Tes lignes sentent le mec qui rame, le mec qui a galéré pour finalement s'échouer,
Pas d'bile, à m'faire du côté de tes équipiers, tous t'ont largué, un sacré tas d'pd.
On t'appelle gros foc tu t'fais prendre par derrière, nous mène pas en bâteau, c'est l'désespoir.
Blaireau t'as rien à raser on n'a jamais compté l'duvet pourtant t'es rasoir comme un coup d'un soir.
Appelle moi Zinedine Zidane, ta copine aime mes coups de boule et ma bite d'âne,
Tous les soirs j'la pine, elle a la banane quand je pète son abricot parce qu'elle tend la prune,
C'qu'elle tient tous les soirs c'est l'bâton pour s'faire battre, la barre à mine pour l'bitume,
Quand j'aurai fini d'gicler sur sa poire elle tombera dans les pommes, cinq fruits par jour, sodom' !
Oz n'osera pas répliquer, sa baguette est molle, le magicien est mort, trop clashé !
Caché, traqué, il a fait la pause pas d'bol, fallait d'l'os-eille pour espérer s'en tirer.
Deux lignes plus d'clash que de la vérité, du kick et des bras levés, j'entends les "oh ziva !"
L'excellence primera, pour m'applaudir faudrait autant d'bras que Shiva, qui votera verra.
Bon à vos votes, et désolé pour le retard Oz