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| Ciné, DVD, télé... > Le dernier film que vous avez vu | |
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Auteur | Message |
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Halogène
Messages : 10690 Age : 32 Date d'inscription : 07/09/2011
| Sujet: Re: Ciné, DVD, télé... > Le dernier film que vous avez vu Mar 11 Aoû 2015 - 22:29 | |
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| | | Jezza McMurphyModératueur
Messages : 13781 Age : 32 Groupe : 8===D--',',(D - ; ) Date d'inscription : 21/02/2007
| Sujet: Re: Ciné, DVD, télé... > Le dernier film que vous avez vu Ven 14 Aoû 2015 - 15:13 | |
| J'ai vu quelques films récemment (principalement ce qui passait à la télé) je fais vite fait le tour:
Le poison de Billy Wilder: un film assez fort sur l'alcoolisme (le héros lâche pas sa teille de sky forcément ça me parle) avec l'efficacité habituelle de Wilder. 7/10
Le grand sommeil de Howard Hawks: Humphrey Boggart face à Lauren Bacall devant la caméra de Hawks, combinaison forcément gagnante pour un thriller extrêmement bien écrit de bout en bout. 8/10
Mammuth de Gustave Kevern et Quentin Delépine: je pensais l'avoir déjà vu mais en fait j'avais vu que la moitié. Le duo Kevern / Delépine est plutôt efficace mais ici ils atteignent des sommets. Un road-movie à la fois tendre et cruel, bourré d'humour et de poésie. Depardieu est extraordinaire et le film est rempli d'interprètes incroyables, avec l'humour absurde de Poelvoorde, le charme d'Anna Mouglalis, l'humanité de Yolande Moreau et la présence fascinante et volatile d'Isabelle Adjani... Le film va parfois loin de l'absurde mais moi ça me parle. 8/10
Le secrets des poignards volants de Zhang Yimou: esthétiquement, c'est incroyable, avec de très nombreux tableaux magnifiques, certaines scènes sont saisissantes de beauté. La plupart des combats valent leur pesant d'or. Dommage que l'ensemble sonne assez creux un peu trop souvent. On y reste quand même pour le plaisir des yeux. 7/10
Just Like a Woman de Rachid Bouchareb: à la base, je regardais parce que j'aime vraiment Golshifteh Farahani. Le film m'a plutôt plu, même si Bouchareb y va un peu de ses gros sabots lorsqu'il s'attaque à des thématiques comme le racisme, la misogynie et autres... Il aurait dû se concentrer sur l'histoire d'amitié entre Farahani et Sienna Miller, qui n'avait pas besoin de mots pour être montrée. Là le film était très beau, pour le reste il restait gentillet mais maladroit. Dommage, parce que l'intention est louable. 6,5/10
Se souvenir des belles choses de Zabou Breitman: une histoire d'amour entre une jeune atteinte d’Alzheimer qui oublie peu à peu et un amnésique qui se rappelle petit à petit, l'idée est sympa même si ça fait bien film français de base. Heureusement Breitman évite la plupart des clichés bidons et se concentre principalement sur l’Alzheimer. A partir de là, elle arrive assez facilement à passer de scènes très légères et amusantes à des passages vraiment poignants. Le film doit beaucoup à Isabelle Carré, qui livre une prestation comme on en voit rarement, à la fois déchirante et très attachante. César de la meilleure actrice très très largement méritée. 7/10
La fiancée syrienne d'Eran Riklis: un récit qui met beaucoup de temps à démarrer mais qui nous place assez justement dans l'absurdité administrative que l'on peut rencontrer dans cette région (le plateau du Golan, territoire syrien annexé par Israël). Le film nous propose un autre regard sur la situation là-bas, un regard qui nous ramène plus à la réalité des gens qui y vivent, ceux dont tout le monde se fout même si on dit tous le contraire. Le film est assez tendre, avec de belles images et aussi d'excellents interprètes, Hiam Abbass en tête. 7/10
Enemy de Wolfgang Petersen: vraiment surpris par ce film SF des 80's, porteur d'un beau discours. C'est un film assez spécial mais intéressant à plus d'un titre, le maquillage de Louis Gossett Jr. et son interprétation sont vraiment incroyables, on a un extra-terrestre bien plus vivant que tout ce qu'on peut voir en image de synthèse de nos jours. Les effets spéciaux sont foireux mais y en a pas tant que ça, sinon ça marche plus l'animatronic façon The Thing, moi j'aime beaucoup je trouve ça plus "organique" ^^ 8/10
L'arme fatale de Richard Donner: un cop movie sympa mais c'est pas forcément le genre de film que j'aime beaucoup. Sans avoir détesté j'ai plutôt été hermétique au film, malgré quelques bons passages je dois reconnaître. 6/10
Don't come knocking de Wim Wenders: un road-movie à la Wenders qui ressemble beaucoup à Paris, Texas. Forcément, il souffre de la comparaison même si le film n'est pas le même. Il reste quand même bon, avec de bons acteurs à commencer par Sam Shepard le héros, et la sublime Jessica Lange. Ceux qui aiment les road-movie et plus particulièrement le cinéma de Wenders devraient passer un très bon moment. 7/10 |
| | | SansTitre
Messages : 22194 Date d'inscription : 15/10/2009
| Sujet: Re: Ciné, DVD, télé... > Le dernier film que vous avez vu Dim 23 Aoû 2015 - 6:33 | |
| Bon quelques trucs que j'ai vu ces derniers temps (je vous rassure je viens pas d'écrire tout ça hein). Aveux, théories, actrice (de Kiju Yoshida, 1971) : https://imgur.com/a/QMltx#0 - Spoiler:
Aveux, théories, actrices est un film difficile à appréhender. Si Purgatoire Eroica était d'autant plus déconstruit dans sa narration, il était au final bien moins tortueux. Ici Yoshida nous emmène dans la brume. On ne sait absolument pas de quoi il s'agit, vers quoi nous allons... parlent-ils d'un rêve ? sont ils dans un rêve ? qui est qui ? Je vous défie de ne pas vous perdre à travers ce puzzle, qui mélange des pièces toute plus incompréhensibles les unes que les autres. En fait ce côté abscons, plus encore que dans Purgatoire Eroica, fait corps avec le sujet du film. Il s'agit de nous plongé dans l'esprit de ces actrices, où tout n'est que mensonge, faux semblant, où l'ont se perd entre ce qui est vrai et ce qui est comédie. Une espèce de spirale, où tout se confond, s'embrume et se perd. Rêve ? réalité ? Fantasme ? complot ? Mensonge ? vérité ? D'ailleurs maintenant que j'y pense, Yoshida fait un peu son Mulholland Drive. Même si la comparaison semble un peu facile, je trouve le parallèle évident.
Sinon, qui dit Yoshida, dit mise en scène virtuose. Impossible de ne pas être en extase devant tant d'idées et de beauté formelle. Le film est fait dans la même période que Purgatoire Eroica (et Eros + Massacre, mais je l'ai pas vu donc j'en parlerais pas), on retrouve en grande partie le même style visuel, à ça de près qu'ici les espaces sont très occupés, là où dans Purgatoire Eroica on avait de très grands angles et des personnages qui occupaient peu de place dans le cadre. Si il y'a toujours ces mêmes motifs d'enfermement, ici il ne s'agit pas de traduire leur enfermement idéologique, mais plutôt psychologique. L'enfermement de ces esprits fragmentés, où l'on pourrais se croire dans la tête d'une personnalité multiple. La couleur aussi a l'air de prendre une place importante, on retrouve des tons clairs et majoritairement bruns (les décors en bois surtout), où viens s'imbriquer des touches de couleurs qui semble totalement à part. Ces couleurs sont généralement portés par les femmes, on constate que les hommes eux ne portent jamais de couleurs (où alors elle semblent mortes), et qu'ils on souvent des costumes marron/gris. Y'a beaucoup à dire sur ces jeux de couleurs je pense, ne serait ce quand on voit le personnage de Ruriko Asaoka dans une longue scène à la moitié du film, qui recouverte d'une couverture multicolore l'enlève pour se dévoiler vêtu de blanc. Ca fait étrangement échos aux dialogues.
8/10 Keiko desu kedo (de Sono Sion, 1997) : - Spoiler:
Je croit que toute les limites du cinéma de Sono sont dans ce film en fait. Paradoxal, car d'un côté je le trouve formellement bien plus intéressant que tout ce que je vais de lui jusque là. Mais non, finalement, tout semble terriblement inexploité. Beaucoup de voix off, de long plan fixe (ajouté à ça des sujets fixes), de répétition, pour finalement pas grand chose. Ici le film nage entre deux eaux : d'un côté c'est un Sono Sion visuel, il montre plus qu'il ne parle. Mais d'un autre côté le peu de chose qui nous sont dites à travers les images sont proportionnelle au nombres de moments parlés. Car il n'y a pas tant de ligne de texte que ça, mais les plans sont longs, étirés, et rien de précis ne s'y passe, pas de changement, d'événement diverses. Il va filmé une fille courant dans la neige, courant en comptant, avec bien évidement un peu de musique classique (qui d'ailleurs sonne bien plus comme un artifice qu'autre chose). En résulte donc un film limité, dans ce qu'il a à nous montrer et nous partager.
Mais je me demande si c'est pas le manque de moyen qui est le problème. Peut être que Sono Sion n'est pas forcément fait pour gérer des films à très faible moyens. (après pour le coup je suppose simplement)
3/10 L'île nue (de Kaneto Shindo, 1960) : - Spoiler:
La grande particularité du film de Shindo, c'est son approche muette. Muette, non pas aux sens du cinéma muet, car il y'a un usage du son. Non c'est muet dans le sens où la parole est ici totalement proscrite. Mais s'affranchir des mots c'est bien beau, faut il encore savoir s'exprimer sans. Il aurais pu d'ailleurs se reposer sur ses acteurs pour tenter d'exprimer ses idées, mais pourquoi donc ? Car au final ça reviendrais au même. Non il choisi quelque chose de plus noble, et de diamétralement différent : il laisse les images parler. La narration repose donc ici sur le visuel, c'en est le moteur, la source. Toute est d'une limpidité absolu, le récit est clair et presque épuré. Loin d'être austère le film se relève léger, comme porté par le courant comme si tout coulais de source.
9/10 Les amours imaginaires (de Xavier Dolan, 2010) : - Spoiler:
Hilarant de vanité. Je croit avoir vu peu de film (bon je suis gentil, en vérité aucun) aussi poseur et superficiel. Il y'a bien des idées de cinéma, mais chaque idée a l'air d'avoir été pensé par un gamin de 12 ans. C'est d'ailleurs tout ce qui me viens à l'esprit : immaturité. On sent le film nourris des fantasmes d'un ado, qui n'a aucune conscience de ce qu'il est en train d'entreprendre. Alors ça se prend pour Demy et Wong Kar Wai (même si il prétend ne pas connaitre WKW), mais là où ces derniers font dans la subtilité, et parle de choses réellement intéressante (et de manière juste, en fait c'est surtout ça le truc) Dolan lui nous balance ses ralentis publicitaire (un terme souvent utilisé facilement mais là c'est totalement ça, c'est une imagerie de pub) et nous chie ses couleurs sans n'avoir rien à dire. Ce dont il est question ici est profondément insignifiant, ce sont des préoccupations dont tout le monde se fout et qui n'apportent absolument rien au spectateur si ce n'est lui donner le choix de se morfondre dans ses petits problèmes (ou plutôt, c'est parce que Dolan n'a rien de pertinent à montré, que ces petits problèmes sont insignifiants).
1/10 Les Larmes amères de Petra von Kant (de Rainer Werner Fassbinder, 1972) : https://imgur.com/a/n4yRw#0 - Spoiler:
Ce film, plus que n'importe quel autre, suffit à expliquer en quoi le cinéma est un art puissant, et à quel point le language cinématographique est illimité.
Petra von Kant, huit clos se déroulant dans une seule et unique pièce, tiens bien plus du road movie qu'autre chose. Ok, c'est un peu farfelu comme phrase, mais c'est vraiment la sensation que j'en ai eu : voyager, voguer dans de grands espaces, renouvellement, liberté. Fassbinder à lui seul redéfinie sous nos yeux la définition du décors et de l'espace. Ici le décors ce n'est plus le lieu dans lequel l'action se déroule, mais, ce que le champ de la caméra nous montre. A chaque nouveau plan son nouveau décors. Créer du nouveau avec la même chose, où comment nous dire que l'espace dans lequel nous vivons n'a aucune réelle limite, que chaque perspective offre un éventail de possibilité infini. De l'art dimensionnel.
Maintenant, en dehors de ça, j'ai pas été tant touché par les personnages. Mais c'était parce que j'était bien trop occupé à regarder la mise en scène. Et si on peut reprocher quelque chose au film, ce serait peut être que les personnages soit un peu étouffé par cette mise en scène. Mais c'est déjà bien moins problématique, que de voir une mise en scène étouffé par ses personnages, au point de la rendre transparente. D'ailleurs je me laisserais presque penser qu'un auteur comme Rohmer est bien plus anti-cinématographique qu'autre chose.
9/10 Noisy Requiem (de Yoshihiko Matsui, 1988) : https://imgur.com/a/62SYj#0 - Spoiler:
Ce que j'aime beaucoup dans le film c'est la narration qui est totalement libre, affranchis des codes traditionnel, en se passant en plus grandement de la parole. Ce qui donne quelque chose de très visuel, inventif et surtout contemplatif. Car c'est vraiment ça Noisy Requiem, la contemplation dans l'horreur, on vagabonde avec ces personnages...
Ce qui est remarquable aussi, c'est la façon dont Matsui semble présenter toute cette horreur avec un naturel total, comme une certaine pureté dans la crasse. Il a beau aller au bout de ses idées, et plongé son film dans la plus profonde bizarrerie et dégueulasserie, rien ne sonne forcé, les personnages n'apparaissent jamais comme vraiment misérable ou inhumain. Ils sont comme ils sont, aucun jugement n'est jamais fait. Ce qui rend tout ça vraiment cohérent comme si un nouvel univers était créé sous nos yeux. En fait ça me rappelle assez bien ce que peut faire Wakamatsu, à ça de près, qu'ici c'est encore plus radical. Maintenant ça n'a pas forcément la puissance poétique de ses films, même si paradoxalement je trouve la façon de traiter l'horreur bien plus intelligente et fine ici.
9/10 Possession (de Andrzej Zulawski, 1981) : https://imgur.com/a/2PFUN#0 - Spoiler:
Sur pas mal d'aspects le film m'a fait pensé à Angst (et aussi Répulsion), pour cette façon de déformer totalement la réalité, et prendre en quelque sorte le point de vue quasi schizophrénique du personnage principal.
Car c'est vraiment ce que fait Zulawski, on est dans l'irréel total. Pourtant, à aucun instant il semble vouloir nous le dire. Comme si ce qu'il mettais en scène était totalement conforme au réel pour lui. Donc, jamais il n'est question dans Possession de questionner les barrières entre le vrai et le faux. Et c'est ça qui est magnifique, car il peut ainsi traiter ses thématiques sous un angle totalement extrême. Et ainsi parler du mal, de la folie avec grande efficacité. Mais pas forcément sous un oeil juge. Plutôt un oeil témoins. Comme tentant de nous représenter ce mal comme il est quand on le vie, le ressent.
Et la mise en scène prend cette logique, c'est à dire qu'elle est totalement sensorielle. Les rapports de force entre les différents personnages sont hystérique, la caméra nerveuse, le montage agis comme un couperet ou un bon coup de batte dans la tête, les angles et les mouvement de caméra sont oppressant, distordu. Zulawski arrive aussi à associer le jeux d'acteur à l'image : ce que reflète la mise en scène est en accord totale avec ce que les acteurs expriment. En résulte donc un film d'une extrême intensité, réussissant à faire vivre au spectateur cette horreur.
9/10 Visa de censure n°X (de Pierre Clémenti, 1967-1975) : https://imgur.com/a/TW5kS#0 - Spoiler:
"La révolution n'est qu'un début. Continuons le combat." n'était en fait que l'avant goût, de ce chef d'oeuvre expérimental et psychédélique.
Pierre Clémenti semble inarrêtable ici, dans sa frénésie multicolore. Déjà dans Continuons le combat, j'avais compris que c'était un génie de la surimpression, mais là c'est vraiment haut dessus... Raah mais quelle splendeur, quelle inventivité, pendant 40 minutes il y'en a des choses qui nous passe devant les yeux, beaucoup de choses montré en peu de temps, dans un montage quasi épileptique. Et tout ça évidement pour notre plus grand plaisir d'esthètes. En fait ce film c'est une réelle expérience de cinéma, oubliez donc Enter The Void, là on ne fait plus les choses à moitié, la logique psychédélique est poussée à l'extrême en plus de sonner plus spontané et authentique ici. Ce qui est aussi intéressant c'est que ça nous plonge au plein coeur de cette culture hippie des années 60/70 (plus précisément, le film a été tourné de 67 jusqu'à 75). Puis tout ça accompagné d'une bande son signée par les français "Delired Cameleon Family" (qui n'est autre que le groupe Clearlight). C'est progressif, cosmique, y'a une forte influence jazzy, et c'est monumentale.
En fait je me rend compte que c'est un peu le film que j'ai toujours recherché en vain.
Bref ce serait vraiment dommage de passer à côté d'un tel bijou, surtout pour le peu de temps qu'il dure (40 min).
10/10 |
| | | Halogène
Messages : 10690 Age : 32 Date d'inscription : 07/09/2011
| Sujet: Re: Ciné, DVD, télé... > Le dernier film que vous avez vu Dim 23 Aoû 2015 - 11:10 | |
| Noisy requiem " Le film suit plusieurs personnages tous plus ou moins exclus du système : un mendiant pervers, un criminel obsédé par sa poupée-mannequin, un couple de nains... " ça peut être un film cool,l'histoire et déjà marrante |
| | | SansTitre
Messages : 22194 Date d'inscription : 15/10/2009
| Sujet: Re: Ciné, DVD, télé... > Le dernier film que vous avez vu Dim 23 Aoû 2015 - 16:28 | |
| c'est absolument pas drôle je te préviens |
| | | Halogène
Messages : 10690 Age : 32 Date d'inscription : 07/09/2011
| Sujet: Re: Ciné, DVD, télé... > Le dernier film que vous avez vu Dim 23 Aoû 2015 - 16:39 | |
| je vais essayer de le trouver en stream,putain j'ai chopper une lettre d'hadopi j'croyais que c'était inexistant ce truc de merde |
| | | SansTitre
Messages : 22194 Date d'inscription : 15/10/2009
| Sujet: Re: Ciné, DVD, télé... > Le dernier film que vous avez vu Dim 23 Aoû 2015 - 19:50 | |
| Je pense pas que tu le trouveras en stream. C'est un film assez peu connu en France (je croit même que y'a pas de sous titres français existant). |
| | | Halogène
Messages : 10690 Age : 32 Date d'inscription : 07/09/2011
| Sujet: Re: Ciné, DVD, télé... > Le dernier film que vous avez vu Dim 23 Aoû 2015 - 20:13 | |
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| | | HMK
Messages : 13954 Date d'inscription : 21/08/2011
| Sujet: Re: Ciné, DVD, télé... > Le dernier film que vous avez vu Dim 23 Aoû 2015 - 21:55 | |
| amer béton j'l'avais sur l'ordi j'croyais c'était pété j'l'ai maté j'suis déçu..
..de pas l'avoir maté avant ! c une tuerie |
| | | HMK
Messages : 13954 Date d'inscription : 21/08/2011
| Sujet: Re: Ciné, DVD, télé... > Le dernier film que vous avez vu Dim 23 Aoû 2015 - 21:58 | |
| jezza il taffe ds les caves de allociné |
| | | Halogène
Messages : 10690 Age : 32 Date d'inscription : 07/09/2011
| Sujet: Re: Ciné, DVD, télé... > Le dernier film que vous avez vu Dim 23 Aoû 2015 - 22:23 | |
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| | | Halogène
Messages : 10690 Age : 32 Date d'inscription : 07/09/2011
| Sujet: Re: Ciné, DVD, télé... > Le dernier film que vous avez vu Dim 23 Aoû 2015 - 22:37 | |
| Le poison de Billy Wilder: un film assez fort sur l'alcoolisme (le héros lâche pas sa teille de sky forcément ça me parle) avec l'efficacité habituelle de Wilder. 7/10 |
| | | Halogène
Messages : 10690 Age : 32 Date d'inscription : 07/09/2011
| Sujet: Re: Ciné, DVD, télé... > Le dernier film que vous avez vu Lun 24 Aoû 2015 - 0:12 | |
| Béton armé je le regarde la,vraiment bien foutu |
| | | HMK
Messages : 13954 Date d'inscription : 21/08/2011
| Sujet: Re: Ciné, DVD, télé... > Le dernier film que vous avez vu Lun 24 Aoû 2015 - 0:49 | |
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| | | Halogène
Messages : 10690 Age : 32 Date d'inscription : 07/09/2011
| Sujet: Re: Ciné, DVD, télé... > Le dernier film que vous avez vu Lun 24 Aoû 2015 - 1:11 | |
| BETON ARMÉ
Le titre Tekkon kinkurīto (鉄コン筋クリート?, orthographié Tekkon kinkreet en dehors du Japon) est une anagramme de « tekkin concrete » (鉄筋コンクリート, tekkin konkurīto?, qui signifie « béton armé »). Ce jeu de mots viendrait du fait que lorsqu'il était enfant, Taiyō Matsumoto n'était pas capable de prononcer le mot correctement et inversait les deux syllabes « kin » et « kon »[réf. nécessaire]. On retrouve cette anagramme dans le titre français, où « armé » devient « amer ».
après j'ai vraiment pas fait gaffe,ça c écris comme ça,marrant le hasard,j'ai aussi inverser ou bug |
| | | Jezza McMurphyModératueur
Messages : 13781 Age : 32 Groupe : 8===D--',',(D - ; ) Date d'inscription : 21/02/2007
| Sujet: Re: Ciné, DVD, télé... > Le dernier film que vous avez vu Lun 24 Aoû 2015 - 11:43 | |
| - Bodhisattva a écrit:
- je vais essayer de le trouver en stream,putain j'ai chopper une lettre d'hadopi j'croyais que c'était inexistant ce truc de merde
si ça existe c'est juste qu'ils ont abandonné l'idée de te couper ta connexion Internet mais tu peux toujours prendre une amende béante dans le cul après c'est surtout si tu fais du torrent et que tu laisses le fichier en partage, c'est là où ils te niquent |
| | | Halogène
Messages : 10690 Age : 32 Date d'inscription : 07/09/2011
| Sujet: Re: Ciné, DVD, télé... > Le dernier film que vous avez vu Lun 24 Aoû 2015 - 13:12 | |
| Oaui c torrent411 qui mon niquer et free c vendu aha,vpn quand jpeu |
| | | HMK
Messages : 13954 Date d'inscription : 21/08/2011
| Sujet: Re: Ciné, DVD, télé... > Le dernier film que vous avez vu Lun 24 Aoû 2015 - 13:32 | |
| - Bodhisattva a écrit:
- BETON ARMÉ
Le titre Tekkon kinkurīto (鉄コン筋クリート?, orthographié Tekkon kinkreet en dehors du Japon) est une anagramme de « tekkin concrete » (鉄筋コンクリート, tekkin konkurīto?, qui signifie « béton armé »). Ce jeu de mots viendrait du fait que lorsqu'il était enfant, Taiyō Matsumoto n'était pas capable de prononcer le mot correctement et inversait les deux syllabes « kin » et « kon »[réf. nécessaire]. On retrouve cette anagramme dans le titre français, où « armé » devient « amer ».
après j'ai vraiment pas fait gaffe,ça c écris comme ça,marrant le hasard,j'ai aussi inverser ou bug chanmé je savais pas bonne anecdote a sorti en diner mondain |
| | | Halogène
Messages : 10690 Age : 32 Date d'inscription : 07/09/2011
| Sujet: Re: Ciné, DVD, télé... > Le dernier film que vous avez vu Lun 24 Aoû 2015 - 16:41 | |
| tu peux même l'ajouter à t'es texte de rap |
| | | HMK
Messages : 13954 Date d'inscription : 21/08/2011
| Sujet: Re: Ciné, DVD, télé... > Le dernier film que vous avez vu Lun 24 Aoû 2015 - 18:48 | |
| Arrêtes d'être con, j't'apprend qu'Amer béton c'est pas vraiment Amer béton La réponse damné c'est qu'c'était béton armé mais qu'le gars s'était tromper
j'avoue, j'v faire un tube
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| Sujet: Re: Ciné, DVD, télé... > Le dernier film que vous avez vu | |
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