jamais fait de haiku,mais j'ai vu qu'on pouvais inventer des mots aussi,si quelqu'un s'y connais bien en haiku et qu'il souhaite m'apprendre deux trois truc... la flemme de lire sur internet les conseilles pour le moment.


une mer sur le ciel,
des yeux sur du noir,
dunas sur un palmier las.



Tafia* tourne sur un volant,
cerf volant à ras de terre,
le rat promenant son chien.


*eau de vie à base de sucre

lune crépusculaire,
calme spectaculaire,
attendant les vents d'hiver,
que faire si ce n'est brasser de l'air;

marchant au clair de la lune,
le marchand de nuit fait ça journée,
les poches vides,les mains dans les poches,
sous son porche le lampadaire éclair c'est petite poche*,
souriant avec quelque passant,ce couchant avec quelque passante.

passer le temps,
le temps déjà passer,
amasser ou ramasser,
ce marier ou vivre seul,
s’enlacer ou s'enivrer,
dans ce vivier j'attend.


*poche/yeux

Du maître je suis l'univers,
m'éparpille dans chaque pupille,
du bas étage je grappille les gages,
patience.... les anges eux même chute;

sans ambition,ne fixer aucune limite,
exceller pour sois,déverrouiller le sceller,
laisser les rats et scélérat on verras bien qui sera la,
vie antagoniste,les gens en font un pantonyme,
et j'reste synonyme à l'homonyme de l’anonyme,
pas besoin de masque pour cacher celui que j'suis,
car lui ce voit dans celui que je ne suis pas,
ne suis personne,mais écoute les doutes...

assumer des faiblesses peut te permettre de gravir des falaises,
chaque phalange pèse sur la balance,sans chance mais croyant....
la seul croyance réside en sois.

l'élève prend le glaive des lèvres,
parle au démon,éveille les anges,embrasse les lépreux
la mesure du temps ce rétracte,les conflits son toujours d'ordre hébreux,
sur un coup de surin le dessin s'enclin,les malin prennent le rôle des sages,
la vie "prend" son déclin,assis je regarde la fin;

sandwich en main,je switch entre la télécommande,
change d'angle,d'un boule au info d'maboule,
les commandes de ma vie sur une gâchette,
l'angle de l'angle, je veux la totalité de l'infini.

le matin les mots s'entrechoque,
ce comporte en catin quand je rêve de mandarin,
sur mon dos de marin,la baleine du K au basque,
je suis ce citadin,déconstruit la république antique,
rêve du fin fond de la caverne,hiberner pour mieux les berner,
je suis de sable,d'or,d'argent,d'encre sur le chemin des miens.

plus j'grandi et moins je comprends,
petit je voyais le monde en grand,
en grandissant j'ai vue des murs ce bâtir,
ce revêtir d'une prison,loin de l'insouciance des petite con qu'on était,
des anges à la naissance,une tache d'encre en guise de signe,
j'avance dans la brume,l'allégorie d'une caverne sous une capuche,
d'allure palmarès je reste dans la paresse,dansant sous l'ivresse du vide;

le temps sur le bout d'une plume,
le sablier s'écoule d'un million de larmes,
sur mon passage j'observe la déchéance des sages,
de jambe en jambe j'enjambe l'ennui,
la plénitude m'envahie,quand les lampadaires cessent de pulluler de fausses lumières;

à la clarté de la lune,
les femmes brillées de mille éclats éclatés,
fragmenter en jupe ou en robe,vestige de la beauté qui s’effrite, buvant le charme des phrases,absorbant ce regard plein de vie, abondant de mots montant sur leur cou,longent leur joue,
jouant aux louanges,murmurent doucement que tu es une belle brune, le fruit d'une belle prude,quand mes mains rudes,passe à travers le voile déluge,d'une lutte jouissive ou les âmes s'entremêlent dans un champ de douceur ou le claquement de mes rimes sur t'es courbe produise une douce douleur;

tes yeux se recroquevillent quand mes vœux pénètrent ton être, la fenêtre ouverte, notre passion s'envole, est de mes souvenirs il ne reste que les gémissements de t'es frémissement.

assis sur mon lis je rêve les yeux libre,
peur de l'ennuie,je m’enlise avec de faux lien,
la paix parfois survient,un bien profond sans ambition,
je rêve d'une partition,ou chacun jouerai de son instrument,
et je regarde le mal,tandis que j'en oublie le bien,
puis je regarde le bien,tandis que j'en oublie le mal,
je regard de mon petit être frêle,mais je loupe l'essentiel;

je cherche la paix,mes les tentations parfois nous soudoie,
au fond je sais quel choix s'offre à moi,mais parfois la peur nous foudroie,
alors je reste de bois,la pluie tombe et m'alourdie,je pourrie à petite goutte,
soufflant les bougies du décompte,plus je grandi et moi je compte sur autrui,
bascule d'un côté à l'autre,un jours je trouverais ma place parmi les votre

marchand nul part,
vendeur de rêve à la sauvette,
je me promène éparpillant mes regrets,
sans un sous,je dors sous un ciel lunaire,
le monde lui continue de ce mouvoir en pleine air,
les nuages emporter par le vent léger,
piéger dans l'illusion de prométhée.

je marche le long d'une corde suspendu dans le vide,
la penser m'alourdie,le suspense de ma chute béat,
sur un son d'accordéon mes pas survole la nébuleuse faucheuse,
et je m'accroche à l'idée que les dès ne son pas jeter,
j'aimerais me projeter loin de la foule, finir mes jours prospère,
j'aimerais m'engloutir dans la masse, loin de la solitude austère;
fragmenter et parsemer je part semer mon esprit lésé,
biaisé dans un piège,mes pas léger vers la fin de mon récit,
orphée fait vibrer chaque corde sous l'attention du diable,
il cache son âme,tente de sauver sa flamme de la bouche du mal.

fleur sous terre,
graine sur terre,
l'eden dans le ciel terne.

mes textes son personnel,
l'autre ce voit à travers le reflet d'son verre,
perdu dans un désert,mirage d'ici à nul part,
j'dédie mes vers'vers quelque'part,
les regrets enracinée depuis notre naissance,
jouissance après jouissance la vie perds de ça saveur,
à 6h du matin je me lève quand les oiseaux ce mette à chanter,
j'ai suffisamment dansée,j'ai plus envie d'nettoyer le planché,
que ma vie cesse de flancher,vivre en paix hors des tranché;

Ou vas t-on,
le rap un échappatoire ou une passion,
entre fiction est pilon,
dérisoire est la direction d'une lame,
vendre son âme au diable ou donner ça langue au chat'te

Je suis un fou parmi les saints,un saints parmi les fou,
trop longtemps attacher au sein du lait maternelle,
rattacher à une nationalité je m'extrait de l’éphémère,
nos larme amère ce dilate dans l'hémisphère,
serein guedin,je suis mon propre larbin,
j'évite le larcin un brin enclin à la fin.

Orphée a écrit:

Je suis un fou parmi les saints,un saints parmi les fou,
trop longtemps attacher au sein du lait maternelle,
rattacher à une nationalité je m'extrait de l’éphémère,
nos larme amère ce dilate dans l'hémisphère,
serein guedin,je suis mon propre larbin,
j'évite le larcin un brin enclin à la fin.

j'ai survolé ton topic, mais selon moi celui là est juste au dessus de tout

thx ;)

L'écriture,les pierres aplatie sur le sol,
la vie,l’écume des bières en mains,
des familles reproche leur gosse au chomedu,
les fils reproches le trop d'coup d'ceinture,
cherchant un petit bout de paix,on ce rapproche du paradis artificiel,
la flemme de bouger nos fesse,pour quelque liasse on s'entasse,
des immeubles rénovés,autant de môme démonté à l'intérieur,
gratte le ciel loin de la poussière du sol,
sur nos cahier les premières écriture était intérieur;


je rêve de sac à dos parfois,
de voyager sans fin,
même si des fois je suis un con,
même si des fois j'déçois,
je suis rester encore ce même môme au fond
optimiste pour pas un rond.

le vent emporte les feuilles,
la lumière passe à travers,
l'éclat des gouttes suspendu aux branches,
dans leur chute nourrisse la terre,
de la racine au ciel,un pied sur terre,la tête au ciel.

suivre la mélodie des mots,
s'échappant de l'âme,
vers l'asphalte on plane,
un idéal sans graal,
de la racine aux branches,
le sol pleureur affalé par le poids de la gravité.

Quand le cœur ne recrache plus rien,
que l'air ce raréfie,que le souffle ce glace,
regard le soleil ou la nuit s'étendre,
dans ce silence ou aucun bruit ne s'éveille,
j'entends pourtant la vie battre en battement.

La vie en cabriolet,
je débarque dans ce cabaret,
et à se qui parait les femmes vende du rêve sur un canapé,
elle porte une jupe violette et en levrette sème de l'espoir,il nous reste quelque miettes,et les petites minette;
je reste et baisse mon caleçon,sort mon calepin et voit la vie en diapason,mon destin s'échappe au bout d'une chanson,
poisson qui croque à l'hameçon,plus de leçon à donner,
ça fait longtemps qu'on à perdu la donne,
je rêve de percer le sablier,
je suis un sanglier qui fonce tête baisser blesser et féroce je baiserai comme un porc..

Opinion sur opinion,
opinion contre opinion,
opinel sur une prunelle,
une belle plume contre une belle bouteille;
une belle prune sur une belle brune,
Absurdité ou fondé,
les dès n'ont jamais était lancer.

yo,
je prends en cours, j'ai survolé ton topic également il y a beaucoup de chose en bien et en moins bien.
c'est surchargé quand même ouvre un topic à chaque fois plutôt cela sera plus agréable à lire !!

cette improvisation ressemble maintenant à un recueil de tes états d'âmes.

peace