Je vis dans cette terre très crade, à l'odeur nauséabonde
Mais on n'ose et affronte, les dérives des frère exécrables
Qui essayent de rester stable, alors ils posent et allongent
Le destin a fauché la manche,la chance fait un extrême mal
Chacun son propre héritage, chacun ses opportunités
Y'a pas de propos inhumé, même si mes rimes fâchent
Et que l'espoir me dévisage, car j'ai trop tôt titubé
Sur des potos qui fumaient, car chacun d'eux défie l'âge
On est pas en quête de richesse, on cherche la perle rare
Celle qui nous perchera, par amour et non par ivresse
Mais le Paris reste, impossible mon cœur se pétera.
Mais l'espoir se perdra, vla encore le vice se manifeste
dans les terrains vagues, les pleurs on en réserve un tas
Donc on lance des vers ingrats, et les pleurs restent intact
Car pêcher est devenu une évidence, voir une résidence
Dans la quel nos récits dansent, pour oublier nos réticences
On va pas dire la prose est saine, chez nous le fausse règne
Ici chacun compose ses haines, ta vu ou le procès menés
Elle sont ou les valeurs humaine, je vois leurs rue plaine
Des t'as de cœurs funèbre, qui cause les sale pleur d'une mère
Faut la corde pour prendre l'air, sur la terre y'a plus d'entraide
Certains ont le ventre raide, l'homme et l'égoïsme vont de pair