaye de tendre la patte mais ma tête se rabat,
je marche au clair de la lune est les étoile me tombent dessus,
mon pardessus quand à lui garde l'odeur de ma nuit de chien.

Un vaste champs ou ma tête s'accroupie sur la terre,
est j'entends un tas de chant qui appelle mon sang,
et la toupille continue sa danse,puits de mille hanche;
je rêve de finir au bord du précipice,que ma vie soit insipide loin des hospices,
aussi limpide q'une lapidation,q'une femme a-genou en contemplation,
une vie aussi factice qu'une pair de sein rempli d'eau ou j'boiré au goulot,
pédalant une dernière fois en tricyclique,récitant le chant des cygnes.... avec une dernière trique

Tu l'entends se bruit de moto,
entends tu l'homme qui caresse sa femme,
les crie de minuits ou quelque pute qui taille des bites,
mais je me fais pas de bile,elles vident des bourses,
puis lui qui rentre saoul titubant sur un type ambulant,
et l'autre qui imite,puis celui qui écrit tu le lis,
et lui qui reste au lis,et gratte ses puces,
et les migraines,la parano du joint qui fait que t'es penser fuse,
pour certain même la drogue n'est pas serein,
alors quelque coup de rein pour un meilleur demain


caresse*ironie
le bruit d'moto*allusion à l'histoire qui démarre
gratte ses puces*écris un texte parce que ça le démange

.

une cigarette,
un cendrier,
j'arrête de t'endoctriner,
je te laisse les miette,
espèce de clopiner,
fait pas ta mauviette,
moi je me dégonfle pas va tapiner,
pour des clopinettes ?
à qui tu parle,à toi,
à qui je parle,à toi.

.

23h50 j'écris toujours autant de la merde,
comment je peut-être lus si j'abrite un carton dans ma hutte,
je lutte est fait quelque rime pour la forme,puis le fond tu le connais bien vue d'en haut,
moi je veux passer le temps même si je sais que c'est le temps qui va me passer dessus,
au fond je suis pas déçu,depuis le temps j'aurais pus choper le sida,je croise les doigt au fond du chatte, j'ai donnée mon âme au diable pourquoi je suis toujours aussi pauvre

.

pauvre en rime pourtant dieu sais que je trime,
une petite vie de collégien,un Qi de mongolien,
j'essaye de faire avec,peut-être que je m'envolerai en Montgolfière

.

Je me tourne les pouces,
le monde pousse pousse,
y'a plus rien qui pousse ici,
tout est devenu drogue douce,
est je me la roucoule attendant d'faire plouf,
mais bon on iras tous au paradis des plouc

un pied devant l'autre,
lacets serrer,
le loquet fermer,
un petit hoquet,
le clocher qui résonne,
leur de la farandole,
une banderole sur le dos,
qu'elle drôle de farceur,
il court après le rêveur,
puis voit la femme doux comme un beurre,
lui promet des fleurs,au heure des bonne grâce,
il rentre,la tringle puis ressort son jeux d'épingle,
finis d'faire le singe il se dit,pas encore l'heure des disgrâce,
profite de sa chance avant que le change ne change,
tout est une question de taux,est mon dos est au plus bas''''''''

La fatigue apaise l'esprit,
la clarté fait brillé chaque grain de sable,
est le sable dans le vent se disperse sur la même terre,
le temps passe mais le temps n'est rien.

L'arbre immobile s'approchant des cieux,
de ses multiples branche voulant capter le soleil,
l'homme aux fond n'est-il pas le même être ?

Le bruit constant qui englobe le monde,
fessant le tour du globe revenant dans mes lobe;
une détonation sans fond résonnant infiniment dans les bas fond,
est la sphère grouille,grouille de bruit,de vérité infini,
sans discontinuité,chaque nuit,chaque natalité crie vers l'éternel fatalité de l’existence banal ité,
d’Israël à paslestine,de Constantinople au mégalopole,des péquenots est leur femme au gros lots,
de mes proses fané et de mes phrasé à peine achever,finir la bouche ouverte inachevée.[/b]

Quel et le prix de la paix ?
si la stupidité nous sauve signons,
si l'intelligence nous sauve signons,
mais rien de toute cela ne sauve l'homme,
désperement perdu,il n'ya que dans le sommeil que l'homme trouve la paix.