Le coeur murmure à l'âme,
Bien plus qu'une alchimie,
Le long des lignes infinies,
Tout me paraît insensé,
Comme tant de baiser sans brasier,
Tant d'amours illusoires,
Des mots pourquoi,
Qu'avons-nous de plus en nous,
Que notre coeur bat,
Que notre haine excelle,
Dans une infime parcelle,
Nous semions la terre,
De nos larmes un étendard.

es ce que ta déjà penser a faire des concours de slam ....

je suis pas assez douer pour sa

https://www.youtube.com/watch?v=l7KLx2MxpBM

Une case en moins loin du coït céleste d’Adam est d'madam,
mam'zelle loin d'son zèle habituelle Baiser dans sa gage...thoracique
casé la voila biaisé le comble pour une baiser de l'air jurassique,
euqificap ce prend une claque puis plouf coule la belle narcissique,
Qui s'y frotte Cynique.

Une case en moins loin du coït céleste d’Adam est d'madam,
mam'zelle loin d'son zèle habituelle au rêve de fantomas,
de faux fantasme loin du sarcasme elle aime être bestial,
casée la voilà biaisée le comble pour une baisée,
fantasmagorique Qui s'y frotte cynique.

sisi bon choix de mot pour une impro il reste a l'esprit
et intrigue c'est recherché et pousse a la reflexion

bien joué


ps passe a l'occas
https://rap-battle.jeun.fr/t75980-mast-e-vih

merci gros ;)

peace

un animal le soir il n’y a plus de foi,
coup dans le foie crucifier sur une croix,
plus de choix le premier coup du rois,
animosité bestiale soif de sang en sois,

Je ne vois plus le temps passer,
mes yeux se perdent dans la nuit,
loin des cieux au rêve imparfait,
le coeur d'heure en heure se creuse,
quand la vie danse sur nos omoplates,
en choeur au chant des bonnes soeurs

je me suis fait avoir par t'es formes,
j'ai cru toucher le fond quand tu t'es mis à hurler,
certain crie son jouissif d'autre proche du récif,
vivre enfermer dans un récit ou devenir l'artiste de sa propre vie

https://www.youtube.com/watch?v=miE1ldq59u8

ivre de t'es formes,
écluser la vie à pleine bouche,
clarté anodine ma petite ondine,
dînons ensemble ne me dit pas non,
plaquons-nous dans ses ruelles ensoleillées,
paradis artificiel d'une bouteille au bout des lèvres,
ivresse passagère me voila prélasser autour d'une rivière éphémère,
dérivant sans cesse ma pauvre mère perdue dans la mer idyllique,
me voilà fataliste mon code génétique ouvre les portes du Styx,
un stick n'y changera rien, mon âme n'y fera rien, plus rien à perdre....

femme d'hier femme de demain femme entre mes mains,
dérobant la délicatesse de ton âme, j'ôte ta petite robe,
débordant d'une pulsion animale je m'exécute et m'excuse de t'exclure aussi vite,
vois-tu le coeur à sais raison que le pénis ne comprend pas Anais,
finir seul sans linceul voici la prophétie d'être maudit à la plume non voulue.

J'ai décidé de ne plus rien décider,
d'assumer le masque de l'eau,
de finir ma vie déguisé en rivière,
en tourbillon, de rejoindre à la nuit
le flot ample et doux, d'absorber le ciel,
d'avaler la chaleur et le froid, la lune
et les étoiles, de m'avaler moi-même
en un flot incessant. "

JIM HARRISON - Théorie et pratique des rivières.

je vais vous parler d'une ville peu banal
Je vais vous parler de ma cité capital
C'est yaoundé la belle,ville sans égal
D'ongola la ville sans égale


Tu aire dans une ville plein de vert
Dans cette d'où je suis originaire
ET où j'ai grandi
Tu verra poster du dimanche au samedi
Mes gars sures, c'est la routine
Comme un bébé avec sa tétine
Tout le monde veux dire je pine
Et les filles parles du mec qui les baratine
LEBOGO's STYLE

C'est la première partie de mon slam j'ai la suite mais je veux vos imprésion sur ceci

je me perd,
je suis perfide,
loin du père,
près du chiffre paire,
du moins toujours deux couille,
pleine d'encre pas besoin de douille,
j'ai toujours eu la trouille,
je fouille m'enfouie m'enfui même le soleil me fuis,
ou suis-je,
qui suis-je,
juda ou jésus,
argent ou croix,
faite votre choix.

tu es juste un gars qui a du talent

le talent qu'est ce que c'est,
une bouffer d'air pur qui s'expire en poussière de diamant?
ou cette homme brave pousser par les soucie sans jamais glousser,
cette homme agenouillé à terre qui prie les yeux fermer la paix au coeur,
ce soleil s'agenouillant pour laisser place à la lune,
ce pere ce couchant pour laisser place au fils,
je ne suis qu'un fil n'existant qu'au bout d'un file,
une coupure me sépare à jamais d'ici

j'avoue que c'est bien construit

la nuit m'échappe,
la vie m'colle à la rétine,
le cœur ensevelie plus l'envie,
l'écriture glisse sans vaseline,
plutôt dur en coeur près à bondir pour approfondir la brèche,
presque au sommet d'une bonne prêche mes fidèles amis mes futur ennemie,
la nuit ne porte conseil qu'au insomniaque rêveur dans l'âme mes animaniacs,
le trac devant ce traquenard hein Bernard qu'elle rime de bâtard,
la vie passe mon écriture découle d'un crane sordide au idée macabre,
un ange tombé du ciel déçue par l'homme de neige qui au soleil disparaisse,
laisse ma trace indélébile le son qui coule en débit n'en débite pas moins qu'une brindille....

https://www.youtube.com/watch?v=jSXiNdTbTA4

écrire par impulsion comme cette tension entre deux sexe,
cette vision d'un monde libre qui découle d'un code binaire,
au parti inerte on ma briser l'artère me voila à terre tremblant,
observant chaque étoile évaporé de son sang;

une paix assourdissante dieu ma mis ici pour être une détonante,
étonnante mixture vomissant chaque syllabe m’érigeant devant chaque fils de pute,
pub ambulante,femme notoire, près du trottoir les première sucktrotters,
continuant à divaguer dans une pure confusion aussi imprévisible qu'une balle perdu

marchant d'un soir de printemps,
rêve pleine de larme foulant la terre,
l'argent l'argent mes gens son malheureux,
leur tristesse pénètre mon coeur foudroyant,
quitter l'aube pour briller dans la pénombre,
n'être que l'ombre de sois même loin des jardin d'eden