de mes doigts le destin glisse,
la sensation que tout est faux,
et à travers la vitre lisse,
je rêve d’embuer le monde,
de faire disparaître mon ombre,
qu'importe qui dit vrai,on est tous givré.

la poussière recouvre notre ère,
de vieux livre on perdu leur substance,
ainsi que les efforts vain de nos vieux;
pieuse insistance que la pénitence,
et dans la souffrance,la naissance,
externalité de l'éternité.

la fumée monte dans les cieux,
pas un bruit qui court,dans cette nuit muette rempli de vide,
suspendu dans l'infini des atome,je crache et dors

perdu dans le rêve de dieu,
je perdure à croire que la vie vaut la peine d'être vécu,
sort de mon étuis quelque écu,l'écume du temps me laisse sur le Q,
des gens se disperse pour de l'argent,
et certain souhaite disparaître,laissant le môme paître,
mais on refait pas le monde avec un maître,
je reste et rôde,attendant la fin de mon ode;


tout nous rend distant,les dissidents se trompe de temps,
à dix-sept ans je rêver encore de m'étendre sur un hamac,
au bord du lac,à distiller ma plume sur les variations d'un plouf'

L'amour rend aveugle donc je bande Red

L'amour rend aveugle donc je bande Red/line

coquin

amplement.

Il parait que la vie a un sens
La porte menant à la foi me parait grinçante
C'est au simple d'esprit qu'appartient la chance
Car pour l'homme d'esprit la vérité est pinçante

Je ne suis pas un homme qui le vie bien
Sans preuve je ne suis meme plus théoricien
Voilà pourquoi je suis Epicurien
Je vis, je meurs, et puis plus rien.


_____________
Ca fait depuis le college que j'ai pas écrit de poeme... Et celui ci est fait à la pisse niveau qualité de l'écriture

moi j'aime bien ton poème

Les tiens aussi sont cools, j'adherent pas forcément sur le fond (pour ça que je commentais pas avant xD) mais la forme est originale

pas grave tu sais,je m'attend pas tellement à se qu'on commente,j'ai la flemme d'écrire sur du papier,alors quand l'envie m'y prend j'écris sur l'ordi comme ça,donc y'a souvent plein de truc divers et défragmenter ou autre,après je pourrais toujours écrire sur un bloc note de l'ordi mais je me dit si quelqu'un peut le lire et y prendre du plaisir pourquoi pas,même si je pense pas pouvoir apporter cela mais je sais pas,j'aime bien partager mes penser,et la poésie et se qui me permet parfois d'être le plus clair même si il son pas trop clair ^^

Vide et magie, semblable me semble
Et la vie, peut revenir d'un tas de cendre
Mon avis, influencé par le sons ou le sang
Fige le temps, et fait avancé mon navire.

Des souvenirs plein la tête
Mes pensées volent au rythme des gouttes d'eau
Dansant sur la vitre, me narguent
Dessinent ton visage au couteau
Dans la brume

J'attends l'prochain et,
J'suis à peine parti,
Ton rire résonne encore,
Ton parfum chante,
Mon corps s'apprête à l'vivre,
Mon cœur se prête à m'dire
Qu'elle est unique, qu'elle le restera
Le comble d'une histoire en or
Avec une perle rare

je sais pas versifier.

ahaha plusieurs poète,poster les ici si vous voulez, rubrique "impro" semi travailler ~ p

peace

La nuit d'étranges démons me tourmentent
Et criblent mon coeur comme mille épines
Puis tour à tour ils me narguent et me mentent
Me poussant dans une rage féline

Soudain je tire la couette sur mon visage
En pensant me cacher de ce mirage
Informes ils se cachent sous mes paupières
Alors mes larmes se changent en poussières

sympa mais j'aurais eu la même structure ou mot enfin normal après,j'apprécie surtout les deux mesure de fin

Les bruit tambourine dans ma tête,
quelque coup puis,plus un bruit dans la nuit,
sans cesse elle rêvent au bord de la fenêtre,
sans trêve le vin lui rougie les joues,
son mari la  tuer de mots....doux
quel crève,se disait-il,devant les gosses la bouche pleine,
les bruit tambourine, bourrique pourri par des dieu aux pleine poches'

mal de tête,lendemain de fête,
levrette,bavette,bavure,
oubliant les visages de la veille,
oubliant les femme sous la table,
je m'éveille au bord du coma,
écris comme je chie,
je comprendrais jamais pourquoi les gens aiment temps rester au chiotte'

j'ai fait un rêve,m'éclater de tout lendemain,
tendre les mains vers le ciel,attendre que la pluie me'chie dessus,
ninjutsu en pardessu,par dessus mon épaule,l'épaulette,
épée dans le dos,plume dans le cerveau,je longe les toits,
défie les nuages,dieu et toute la compagnie de la bourgeoisie,
oisif j'évite un coup d'canif,un vieux caniche me repaire et j'lui balance mes paires de pompe;

je veux être le calife à place du calife,
avoir une petite copine qui s'apellerai alice,
mais pas de paradis pour les vice lar,
je reste et me bavane avec mon braque nar,
coincé dans un traque nar,j'fui comme un renard,
et je donne ma langue au chatte,pour finir 6 7 pied sou terre blahhhh bléhhhhh bof

l'impro m'colle au tempo,
la rétine se décolle,
je reste,et déconne,
parfois j'picole,
j'ai l'air drôle hein,
coincé dans un zoo,
qu'est qu'ils ont tous à me tourner autour,
vautour à l’affût,y'a plus de refuge,
mon plus grand déluge,c que j'refuse de crever

je pourrais écrire des lustre,comme me frotter la bite à un lustre,
glauque comme une femme enceinte qu'on pousserais de l'escalier,
monte les enceintes,un peut de codéine plein d'proteine,j'sui l'élu des prototype,
pauv'type arrête d'écrire,du divague et détale à chaque vague,
j'continuerai à chaque souffle,laisse moi l'temps ramper,d’maccrocher à la rampe,
mac le cogneur rencontre mackogneur,
mac le cogneur rencontre mackogneur,
mac le cogneur rencontre mackogneur'