Oui ce mec sais interpreter ce qu'il voix tu as du genie

Je viens par le sentier de la montagne ;
les herbes poussent, touffues.
Pluie de printemps.

Pluie de mai.
Perlant du toit, des gouttes d’eau
crépitent au nid de l’abeille.

Tombé malade en voyage,
En rêve, je me vois errant
Sur la plaine morte56.

56 Dernière poésie que Bashô écrivit sur son lit de mort et laissa à
ses disciples (1694).

petit perdu perdure dans les champs,
amis d'enfance pré d'un chant d'soleil sans vision abstraite,
chaque éclaircie est une merveille,
grandissant la porte close les math ne rentre qu'à coup de bleu d'azur ou est le problème,
petit pas rêvant d'une vie sereine loin de l’abreuvoir ou les démon s’abreuve pour te voir lèvres blême;

vie de bohème dans le coeur quelque poème près d'une bouteille
gauloise à la mains fumer s'éparpille laissant place au pupille,
contemple chaque signe de paix quand l'esprit ensevelie par mille est une nuit,
ou trouver le sommeil on ce replie sur nous même fuyant la vie sans défie,

amertume au bout lèvres sans thune rêvant de ne jamais sortir du lit,
soleil éclaircie moi la peau réveille l'ardeur de mes veines ouvre le coeur.... plexus solaire,
près d'un livre mon coeur ébahie ma vie ce transporte mes mots résonne dans mon crâne,
l'écho d'un ricochet sur mon âme abat le crochet de l'hameçon d'égos

petit perdu perdure dans les champs,
amis d'enfance pré d'un chant d'soleil sans vision abstraite,


*pré= faute faite exprès pour essayer d'amplifier la vision du champs ainsi que du chant qui en émaner

Super ce que tu fais I LIKE IT

merci, mais moi je suis toujours pas satisfait il manque un truc un jours jtrouverai

Esperons que ce ne soit comme la quet des alchimistes qui etait a la quette de la pierre philosofale














Mais sur tu trouveras et souvient "QUAND C TROP C LAID" et j'ajoute quand c laid c bizard

BONNE CHANCE l'amis moi j'ai beaucoup apris

Et quand je pense qu’après ma mort,
Il y aura encore des jours pour les autres, d’autres jours,
D’autres nuits.
Des chiens en maraude, des arbres tremblants dans
Le vent.

Je ne laisserai pas grand-chose.
Quelque chose à lire, peut-être.

Un oignon sauvage sur la route
Ecœurée.

Charle bukowski (précision ce poème est de lui ) je précise au cas ou si cela devait me faire passer pour talentueux, j'ai écris le nom de l'auteur mais si jamais cela ne suffit pas à montrer qu'il est de lui.

fabricaçion de preuve mdr

(ici il n'ya que de l'impro,récit,débrie de l'âme, fantasme est du blablaratin )

soleil sur ma figure défiguré,
mes yeux brille devant cette poitrine dorée,
je sais quel sais mais si jamais je serais m'héberger,
flotter le long du courant prenant ses jambes à mon cou,
essayer donc de remonter le cours d'eau en flottant,

m'emportant au longue courbe de l'ocean,
ne voyant plus que le vide sans fin,
bras guider par les petite secousse de vague,
quel beau visage écoutant les divagation vague,
quelle belle petite femme plongeons profondément au fond de l'ocean
mais fait attention de ne pas boire la tasse...

Tu fais penser a un poete classique mais pour une raison que j'ignore tu veux toujours montrer un petit cote badboy c ton style mais pour moi les deux ne cole pas ou alors tu harmonise ca mal mais sinon tu peut chercher la pour voir ce qu'il te manques

Et pourquoi tu as changer ta photo?

parce que la vie change continuellement, tu pense que je souhaite montrer ceci je ne sais, je suis plusieurs entité en une, donc ma poésie ressemble la dislocation de mon cerveau est dépends de mon humeur, si je bande bien ou non le matin tout cela son des facteur qui détermine la poésie du jours ;)

splash plash lash,
foutue pare brise,
splash blash blash,
foutue pare brise,
la pluie ne cesse de rire,
partout des petites gouttes sur ma petite vitre,
le soleil arrive douce odeur de route mouiller,
lève le frein à mains on repart sur la route....

soleil rivée sur ma face,
éblouie je jouis à petite goutte,
devant moi un déjanté saute,
freine sec lève la tête,
j'ai perdu mes boules sur un coup d'autoroute...

la vie cette espèce de traquenard,
poursuivant son étoile dans le vent,
pouffant de rire puis versant des larmes,

parlant des femmes ou de l’abstinence du temps,
l'emprise des jours pluvieux sur nos vers cylindrés,
d'une roue à vélo sur le même gravier à chier;

Du jour ou cette fille sublime nos traits,
du jour sublime ou cette garce noircie nos trait,
toujours les mots changeant est débandant,

de belle prose aux fesses roses,
ou de belle rose sur une tombe,
ou de belle rose pour cette bombe,
qui sait si un jour nous ne péterons pas un plomb;

il n'est aucun plombier qui pourras réparer,
l'usure du temps sur votre figure délabrée,
qui laisse les marques d'un souvenir charnier,
et d'un beau regard à charmer.

la vie est semblable à une pièce, nous ne pouvons voir qu'un côté à la fois, le bien et le mal sont comparables à cette pièce, le destin choisit la face qu'il souhaite te faire voir, toi tu n'es que celui qui lance la pièce...


une flûte dans ton Q les oiseaux siffle des vers,
aussi creux qu'une anorexique bouffer par les vers,
aussi gore que baiser la vie tout en étant nécrophile,
on s'accouple pour reproduire nos erreurs,
on court au son d'une alarme dites moi ou et le leurre,
une belle structure déstructurons pour laisser l'esprit parti en effusion,
sur un ring le sang gicle de la lucidité de l'homme fusionner avec le sol,
le seul arbre qui pleure est maintenu à terre....

(de charle bukowski)

il y a dans mon coeur un oiseau bleu qui
veut sortir
mais je suis trop coriace pour lui,
je lui dis, reste là, je ne veux pas
qu’on te
voie.

il y a dans mon coeur un oiseau bleu qui
veut sortir
mais je verse du whisky dessus et inhale
une bouffée de cigarette
les dames légères et les barmens
et les employés d’épicerie
ne savent pas
qu’il est
là.

il y a dans mon coeur un oiseau bleu qui
veut sortir
mais je suis trop coriace pour lui,
je lui dis,
tiens-toi tranquille, tu veux me fourrer dans le
pétrin ?
tu veux foutre en l’air mon
boulot ?

il y a dans mon coeur un oiseau bleu qui
veut sortir
mais je suis trop malin, je ne le laisse sortir
que de temps en temps la nuit
quand tout le monde dort
je lui dis, je sais que tu es là,
alors ne sois pas
triste.

puis je le remets,
mais il chante un peu
là-dedans, je ne le laisse pas tout à fait
mourir
et on dort ensemble comme
ça
liés par notre
pacte secret
et c’est assez beau
pour faire
pleurer un homme, mais
je ne pleure pas,
et vous ?

dans ce tram il y'a cette veille dame qui regarde cette homme,
les yeux grand ouvert elle respire la condescendance,

dans ce tram il y'a ce gosse qui regarde partout est nul part,
sa mère lui tient la mains en pensant à son dernier amant,

ce clochard bouteille en mains pavane son crâne le long du tram,
il écume son mépris de la vie sur un siège au regard vide de vie,

dans ce tram il y'a cette homme qui regarde loin de tout...






navire sur le monde un chapitre ce tourne,
encore une heure à songer ce qui ne tourne pas rond,
le sommeil fait des siennes comme cette chienne qui pour un rond ce plie,
anecdote croustillante les gens s’excite près à s'exhiber pour quelque billet,

le pouvoir en haut de l'échelle la flemme de grimper 400 putain d'gratte ciel,
gratte le papier rien à faire de mieux que de rêvasser d'brasser,
à quoi bon planer si on finis écraser,
j'ai rêver de voler me voila baiser,
Prométhée à voler le feu pour illuminé les être,
enchaîner sur un rocher le prix à payer c'est d'être.

un soir de printemps,
le temps fait son temps,
les gens changent,
les temps changent,
au fil du temps nous rêvons,
d'une infinité de rêves qui s'efface,
disparaissant dans la pendule du crépuscule;

la chance se bouscule,
minuscule lumière dans la nuit,
les rêves laisser dans le cœur des hommes,
peut son ce qu'ils ont voulus être,
beaucoup paraissent être ce qu'il ne sont pas,
sur mes pas je laisse les traces du temps,

chaque texte est passer,
laissant un vide passager,
touchant les cœur familier;

l'avenir est sombre quand notre ombre faillie, sur les rues sans fin je vois mon âme défaillir, une bougie sensible au vent rêvant d'être porté par le temps, quel temps fait-il chez toi ? m'as tu oublier où me suis-je perdu, sur mes mains tremblantes émane une âme sereine suspendue aux lèvres du temps.

Mon espoir quitte les sillages de la vie,
vacillant de tristesse je reste par paresse,
rêvant de rêvasser près des souris est loin des hommes,
mon esprit parfois faiblis devant l'enfermant de mon environnement,
environnante est l'habilité du diable quand il est depuis toujours en chacun,
je continuerai de sourire tant que je pourrais cerner l'immensité du ciel,
mais le jours ou mes yeux ce fermeront alors il n'y aura plus que de la paix.