J'avais écris ça, mais finalement je veux plus le poser donc je met le texte ici:
Je t'envoie un Tchek de France, j' espère que tout va bien
A toi et ta famille je pense, envoie la paix au tien
Dans la vie occidentale, la démocratie est bancale
Les jeunes n'ont pas de compte bancaire, posés sur des bancs calmes
En train de tizzé et d'allumer un spliff pour oublier
Qu'on part pas à égalité, que notre chance a été souillé
On m'a dépouillé, j'ai cessé de rêver donc y s'pourait
Que je finisse blasé, ici ya des suicides pour rien
Les entreprises ratent le coche, t'embauchent et te débauche
Pour eux rien ne cloche quand t'as rien dans tes poches
Dans ma rue ya des clochards mais on les laisse crever
Je suis un cabochard, pas un cabot qui peuvent en-laisser
Tu me connais frère, j'essaye même quand ya rien à faire
Tout se paye, la haine est sévère, et la bonté se perd
L'heure est au drame, dur est l'époque qui nous enfonce
Dis à ma futur femme en cloque que jamais elle n'enfante
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C'est ma carte postale, là ou les roses fanent
Là ou les choses partent, avant qu'on puisse se dire au revoir
A ma dernière heure je serai toujours incompris
La quête du bonheur me comprime car elle a un prix
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Prends soin de toi l'ami, je soigne ma syntaxe la nuit
Ma mère atteint d'une grave maladie, la mort ne l'a pas pris
Encore, et dois-je croire en la bible ou au coran
L'espoir se tire en courant, je pense que t'es au courant
Vivre sa vie pleine ment, sans que les plaies ne manquent
Donc j'avance en peinant, avec ou sans tes billets de banque
Dans la solitude, solide dans l'attitude, tant que
Mes valeurs en altitude, eluzif matricule dans le jeu
Je fais plein d'envieux, ici les regards sont avides
Si tu fais rien c'est le vide et les placements sont à risques
Donc certains se couchent, tombent dans le gouffre, c'est lassant
Époque de ouf, même les poufs n'ont plus le temps de s'asseoir
La vie c'est commas, c'est pas dégueulasse c'est commas
La traite pas de connasse, c'est le seul truc qu'on a
Donc j'essaie de faire au mieux, laissant Lucifer au pied
Mais c'est honteux, je trouve pas ma place dans ce monde
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C'est ma carte postale, là ou les roses fanent
Là ou les choses partent, avant qu'on puisse se dire au revoir
A ma dernière heure je serai toujours incompris
La quête du bonheur me comprime car elle a un prix
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De tout temps la politique à la foule ment
Le bonheur économique induit au refoulement
On laisse tomber nos rêves de gosse, et le masque qu'on endosse
Cause de multiple bosses sur l'égo qu'on se brosse
Mais la vérité est ailleurs, loin de tes costards et de ses tailleurs
La richesse vient du cœur, mais on la graille comme des daleux
Et pour que dalle l'amitié se transforme en rivalité
C'est dar, t'as conscience que ta confiance est dynamité
Je suis d'humeur introspective, dans ma vie je suis trop sceptique
Quand je vois ces petits, et leur avenir qui s'est tiré
Comme du gibier qu'ils abattent quand l'État se met à table
Comment surmonter les obstacles si leurs poids t'étalent ?
Dans les dédales de ma conscience, l'errance a du bon sens
Je pense que la violence est peut être la seule et dernière chance
J'ai finis ma lettre frère, j'ai payé ma dette sur Terre
J'espère que tu veilleras sur ceux qui me sont chers.
Mais pour ce que j'ai lue c'est très bon, que sa soit au niveau du thème que techniquement. 
