les oreilles qui siffle,
le vent emportant nos regrets,
laissant place au rêve de demain,
née dans la fleur du dédain,
je parcours le monde sur mes deux mains,
restant est promenant mes yeux d'ici à la bas,
ne distinguant plus le bien du mal;
mais l’a-pitoyablement du diable sur nos femme,
mais l'a-pitoyablement du diable sur nos âme;

tant de chose qu'on voudrais faire,
tant d'être qu'on voudrais aider,
mais chaque jours je voit la lueur des étoile pâlir,
est je sent que mes mains son près à en pâtir,
est je sent que mes mains on soif de sang,
que faire si ce n'est céder à la pression du rang,
je soudoie le diable pour quelque jour de joie,
est mes peine s'établisse dans mes veines joie;

chaque homme ce demande ou il va,
chaque homme sème sur ça route de la tristesse,
ampli de stresse quotidien, ou nos frère périsse sur terre,
sans phare pour guider nos pas,nos rempart s'éteigne avec l'âge,
dans un cimetière ou nous ressentons que le temps n'épargne personne,
des fleurs qui fane laissant place à de futur relève,
qui était le premier à ce lever sur cette terre,
qui sera la pour enterrer le dernier restant sur cette terre.









* vaine/voulus utiliser la sonorité pour faire en sorte qu'un mots puise avoir "deux sens", si vous imaginez par exemple vos veines en un circuit ou circulerai les joie est les peine, est en même tant vaine joie car cela à souvent une sortir illusoire.

Premiere faze pour atlaas ...bouh le mechant

aha même pas, tu vas m'attirer des ennuie é_é

les gens ce dandine,
je ne suis pas un bandit mais juste un dandy,
je m'enivre de la vie, je t'aime,enfaîte, (je) m'aime,
est sur mon lits allonger j'compte les vers à l'envers;
décomposer les mots puis recomposer l'univers,
je fais mon trou je suis un vrai verre de terre,
tandis que les un ce bouscule, moi je matte ce boule terrestre;

canaper endoctrinée, la vérité au bout des seins d'miss d'météo,
je referais pas l'monde,je sais même pas pourquoi j'écris,
y'a des jours ou tout parait absurde d'autre ou tu parait sur,
à coup sur la vie nous auras à l'usure,usine ou chantier la voi des dernier j'tassure,
sera l'premier qui me diras qu'les dernier seront les premiers de l'an dernier,
han j'menballe l'inspiration s'use, à quoi bon user mes dernière paire d'nike.

petite prose now

je souri à la vie quand celle si me fait signe de m'éclaircir les idée,
un éclair surgit,je m'agite est court dans le sens d'un electron,
pauvre poltron,le prolétariat en guise de croix chacun ça croisade,
la liberté un long combat demande à mandela de l'au dela,
je devine le futur,suffit d'ouvrir la pomme en deux.

la lune nuageuse,
harmonieuse lumière née d'un éclat de lune;
scrutant la clarté des cieux,en pensant à notre temps précieux,
oubliant jusqu'à soi dans le soir de cette la nuit d'été,
ou sommeil père est fils, sans un bruit dans les rue déserte,
s'entendant penser dans le vent bousculant le moindre nuage.

une pluie attendrissante s'écoula,
descendant lentement sur le visage,
parcourant ça grande ride littoral,
sage au larme de rage ce déversa,
la vague émergea de ses yeux,
poussant un crie lointain,
ou le futur résonne au bout d'un doux faible hurlement.

killa a écrit:

Premiere faze pour atlaas ...bouh le mechant

Ohhh, tiens, pas de Mow pour dire qu'il me suis partout et qu'il en deviens lourd ?



Bande de contradiction ambulante.

supprime ton message s'il te plait, envoie le en mp sinon,merci.

Ca date d'une semaine trou du cul on etait en pleine embrouille toi et moi. vient pas pourrir son topic... trop tard...attardé...supprimez les posts les modo

l'homme assis sur le sommet du monde,
repensa au mal commis dans ça vie,
souriant devant les souvenir glacer des pied nue sur le sol,
éloigner de l'amour en son coeur,finis par rejoindre la paix,
dans ce souvenir d'enfance une trace d'amour éternelle gisait,
la vie elle.... elle continuait,d'autre enfant vivrons est rirons:

l'homme assis sur le sommet composer des sonnets,
déversée des sentiment dispersais par les pluie incessante,
reposant son âme sur des rêve naissant,
ce dispersant dans le vent fleurant,
pour ne faire qu'un avec le temps.

J'aime bien j'en ai lue quelques uns t'es doué

je sais pas, sympa d'avoir lus quelque un de mes poème gros

j avais jamais vu que tu faisais des trucs comme ca orphée tu slamm apres ou c est comme ca sinon envoi les sons ca doit etre lourd

j'écris juste comme ça quand j'ai envie,souvent des impro, ça peu être de la prose ou même des petit texte ect,mais je suis loin d'être "lourd"

nan je disais que si tu posais ca en slamm ca serait lourd c est pas mal serieux mec jpense tu tsousestime un peu

c une malédiction,tu en veux toujours plus rien ne te satisfait

Percher sur le monts syllabe

Une vie sans mesure,sur la pointure de nos blessure,
traversant l'impasse des tours de passe...passe de l'Etat,
des point de suture sur le cerveau,je sature est saturne sur le bout de mon réseau,
sombre à vous le défiler des ombres qui s'ouvre à nous;
vivrez vous de l'ivresses des lettres sur les lèvres d'eden,
ou enchaîner au chêne du paradis artificiel des maîtres;

Sur la mer les coups des vagues saoul,saoulé,emporte mes pied sans soulier,
est je divague sur le sablier, mes pensée vague,vaque vers d'autre vague,
d'autre rejoigne la rive,d'autre dérive,
je fixe le ciel est le temps ce grise,
pas de promise ma prémisse au bout d'un rixe,
ma bouteille de rive en rive arrive,
je suis le messager échouer en pleine mer.

Les idée disparaisse dans nos paresse,
la bassesse de ses fesses enivre mes rêve,
regard la ce déhancher,les anges en son désenchanter,
entend tu les déjanter chanter son nom dans les rue nue du monde,
sans avenu,les loups s'abreuve de tout épreuve,
plantant leur croc dans les cuisses vierge de marie,
j'saisiras tu m'as parabole ou ne verras tu qu'une parade,
nostradamus camus,qu'elle divine comédie.

up please un texte que j'ai plus ou mains travailler sur la durée un peu la,donc j'aimerais vos avis aha

ben aimé,après c'est + du slam dc je sais pas trop sur quels critères juger... par contre ce passage je le trouve trop brouillon,on y perd le sens "Sur la mer les coups des vagues saoul,saoulé,emporte mes pied sans soulier,
est je divague sur le sablier, mes pensée vague,vaque vers d'autre vague"

et ce passage où je trouve que le mot "fesse" fait tâche... Les idée disparaisse dans nos paresse,
la bassesse de ses fesses enivre mes rêve,

sinon le reste est vraiment pas mal écrit

merci gros,oaui je comprend, en faite j'ai essayer d'utiliser le corps de la femme en image g~ mais thx d'avoir dit ce que tu en penser gros