Bodhisattva a écrit:

je suis en léthargie,
mes idée s'élargisse,
agir,s’assagir,mon dieu ou es tu,
on à rien demander ?
qu'elle et la trame de la vie,
qu'elle est cette dame qui ondule,
méduser par la vie....pisser dans un évier;

je ne peux plus me lever,
les rêves ont quitter mon coeur,
les mœurs m’assassine,les mœurs m'enlace,
ou est ma place,ou suis-je ?
qu'importe laisser moi crever la bouche ouverte,
atome,univers,infini fini,mon dieu ou suis-je,
bon dieu j'ai encore trop bue,
paradis artificiel,alice au belle fesse

J'ai particulierement apprécié celui là

ahahaa merci gas ça fait plaisir,en ce moment j'écris pas mal, que des petites impro,mais je commence petit à petit à transformer mon écriture,enfin y'a surement que moi qui le remarque mais je crois que bientôt je vais vraiment faire un sale truc é_é

cool ton image,y'a pas moyen jte la carotte envoi la si tu la en format grand aha,passerai bien en bannière fb

L'attachement bousille mon cœur,
roupiller au soleil,loin d'un travail à l'usine,mon dieu hallucinogène hallucine quand je contemple leur temple,
les hommes s’enchaîne comme les travaux à la chaîne,pendez les tous.... au bout d'un chêne,
rêvant tous d'une famille aimante,se réveillant avec une pute bienveillante,
un beau vocabulaire,des habilles qui en font des moines,enfin bon bientôt je me pète à Des Moines,
iowa j'irais foutre quoi à Fukushima,ici les hommes sont tous radioactive et leur amour et fictif,
j'ai aimer les hommes du mieux que j'ai pus,
j'ai vue du mieux que j'ai bue;


Mes poèmes,chanson,appelle ça comme tu veux garçons,
sont un mixte d'illusion à foison,d'un poison au fond de l'âme,
un glaçon remplis de whisky, chacun ça maison de sucre,
en tout cas je casserai pas du sucre mais une énorme brique,
y'a que quand j'ai la trique que je prend mon pied,
donner de l'oseille que je glisserai entre vos deux oreille,
pas de mots doux n'y de vaudou,nique garou et tout les loup garouhouuuuhouuu trololo

Bodhisattva a écrit:

ahahaa merci gas ça fait plaisir,en ce moment j'écris pas mal, que des petites impro,mais je commence petit à petit à transformer mon écriture,enfin y'a surement que moi qui le remarque mais je crois que bientôt je vais vraiment faire un sale truc é_é

cool ton image,y'a pas moyen jte la carotte envoi la si tu la en format grand aha,passerai bien en bannière fb

tiens le lien de l'image http://www.google.fr/imgres?imgurl=http://darkdreams.d.a.pic.centerblog.net/4e800b92.jpg&imgrefurl=http://darkdreams.centerblog.net/1413-paysage-sombre&h=296&w=450&tbnid=NAl4ZmSMNa0cTM:&zoom=1&tbnh=94&tbnw=143&usg=__B1v8wxWef_pgGbrkL5qUPciz1RA=&docid=Dtj1weqEMF8gwM

pourquoi j'aime une femme est elle ne m'aime pas,
pourquoi une femme m'aime et je ne l'aime pas ?
me raccroche à la gangrène comme un bon negre à son maitre "han",
continu de rimer mais le flouz ne coule pas d'eau d'source "huuu",
l'attaque des titans,une masse contre un géant,une vie contre le néant,
je fais le vide,je fais le vide,et tourne en rond rond bon à quand le bon,
on dévie dans le vice,je ne suis plus le fils de mon pere,mon pere n'est plus que de l'air

Ma vie,mon être, sur une titanesque petite planète,
que mes fresque sont pâle sans la douceur d'une chatte,
et je m'enfonce dans la nuit,voyant les paysages défiler,
et j'aimerais continuer sans fin,que la nuit n'en finisse point,
que mes textes ne soit jamais marquer d'une fin,
que mes lèvres ne quitte jamais les siennes,et les siennes,
que le chant des sirène m'emporte dans une dernière valse,
loin du vacarme des hyène,écoulant écoutant mes peine dans un déchirement du ciel.

Je dois travailler ma nouvelle mais je rame rame,
putain trouve moi de la poudre... d'escampette,
que je décampe de la,que je me dédouble dans la foule,
et je perd la tête,les nuit sont empli de voi,
je ne voi pas mais j'entend les mort huhu fils de pute,
continue de bouger ton boule,dans cette foule fêler,
continue de bouger ton boule,dans cette foule fêler,
la fête viens de débuter,la sueur plein le froc défroque moi et suce moi,
excuse moi d'être ce que j'suis,un pauv'type que la vie à égarer,



l'alcool dans ma trachée,trop fin pour me pendre avec des lacets,
je veux juste tracer,disparaître sans trace,ne plus paraître être,
je pourrais pas porter de bracelet n'y de cravate attacher aux couilles,
je tire une douille et fait mouiller quelque salope,le diable danse dans mes yeux vide,
à la poursuite du nirvana dans une belle suite j'essuie mes fautes dans une belle bouche;

saint,dieu,diable,couronnée le tout d'un bon coup d'pied,
renversant la table,transversale sont mes pensée,
sale et mon âme,j'avance dans un détale sans fin,
escalade des monts sans sommet...

Si j'ouvre la fenêtre les moustiques viennent,
si je la ferme je crève de chaud,
la vie c'est un dilemme avec quelque blème,
la peau blême j'écris ce poème avec la bite molle;

trololo

Bodhisattva a écrit:

je ne voi pas mais j'entend les mort huhu fils de pute

Bodhisattva a écrit:

me raccroche à la gangrène comme un bon negre à son maitre "han",
continu de rimer mais le flouz ne coule pas d'eau d'source "huuu"

putain tu m'as tué avec tes huhu enculé

ahaha en ce moment j'ai des bug,j'utilise des huhu,tutu et encore quelque truc é_é

Mauvaise plante qu'on arrache à coup de hache,
lâche ment, j'attends patiem ment la mort sciem ment
y'a pas de sia mois mais que moi est mon foie,
désape toi sage ment,je dérape et pénètre ton être,
je flotte et ne sent plus rien,flasque comme quand je patauge dans la gnôle,
j'or bite autour de toi,nul ornement ne m'habite,seul le diable m'habille;
attendant un signe qui bousculera mes billes,mais je me fais pas d'bil...ils ne tueront pas billy,
et sans fin,a genou face à la gravité,dieu est à évité, le diable est à esquinté,envoi moi une pint p'tit;

Fuir la vérité qui taraude mon esprit,pas d'évasion de conscience,
le tarot me prédis une fin sous un pont longeant les fleuves des âmes abreuver;
elle trébuche, elle à encore trop bue,rêvant parfois de la cramer sur une bûche,
mais le diable danse danse sur mon âme absente,mon regarde ce vide à chaque verre,
l'outrance des vers,l'outrance d'une vie ou chacun mène sa propre danse,
au bal masquer des âmes damnée,ou chacun ce lève du même jours de la veille

Un djhadiste feras toujours moins de dégât qu'un gros bourge,
content de pouvoir de temps en temps baiser leur grosse bourgeoise,
il me parle d'amour mais n'aime que ce qui est beau,
à partir de la,l'amour et mort.... le reste n'est qu'illusion,
pouvoir planer et ce fracasser en vole,la seul réalité,
comme si le sale était plus blanc, et qu'en fin d'compte notre désillusion n'était que fatalité

Le vent souffle et caresse tes cheveux,
ma mains douce...ment glisse entre tes lèvres,
ton teint rougi et dans tes yeux la flamme d'une bougie gît,
et de tes cris de femme j'écris des vers sur le contour de t'es sein,
parcours t'es forme et me plonge au fond de ton être,
un verre à la mains,ma verve dans ta bouche,une cigarette en mains,
puis une levrette,1,2,3 les galipette sous le soleil qui me brûle comme une......carpette,
et je fais trempette dans t'es draps encore humide,ou la veille tu jouissais encore entre mes doigts,
mais aujourd'hui tu n'est plus et l'infortune côtoie mes joie,et l'alcool accompagne t'es silence;

Ahhhhhh ..... les belles femmes de la veille et de demain,
celle que l'on quitte,qui nous quitte,et que l'on claque de nos deux mains,
et je m’acquitte, puis ce soir je prendrais ma cuite,et peut-être,et peut-être n'étais-ce qu'un rêve..

La vie est une fuite constante,
face aux circonstance pendant que d'autre rêve de jouvence,
tant de jouissance dans les drogues ou résonance,
façonner par le son,les film,les filles,les père engraines leur fils,
et je perds le file de la vie,longue est la file d'attente des derniers;
je peine à trouver un sens au non sens,
rêve d'explosion,de corrosion,d'une éclosion,
bloquer dans ma cloison,toujours les même diaporama,
ma vie n'es past un drama,mes débauche sont des gravas,
pas de cravate que du fracas et tu feras quoi sans rien à boire,
un visionnaire qui loupe le coche,un porc qui entailles des roses;

C'est pas la mer à boire,
buvons un verre sous un toit,
le buvard aspire mon encre noir,
je lève l'encre,mais les voiles,
mais les voiles,
mais les voiles,
"abraca dabra"

plus t'en sais,moins t'en sais,je le sais,
une fois que ta crue être bon tu es devenu mauvais,
puis tu as crue être mauvais est tu es devenu bon,
et j'ai l'air con avec ses vers crue,pourquoi m'ont t-ils cru ?
moins t'en fait plus t'en fait,puis t'en fait pas,ça ce fait bien,
et et et à chaque éveille tu redescends,quand tu t'en rend compte t'es plus dans,
comme si à chaque coup de rein je devais réflechir au va et viens,ça vient puis ça part j'y peut rien

le premier porc dans la porcherie,
pas de vacherie chérie baise moi comme une vache folle huhuhuhubloutzz,
je perd la tête,depuis que je tizz moins.... mon avenir ce tisse plus,
une métisse pas ma tasse de thé,une bonne blanche au sein rose me voila panthère rose,
planter la dans l'éther,mais couille son déterre, aussi lourde que des haltèreee ohoho,
pas d’haltérophilie j'ai le feeling sans bling bling

putain'àtable

j'écoute du classique tout en regardant un porno,
et le globe tourne en rond,il englobe le peu de tout,
finir sur un pouf,pendant qu'une pouf prépare la bouffe,
splouf,sploutcch,nique les scoot et petit en trottinette

L'avenir me parait lointain,
même si le passer me projette dans une léthargie lointaine,
loin de tout c'est Q d'joint,proche de tout c'est cul de jatte,
et pendant que tu me parle, le diable me crache à la face,
l'esprit dans la mélasse,engloutie par la masse,et moi qui suis à l'amasse;
qu'on ramasse mes vomissures,panse mes blessures,et qu'on me laisse trouver le début de la penser,
des premiers cris,des première lueur d'aube,des première nuit,des premières femme,et de celle que l'on oublie,mes souvenirs ne sont qu'une onde après la chute d'un caillou sur l'eau.

Le temps disparaît dans le chant d'un oiseaux,
le berceau balance de gauche à droite dans les pleure d'un enfants,
mes pieds marche sur des paver,
qui me sépare du ciel et des gens aimer,
dans cette vie,peu seront heureux,
certainement nous aurions pus;
mais dans nos taudis nous maudissons les tours,
et les tours maudisse nos taudis moisie,
perpétuelle contradiction,perpétuelle fiction,
perpétuelle addiction,perpétuelle conflit.