Le type rentrée tard de soirée,complètement ivre,
il était de nature calme et paisible,loin d'être le type à finir derrière les barreaux,
et je parle du type qui ma parler de se type,tu me suis dans mon histoire de bourreau ?
gentille et doux comme un agneaux qui mettrait directe l'anneaux au doigt de ça femme,
pas pour quel disparaisse dans la brise hein,je te parle pas d'un feuilleton type seigneur des anneaux;
puis le type il se réveille le matin,trou noir,les deux yeux rouge, rouge comme le q du diable,
puis il sais fait arrêter plus tard pour viole,un type doux depuis toujours je vous dit,
sans souvenir il avait laisser ça trace,
j'aurais pus te peaufiner l'histoire,mais le diable joue pas dans l'artifice,
et si tu me demande de quel couleur et le Q du diable,ba je te dirais que ta qu'à la fourrer dans,et tu verras bien qu'il se cache dans les détailles.

je me balance d'une tige à l'autre,
me vautrant sur un pieux de coton'tige,
je voltige entre litige et vertu,vice et prestige,
disparaît dans le néant du paraître,fait un bide béant,
l'alcool me manque,comme un gosse sans son lait maternelle,
je comprend rien à l'éternelle,mais dieu à de la veine de plus avoir de peine,
je reste et creuse à le pelle teuse,assis à bander sur la même strip-teaseuse,
souffle mes voeux sur la fin d'une bougie,y'a plus de magie rien que les même film fille de Q

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improvise parmi les démons*
pas de devise,plonge dans le vice,
la vie me sert de scelle,
je me sert pas de ficelle,
de la fille saine je gangrène,
évitant de planter ma graine,
par paresse je reste et goûte au fesse,
tant de dégoût et d'mauvais goût,
tout droit sorti d'un.... égout,y'a pas de chou* métier,
sous le toit,je voit les gouttes s'aplatir,
et je comprend se qu'il en coûte de s'aplanir



binaire en hiver,pic vert en étéeeooeoeeoeoeoeozeofzekfrrgar

*alilunatic

*faute volontaire #tout droit sorti d'un choux fleure/......

Je me réveille,
les oiseaux chante,
je quitte le berceau,
prend un bol de céréale et un verre d'eau,
prend un bol de céréale à l'eau;
pauvre rime,y'a plus de sens,à quoi ça sert de trimer,
j'écris sans étrier,
je me lève sans levier,
je les leve sans levé,
l'élève sans maître,
s'élève sans dieu,
renaître puis disparaître,
renaître puis disparaître;

peu de structure,
je plane comme un rapace,
deltaplane à travers l'asphalte,
de plaine en plaine je passe,
jamais parler la bouche plein,
jamais marcher les poches plein.

Ca fait un peu maladroit, mais y a vraiment l'idée et de belles tournures :o

j'écris assez vite,et en même temps j'aime le côté maladroit,à l'audio j'arrive à jouer dessus

hawāǧis


seul ou dans une foule je baille,
rien de plus,rien de moins,tâtant le braille,
à courte paille je pioche dans les méandres,
fumant,laissant les cendres de décembre,
sans but,n'y passion,n'y amour,j'erre à la recherche d'une terre,
ou m'exiler dans un linceul de sable,entendre l'éternelle bruit de la mers,
au delà des nerfs il n’y à rien,rien d'autre qu'un simulacre vivace,
qui marque mon visage,sage sans âme,qui cherche une trame sous la robe d'une dame,
quel drôle d'état d'âme,sans alcool la vie ne m'enivre plus,à quoi bon vivre sans être ivre,
l'un m'humanise,l'un me déshumanise à choisir chasser moi loin des mortel près d'ifrît au bord d'un point d'eau....

ode à l'ennuie,
goulot au lèvre,
allonger dans la stupeur du ciel,
imaginaire crépusculaire,
je crache mes derniers glaire.


Un éfrit ou ifrit ou afrit (arabe : عفريت `ifrît, et عفاريت `afârît au pluriel) est une sorte de djinn. Ces djinns sont plus forts que les mauvais djinns et peuvent être utilisés en tant que djinns ouvriers, selon l'utilisation qu'en fit Salomon. Ils sont généralement comptés au nombre des djinns, ou génies, croyants.

Le soleil fait l'ombre,ou l'ombre fait le soleil

La paix dans le sillage,
loin des marécage,
de village en village,
d'âge en âge,
de ville en ville,
le file se tisse,
les lien s'unisse,
l'harmonie saxo phonique;

Dans une brume épaisse,je marche parfois trépasse,
chaque jours et porteur,au voyageur sans leurre,
n'y artifice n'y vice,il n'y à que la haine qui est factice

Abysses sombres
Reflet lunaire
Espoir

le temps passe,entre un équilibre bancale,
poisson rouge dans un bocaux,la veille j'oublie mes idéaux,
en rodéo sur le dos du diable,j'rap en dormibic,
et souhaite m'écarter du vide,pencher vers un verre plein,
mais bon la,la question n'est plus la,
réfléchir pour écrire,se fléchir pour rebondir,
un réservoir plein, je brûlerai avec mes poème''

Si nous pouvions chacun,
se pourfendre dans le vent,
être tendre aux gros ventre,
souffler les maux aux monde,
rendre nos âme épuiser,
nos haine infatigable,
et partager un verre de frère aimable,
alors accompagner de nos dame,
nous connaîtrons les peines de chaque postillon,
et dans l'humilité qu'une infinité de million ne connais point,
nous nous enlaceront fanfaron et danseront loin des pharaon.

A force d'aimer,j'ai appris à haïr,
à force de voler,j'ai appris à planer,
à force de jouir,j'ai appris à cracher,
à force de boire,j'ai appris à voir,
à force de prier,j'ai appris la piété,
à force de prêcher,j'ai appris le pêcher.

la porte s'ouvre,
la nuit tombe,
le jours se lève.

ma plume est prolifique,
pousser par un élan antique,
de vie en vie le disque se répète,
d'anal alphabet au banal bancale,
je reste et décale ma vision,
à travers un buvard à moitié vide

Bodhisattva a écrit:

la porte s'ouvre,
la nuit tombe,
le jours se lève.

ma plume est prolifique,
pousser par un élan antique,
de vie en vie le disque se répète,
d'anal alphabet au banal bancale,
je reste et décale ma vision,
à travers un buvard à moitié vide

Sympa, t'étais inspiré là xD

é_é

Une prison décorée,
une vie édulcoré,
de gorée à la corée,
je suis ma propre corver,
continue de remplir le gobelet;

j'aimerais pouvoir tout rembobiné,
à force de m'être embobiné,j'ai fais un bide bidonnée
mon coeur me tourmente,et-il trop tard pour apercevoir l'éternelle,
dansant sur le rythme du diable,y'a t-il quelque chose de fiable en moi.

Y'a parfois de l'idée, mais y'a des lourdeurs au niveau des formulations, si tu les fluidifie un peu ça peut donner quelque chose d'intéressant, mais vu que c'est de l'impro j'peux comprendre l’aspect brouillon !

Celui là est bon:

"A force d'aimer,j'ai appris à haïr,
à force de voler,j'ai appris à planer,
à force de jouir,j'ai appris à cracher,
à force de boire,j'ai appris à voir,
à force de prier,j'ai appris la piété,
à force de prêcher,j'ai appris le pêcher."

merci gros ;) après y'a des truc en impro que je pourrais pas regretter,mais j'ai encore pas mal de taff