« Aujourd'hui, l'Amérique serait scandalisée si les troupes de l’ONU entraient dans Los Angeles pour reconstituer l'ordre [référence à l'émeute 1991]. Demain elle sera reconnaissante ! C'est particulièrement vrai s’il était dit qu'il y a une menace de l’extérieure [c’est-à-dire, une invasion « extraterrestre »], vrai ou promulgué , menace notre existence même. C'est alors que tous les peuples du monde plaideront pour qu’on les délivre de ce mal. Une chose que chaque homme craint est l'inconnu. Lorsque ce scénario sera présenté, différentes droits seront volontairement abandonnées contre la garantie que le bien-être soit garanti par le gouvernement mondial. »
Dr. Henry Kissinger, Bilderberger Conférence, Evians, France, 1991. A son insu , son discour fut enregistré par un délégué Suisse
« La conduite des Rockefellers et de leurs alliés doit créer le gouvernement d'un monde combinant le super-capitalisme et le communisme sous le même toit, tous sous leur contrôle.... Suis-je en train de parler de conspiration ? Oui je le fais. Je suis convaincu qu'il y a un tel complot internationale en vue, les vieilles générations l’ont planifiée, incroyablement mauvaise en intention. »
Larry P. McDonald, membre du Congrès, 1976, tué à bord du 747 d’un vol coréen qui a été abattu par les Soviétiques.
« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, New York Times, Time Magazine et autres grandes publications, dont les directeurs ont assisté à nos réunions et ont respecté leurs promesses de la discrétion pendant presque quarante ans. Il nous aurait été impossible de développer notre plan pour le monde si nous avions été sous les brillantes lumières de la publicité pendant ces années. Mais, le travail est maintenant beaucoup plus perfectionné et disposé à marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d'une élite intellectuelle et des banquiers du monde est sûrement préférable à l'autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés. »
David Rockefeller, fondateur de la Commission Trilatérale, dans une allocution lors d’une réunion de la Commission Trilatérale, en juin 1991.
« L'idée était que ceux qui dirigent la conspiration globale puissent utiliser les différences de ces deux prétendues idéologies (marxisme / fascisme / socialisme -par opposition à- démocratie /capitalisme) pour leur (les Illuminati) permettre de diviser des parties de plus en plus grandes de la race humaine en camps opposés de sorte qu'ils puissent être armés et puis soumis à un lavage de cerveau en se combattant et se détruisant l’un et l’autre. »
Myron Fagan.
« Personne n'entrera au Nouvel Ordre Mondial à moins qu’il ou elle fasse l’engagement d’adorer Lucifer. Personne n'entrera dans le Nouvel Age sans subir une Initiation Luciférienne. »
David Spangler, Directeur des Initiatives Planétaires, Nations Unies.
« En mars, 1915, les intérêts [intérêts au sens avoirs / avantages] de J.P. Morgan, l'acier, la construction navale, et les intérêts de pouvoir, et leurs organismes subsidiaires, a réuni 12 gros bonnets du monde de la presse et les a utilisé pour déterminer les journaux les plus influents aux USA et le nombre suffisant d'entre eux pour contrôler l’ensemble de la politique de presse quotidienne.... Ils ont trouvé qu’il était seulement nécessaire de prendre le contrôle de 25 des plus grands journaux.
« Un accord a été conclu ; la politique de presse a été achetée, étant payée par mois ; un rédacteur a été fourni à chaque journal pour superviser correctement et publier l'information concernant les questions de l'état de préparation, du militarisme, des politiques financières, et d’autres choses de nature nationale et internationale considérées essentielles aux intérêts des preneurs de contrôle. »
Oscar Callaway, membre du Congrès US, 1917.
« Le monde peut donc saisir l'occasion [crise du Golfe Persique] pour accomplir la promesse de longue date d'un Nouvel Ordre Mondial où les nations diverses seront réunies dans la cause commune pour réaliser les aspirations universelles de l'humanité. »
George Herbert Walker Bush.
« Dans le siècle à venir, les nations comme nous les connaissons seront désuètes ; tous les états reconnaîtront une seule autorité globale. La souveraineté nationale n'était pas une si grande idée après tous. »
Strobe Talbot, secrétaire d'état adjoint du président Clinton, cité dans le Time le 20 juillet l992.
« Nous aurons le gouvernement du monde que vous l’aimiez ou non, par la conquête ou le consentement. »
Rapport du Conseil des Relations Etrangères (CFR) par James Warburg, membre du Comité des Relations Etrangères du Sénat le 17 février l950.
« Le monde est régi par des personnages très différents de ce qui est imaginé par ceux qui ne sont pas en coulisses. »
Benjamin Disraeli, premier premier ministre d'Angleterre, dans un roman qu’il a édité en 1844, appelés Coningsby [ ? peut-être « Arnaque par »], la Nouvelle Génération.
« Les gouvernements d’aujourd'hui doivent traiter non seulement avec d'autres gouvernements, avec des empereurs, des rois et des ministres, mais aussi avec des sociétés secrètes qui ont partout leurs agents sans scrupules, qui peuvent au dernier moment déranger les plans de tous les gouvernements. »
Benjamin Disraeli, premier ministre britannique, 1876.
« Depuis que je suis entré en politique, j'ai eu surtout les vues des hommes qui se confiaient à moi en privé. Certains des plus grands hommes aux USA, dans le domaine du commerce et de la fabrication, ont peur de quelque chose. Ils savent qu'il y a un pouvoir quelque part aussi organisé, aussi subtil, aussi attentif, aussi emboîté, aussi complet, aussi dominant, que le mieux est de ne pas parler trop fort quand ils parlent en le condamnant. »
Woodrow Wilson, La Nouvelle Liberté (1913).
« Ce qui est important c’est d'insister sur les preuves croissantes de l'existence d'une conspiration secrète, dans le monde entier, pour la destruction du gouvernement organisé et l’abandon au mal. »
L'éditorial de Christian Science Monitor, du 19 juin l920.
« La vraie menace de notre république est ce gouvernement invisible qui comme une pieuvre géante étale ses longues tentacules sur les villes, les états, et les nations. Comme le poulpe dans la vraie vie, il opère sous le couvert d'un écran créé par lui.... A la tête de ce poulpe sont les intérêts de Standard Oil de Rockefeller et un petit groupe d’établissements bancaires puissants généralement désignés sous le nom de banquiers internationaux. La petite coterie de banquiers internationaux puissants court virtuellement après le gouvernement des USA dans leurs propres buts égoïstes. Ils commandent pratiquement les deux parties politiques. »
John F. Hylan, maire de New York, 1922.
« Depuis les jours de Sparticus, Wieskhopf, Karl Marx, Trotsky, Rosa Luxemberg, et Emma Goldman, cette conspiration mondiale a été soutenue dans sa croissance. Cette conspiration a joué un rôle reconnaissable défini dans la tragédie de la révolution française. Elle a été le moteur de chaque mouvement subversif au 19ème siècle. Et maintenant enfin cette bande de personnalités extraordinaires des enfers [ou : milieu, pègre] des grandes villes de l'Europe et de l'Amérique ont saisi le peuple russes par les cheveux de leur tête et sont devenues les maîtres incontestés de cet énorme empire. »
Winston Churchill, déclaration à la presse de Londres, en l922.
« Nous travaillons actuellement discrètement avec toute notre force à arracher cette force mystérieuse appelée la souveraineté hors de l’étreinte des états nations du monde. »
Professeur Arnold Toynbee, dans un discours en juin l931 devant l'Institut pour l'Etude des Affaires Internationales à Copenhague.
« Le gouvernement des nations occidentales, si monarchique ou républicain, est passé dans les mains invisibles d'une ploutocratie au pouvoir et à la portée internationale. C’était, je tente de suggérer, cette puissance semi-occulte qui.... a poussé la masse des américains dans le chaudron de la guerre mondiale I. »
Général de division J.f.c. Fuller, historien militaire britannique, l941.
« J'ai estimé depuis longtemps que le FDR avait développé beaucoup de pensées et idées qui lui permettaient de bénéficier de ce pays, les USA. Mais, il ne l’a pas fait. La plupart de ses pensées, de ses arguments politiques, quand il était [au pouvoir], étaient soigneusement confectionnées pour lui et développées par le CFR un groupe de l’Argent Mondial. Brillamment, avec grand goût, comme une magnifique pièce d'artillerie, il a explosé que les « arguments » étaient préparés au milieu d'une cible peu soupçonnable, le peuple américains, et a ainsi liquidé et retourné à son appui politique internationaliste.
« L’ONU est un appareillage d'opérations bancaires internationales à grande échelle évidement installé pour le profit financier par un petit groupe de révolutionnaires puissants du Monde Un, affamé de bénéfices et de pouvoir.
« La dépression était la 'tonte ' calculée du public par les puissances de l'Argent Mondial, déclenchée par le soudain manque planifié d'alimentation en prêts au jour le jour dans le marché monétaire de New York.... Les chefs du Gouvernement du Monde Un et leurs toujours intimes banquiers ont maintenant acquis le plein contrôle des mécanismes de l'argent et du crédit US par l'intermédiaire de la création de la Banque des Réserves Fédérale possédée en privé. »
Curtis Dall, beau-fils du FDR comme il l’a cité dans son livre, Mon Exploité Beau-père.
« La vraie vérité en la matière est, comme vous et moi le savez, qu'un élément financier dans les plus grands centres a possédé le gouvernement depuis les jours d'Andrew Jackson. » Lettre écrite par FDR au Colonel House, le 21 novembre l933.
« Les vraies règles à Washington sont la puissance invisible, et l'exercice dans les coulisses. » Suprême Cour de Justice, Felix Frankfurter, 1952.
« Cinquante hommes font tourner l'Amérique, et c'est un chiffre élevé. »
Joseph Kennedy, père de JFK, le 26 juillet l936 , New York Times.
« Aujourd'hui le chemin de la dictature globale peut être imposé aux USA par des moyens strictement légaux, invisible et inaudibles par le Congrès, le Président, ou le peuple. Extérieurement nous avons un gouvernement constitutionnel. Nous avons actionné [ ?] dans notre gouvernement et système politique, un autre corps représentant une autre forme de gouvernement - une élite bureaucratique. »
Sénateur William Jenner, 1954.
« L’affaire du gouvernement par des élites est irréfutable. »
Sénateur William Fulbright, ancien Président du Comité Etranger des Relations du Sénat US, déclaré à un colloque en 1963 intitulé : L'élite et l'Electorat - Le gouvernement par le peuple est-il possible ?
« Il est prévu que la Commission Trilatérale soit le véhicule pour la consolidation multinationale du commerce et des intérêts bancaires en saisissant le contrôle du gouvernement politique US. La Commission Trilatérale représente un effort habile et coordonné de saisir le contrôle et de consolider les quatre centres de la puissance politiques, monétaires, intellectuels et ecclésiastiques. La Commission Trilatérale prévoit de créer un pouvoir économique supérieur mondial sur les gouvernements politiques des nations états impliqués. En tant que directeurs et créateurs du système, ils gouverneront le futur. »
Sénateur US Barry Goldwater dans son livre de l964 : Sans Excuses.
« Les autorités du capitalisme financier ont eu un autre but de grande envergure, rien de moins que de créer un système mondial du contrôle financier dans des mains privées, capables dominer le système politique de chaque pays et l'économie mondiale. Ce système devant être contrôlé en mode féodal par les banques centrales du monde agissant de concert, par des accords secrets, est arrivé lors de fréquentes réunions et conférences privées. Le sommet du système était la Banque des Règlements Internationaux de Bâle en Suisse, une banque privée possédée et contrôlée par les banques centrales du monde qui sont elles-mêmes des sociétés anonymes. La croissance du capitalisme financier rend possible la centralisation du contrôle économique du monde et l’usage de cette puissance pour des bénéfices financiers directs et des tords indirects à tous les autres groupes économiques. »
Tragédie et Espoir : Une histoire du monde de notre temps (Macmillan Company, 1966) Professeur Carroll Quigley de l'université de Georgetown, fortement estimé par ses anciens étudiants, William Jefferson Blythe Clinton.
« Le Conseil des Relations Etrangères est « l'institution ». Non seulement il a l’influence et le pouvoir dans les principales positions de prise de décision aux niveaux les plus élevés du gouvernement pour faire pression à partir d'en haut, mais il annonce aussi qu’il emploie des individus et des groupes pour mettre la pression d’en bas, pour justifier les décisions du niveau élevé afin de convertir la République constitutionnelle souveraine US en Etat membre servile d'une dictature du Monde Un. »
L'ancien membre du Congrès John Rarick 1971.
« Les directeurs du CFR (Conseil des Relations Etrangères) composent une sorte de Présidium pour que cette partie de l’Institution guident notre destin comme une nation. »
Christian Science Monitor, 1er septembre l961.
« Le Nouvel Ordre Mondial devra être construit depuis le bas plutôt que du sommet vers le bas... mais en fin de course, éroder pièce par pièce la souveraineté nationale accomplira beaucoup plus que la vieille méthode d’assaut frontal. »
Membre du CFR Richard Gardner, écrivant dans le numéro d’avril l974 du journal des Affaires Etrangères du CFR.
« La planification de l’ONU peut être retrouvée au 'comité de direction secret' établi par le Secrétaire d’Etat Cordell Hull en janvier 1943. Tous les membres de ce comité secret, excepté Hull, un politicien du Tennessee, étaient membres du CFR. Ils ont vu Hull régulièrement pour projeter, choisir, et guider les travaux du Comité Consultatif du Département d'Etat. C'était, en effet, l'agence coordonnatrice de la planification d'après-guerre de tout le Département d'Etat. » Professeurs Laurence H. Shoup et William Minter, écrivant dans leur étude du CFR, « Brain-Trust Impériale : Le CFR et la Politique Etrangère US ». (Monthly Review Press, 1977).
« La clique la plus puissante dans ces groupes (CFR) ont un objectif commun : ils veulent provoquer la reddition de la souveraineté et de l'indépendance nationale US. Ils veulent en finir avec les frontières nationales et la fidélité raciale et ethnique censément pour augmenter des affaires et pour assurer la paix du monde. Obtenir ce qu'ils tentent mènerait inévitablement à la dictature et à la perte de la liberté du peuple. Le CFR a été fondé dans « le but de favoriser le désarmement et la submersion de la souveraineté US et de l'indépendance nationale dans un tout-puissant gouvernement du Monde Un. »
Harpers, Juillet l958.
« Le vieil ordre du monde a changé quand cet tempête guerrière s'est arrêtée. Le vieil ordre international est parti loin aussi soudainement, aussi inopinément, et aussi complètement que si il avait été éliminé par une inondation colossale, par une grande tempête, ou par une éruption volcanique. Le vieil ordre du monde est mort avec le calme du soleil de ce jour et un nouvel ordre du monde est né tandis que je parle, avec des naissances dans des douleurs si terribles qu'il semble presque incroyable que la vie puisse sortir d'une telle douleur incroyable et de tant de douleur accablante. »
Nicholas Murray Butler, dans une allocution faite devant l’Union de la Ligue des Syndicats de Philadelphie le 27 novembre 1915.
« La conférence de la paix s'est réuni. Elle prendra les décisions les plus importantes dans l'histoire, et sur ces décisions reposera la stabilité du Nouvel Ordre Mondial et de la future paix mondiale. »
M.C. Alexander, secrétaire de direction de l'Association Américaine pour la Conciliation Internationale, dans une lettre d'abonnement pour le périodique Conciliation International (1919).
« S'il y a ceux qui pensent que nous devons sauter immédiatement au Nouvel Ordre Mondial, mus par la compréhension complète et l'amour fraternel, ils sont condamnés à la déception. Si nous devons jamais approcher ce temps, il viendra après des efforts patients et persistants sur une longue durée. La situation internationale actuelle de méfiance et de peur peut seulement être corrigée par une formule de statut égal, appliquée sans interruption, à chaque phase des contacts internationaux, jusqu'à ce que les toiles d’araignée du vieil ordre soient balayés hors de l’esprit de toutes les habitants de la Terres. »
Dr. Augustus O. Thomas, président de la Fédération du Monde des Associations de l'Education (août 1927), cité dans le livre Compréhension Internationale : Agences Eduquant pour le Nouveau Monde (1931).
« ... lorsque la lutte semble dériver nettement vers une démocratie sociale mondiale, il peut encore y avoir un très grand délais et des déceptions avant qu’elle devienne un système efficace et bienfaisant mondial. Les personnes innombrables... détesteront le Nouvel Ordre Mondial... et mourront en protestant contre lui. Quand nous essayons d'évaluer ses promesses, nous devons considérer la détresse d'une génération ou aussi des mécontents, bon nombre d'entre eux tout à fait vaillants et gracieux regardants le peuple. »
H. G. Wells, dans son livre intitulé Le Nouvel Ordre Mondial (1939).
« Le terme Internationalisme a été popularisé ces dernières années pour couvrir une force financière, politique, et économique, dans le but d’établir un gouvernement mondial. Aujourd'hui l’Internationalisme est annoncé des pupitres et des plates-formes comme la 'Ligue des Nations' ou 'l’Union Fédérée' pour que les USA rendent une partie définie de leur souveraineté nationale. Le plan du gouvernement mondial est préconisé sous des noms attirants tels que le « Nouvel Ordre International », « Le Nouvel Ordre du Monde », « Union du Monde de Maintenant », ''Commonwealth du Monde des Nations », « Communauté du Monde », 'etc... Toutes ces expressions ont le même objectif ; cependant, la ligne d'approche peut être religieuse ou politique selon le goût ou la formation de l'individu. »
Extrait d'un mémoire adressé à la Chambre des Evêques et à la Chambre des Cléricaux et des Lay [ ?] adjoints de l’Eglise Episcopale Protestante en Convention Générale (octobre 1940).
« Dans la première déclaration publique sur la question juive depuis le déclenchement de la guerre, Arthur Greenwood, membre sans portefeuille du Cabinet Britannique de la Guerre, a assuré aux juifs des USA que quand la victoire sera réalisée un effort serait fait pour trouver un nouvel ordre du monde basé sur les idéaux de justice et de paix. »
Extrait de l'article intitulé « Nouvel ordre du monde promis aux juifs », du New York Times (octobre 1940).
« Si le totalitarisme gagne ce conflit, les tyrans régneront sur le monde, et les individus seront des esclaves. Si la démocratie gagne, les nations de la Terre seront unies dans un Commonwealth des peuples libres, et les individus, placés là, seront les unités souveraines du nouvel ordre du monde. »
Déclaration de la Fédération du Monde, produite par le Congrès sur la Fédération du Monde, adoptée par les Législatures de Caroline du Nord (1941), du New Jersey (1942), de Pennsylvanie (1943), et probablement d'autres états.
Le « Nouvel Ordre Mondial a Besoin de la Paix : La Souveraineté d'Etat doit Disparaître, Déclare Notre Dame le Professeur ».
Titre d'article dans The Tablet (Brooklyn) (mars 1942).
« Le Sous-Secrétaire d'Etat Sumner Welles a réclamé tôt ce soir la création d'une organisation internationale des nations anti-Axe pour contrôler le monde durant la période de l'armistice, de la fin de la guerre actuelle jusqu’à l'établissement d'un nouvel ordre du monde sur une base permanente. »
Texte d'article dans The Philadelphia Inquirer (juin 1942).
« Le rapport a continué en indiquant que les enseignements spirituels de la religion doivent devenir la base du nouvel ordre du monde et que la souveraineté nationale doit être subordonnée à plus élevée, à la loi morale de Dieu. »
Institut Américain du Judaïsme, extrait d'article du New York Times (décembre 1942).
« Là sont quelques considérations de preuves de sens commun applicables à toutes ces tentatives de planification du monde. Elles peuvent être brièvement énoncées : 1. Parler des modèles pour le futur ou construire un ordre mondial est, si [j’ai] bien compris, suggestif, mais c’est aussi dangereux. Les sociétés croissent plus loin vraiment quand elles sont construite. Une constitution pour un nouvel ordre mondial n'est jamais comme l’épure d’un gratte-ciel. »
Thomas normand, dans son livre Quelle est notre destin ? (1944).
« John Foster Dulles m’a dit directement qu'il avait toutes les raisons de croire que le gouverneur Thomas E. Dewey de New York acceptera son point de vue et qu'il est personnellement convaincu que c'est la politique qu'il promouvra avec grande vigueur s’il est élu. Ainsi il est juste d’indiquer que sur la première partie du Sphinx d'Albany [capitale de NY] s'est à première vue établi lui-même comme le champion d’un nouvel ordre mondial fort et défini. »
Extrait d'article par Ralph W. Page dans The Philadelphia Bulletin (mai 1944).
« Alchimie pour un nouvel ordre mondial ».
Article de Stephen John Stedman dans Affaires Etrangères (mai / juin 1995).
« Les Nations Unies, dit-il à l’assistance à l'université de Harvard, n'ont pas été compétents – ni ne sont capables – de façonner un nouvel ordre mondial lequel réponde ainsi irrésistiblement la demande. ... Le nouvel ordre mondial qui répondra à des problèmes économiques, militaires, et politiques, dit-il, exige instamment, je crois, que les USA prennent la conduite de tous les peuples libres pour rendre les concepts et les aspirations fondamentales de souveraineté nationale vraiment significatifs par l'approche fédérale. »
Nelson Rockefeller, gouverneur de New York, dans un article intitulé « Rockefeller Offre la Terre Libre Unie : Appels à Harvard pour conduire la construction du nouvel ordre mondial » -- New York Times (février 1962).
« L’expansion logique de l’opinion de la région asiatique est reflétée dans une disposition à considérer les problèmes et la fidélité en termes régionaux, et d’adapter les méthodes régionales aux besoins de développement et à l'évolution d'un nouvel ordre mondial. »
Richard Nixon, dans Affaires Etrangères (octobre 1967).
« Le Président Nixon parle des entretiens comme d’un commencement, ne disant rien de plus au sujet des perspectives pour de futurs contacts et réitère simplement la croyance qu'il a apportée en Chine que les deux nations partagent un intérêt dans la paix et la construction d’un nouvel ordre mondial. »
Extrait d'un article du New York Times (février 1972).
« Si immédiatement un gouvernement mondial, une Charte révisée, et une Cour Internationale très renforcée ne fournissent pas des réponses, quel espoir y a-t-il pour le progrès ? La réponse ne satisfera pas ceux qui cherchent les solutions simples aux problèmes complexes, mais elle vient essentiellement de ceci : L'espoir pour les dispositions prévisibles, non en développant quelques ambitieuses institutions centrales à l’appartenance universelle et une juridiction générale comme c’était envisagé à la fin de la dernière guerre, mais plutôt beaucoup plus dans le processus de décentraliser, de dérégler et d'inventer de pragmatiques processus ou d'adapter des institutions de juridictions limitées et de choisir des membres pour traiter les problèmes spécifiques au cas par cas... En bref, la maison de l'ordre mondial devra être construite du bas plutôt que depuis le haut vers le bas. Elle ressemblera à un grand ‘grondement, bourdonnement confus’, pour employer la description célèbre de William James de la réalité, mais en fin de course, éroder pièce par pièce la souveraineté nationale de tous côtés, fera beaucoup plus qu’un démodé assaut frontal. »
Richard N. Gardner, dans Affaires Etrangères (avril 1974).
« L'ordre existant se décompose très rapidement, et l'incertitude principale est si l'humanité peut exercer un rôle positif en formant un nouvel ordre mondial ou si elle est condamnée à attendre l'effondrement dans une attitude passive. Nous croyons qu’un nouvel ordre sera soutenu pas plus tard que tôt dans siècle à venir et que les affres de la mort du vieil et les tiraillements de la naissance du nouveau seront un temps de tests pour l'espèce humaine. »
Richard A. Falk, dans un article intitulé « Vers un nouvel ordre mondial : Méthodes modérées et Visions Draconiennes », dans le livre Sur la Création d'un Ordre Juste Mondial (1975).
« L'histoire de mon pays, M. président, nous dit qu'il est possible de façonner l'unité tout en chérissant la diversité, que l'action commune est possible en dépit de la variété de races, d’intérêts, et les croyances que nous voyons ici dans cette chambre. Le progrès et la paix et la justice sont possibles. Ainsi nous disons à tous les peuples et gouvernements : Façonnons ensemble un nouvel ordre mondial. »
Henry Kissinger, dans une allocution devant l'Assemblée Générale des Nations Unies, octobre 1975).
« Dans le vieux Bureau d’Inter-Américain dans le Bâtiment du Commerce ici au temps de Roosevelt, en tant que Secrétaire d'Etat Auxiliaire pour des Affaires Latino-Américaines sous le Président Truman, en tant que chef brusque avec Adlai Stevenson et Tom Finletter à la fondation des Nations Unies à San Francisco, Nelson Rockefeller était à la tête de la lutte pour établir non seulement un système américain de sécurité politique mais aussi un nouvel ordre mondial. » Partie d'article du New York Times (novembre 1975).
« Un nouvel Ordre Mondial. »
Titre d'article sur le début de l’allocution de Hubert H. Humphrey à l'université de Pennsylvanie, imprimée dans la Gazette de Pennsylvanie (juin 1977).
« Le progrès global est plus possible maintenant seulement à travers une recherche de consensus universel dans le mouvement vers un nouvel ordre du monde. »
Mikhail Gorbachev, dans une allocution aux Nations Unies (décembre 1988).
« Nous croyons que nous créons le commencement d'un nouvel ordre mondial en éclosant de l'effondrement des l’antagonismes entre USA et Soviétiques. »
Brent Scowcroft (août 1990), cité dans le Washington Post (mai 1991).
« Nous pouvons voir au delà des ombres de la guerre du Moyen-Orient un nouvel ordre mondial où le travail fort ensemble décourage et arrête l'agression. C'était précisément la vision de Franklin Roosevelt et de Winston Churchill pour la paix dans la période d'après-guerre. »
Richard Gephardt, dans le Journal de Wall Street (septembre 1990).
« Si nous ne suivons pas les préceptes de notre boussole morale intérieure et nous ne défendons pas la vie humaine, alors son anarchie menacera la paix et la démocratie du nouvel ordre mondial naissant que nous voyons maintenant, cette longue vision rêvée pour qui nous avons tous travaillée depuis tellement longtemps. »
Le Président George Bush (janvier 1991).
« Mais il est devenu clair comme le temps se pliait à la raison de M. Bush que le nouvel ordre mondial a été fondé sur une convergence de buts et d’intérêts entre USA et Union Soviétique, si forte et permanente qu'ils travailleront en équipe à travers le Conseil de Sécurité de l’ONU. » Extrait de A.M. Rosenthal, dans le New York Times (janvier 1991).
« Je soutiendrai un candidat présidentiel qui a promis de prendre les mesures suivantes : ... A la fin de la guerre du Golfe Persique, encourage à un règlement compréhensif du Moyen-Orient et pour un nouvel ordre mondial basé non pas sur la Pax Americana, mais sur la paix par la loi avec un ONU fort et une Justice Mondiale. »
George McGovern, dans le New York Times (février 1991).
« ... c'est le bébé de Bush, même si il partage sa popularisation avec Gorbachev. Oubliez la racine du nouvel ordre d’Hitler ; F.D.R. a utilisé l'expression avant. »
William Safire, dans le New York Times (février 1991).
« Comment j'ai appris à aimer le nouvel ordre mondial ».
Article du Sénateur Joseph R. Biden, Jr. dans le Journal de Wall Street (avril 1992).
« Comment Réaliser le Nouvel Ordre Mondial »
Titre du livre d’Henry Kissinger, dans le Time Magazine (mars 1994).
« L'acte Final de l'Uruguay Round, marquant la conclusion de la négociation commerciale la plus ambitieuse de notre siècle, donnera naissance - au Maroc - à l'organisation du Commerce Mondial, le troisième pilier du Nouvel Ordre Mondial, avec les Nations Unies et le Fonds Monétaire International. »
Partie de la publicité sur une pleine page par le gouvernement du Maroc au New York Times (avril 1994).
« Le Nouvel Ordre Mondial : L'élévation de la Région-Etat ».
Titre d'un article de Kenichi Ohmae, chef politique réformateur du Japon, dans le Journal de Wall Street (août 1994).
« Que le Nouvel ordre Mondial qui est en cours de fabrication se concentre sur la création d'un monde de démocratie, de paix et de prospérité pour tous ».
Nelson Mandela, dans Philadelphia Inquirer (octobre 1994).
« Le renouvellement du traité de non prolifération a été décrit comme important « pour le bien-être du monde entier et le nouvel ordre mondial ». »
Président Hosni Mubarak d’Egypte, dans le New York Times (avril 1995).
« Les américains doivent être disposés à renoncer à un degré d'intimité personnelle en échange de la sûreté et de la sécurité. »
Louis Freeh, directeur du FBI, 1993.
« Nous ne pouvons pas être aussi obsédés dans notre désir de préserver les droites des américains ordinaires ».
William Jefferson Clinton, USA Aujourd'hui, 11 Mars 1993.
« Je ne puis être responsable de chaque petite entreprise sous-capitalisée d’Amérique. Il est temps de mettre le bien commun, l'intérêt national, en avant des individus. »
Hillary Clinton, quand elle a dit que le plan socialiste des soins de santé mettra les petites entreprises en faillite.
« Les décisions au sujet de la maternité et de l'avortement, de l’école, de la chirurgie cosmétique, du traitement des maladies vénériennes ou de l'emploi... ne devraient pas être prises unilatéralement par les parents. »
Hillary Clinton sur les « Droits des Enfants ».
« Les fondamentalistes et les croyants en la Bible n'ont pas le droit d'endoctriner leurs enfants dans leur croyance religieuse, parce que nous, l'état, nous nous préparons pour l'année 2000, quand l'Amérique fera partie de la société globale du Monde Un, et leurs enfants ne pourront pas s'adapter dedans. »
Sénateur du Nébraska, Peter Hoagland, à la radio en 1983.
« Je ne m'inquiète pas si vous voulez chasser. Je ne m'inquiète pas si vous pensez que c'est votre droit. Je dis, 'désolé.' Nous sommes en 1999. Nous avons assez eu comme nation. Il ne vous est pas permis de posséder un pistolet, et si vous possédez un pistolet je pensez que vous devriez aller à la prison. »
Rosie O'Donnell, 21 Avril 1999
"En politique, rien n'arrive par hasard. Chaque fois qu'un évènement survient, on peut être certain qu'il avait été prévu pour se dérouler ainsi."
Franklin D. RooseveltPrésident des Etats Unis de 1932 à 1945
"Le monde se divise en trois catégories de gens: untrès petit nombre qui fait se produire les événements,un groupe un peu plus important qui veille à leurexécution et les regarde s'accomplir, et enfin unevaste majorité qui ne sait jamais ce qui s'est produit en réalité."
Nicholas Murray ButlerPrésident de la Pilgrine Society, membre de laCarnegie, membre du CFR (Council on Foreign Relations)
"Nous arrivons vers l'émergence d'une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c'est de LA CRISE MAJEURE et le peuple acceptera le nouvel ordre mondial"
-David Rockefeller, CFR-
"Divers groupes oeuvrent dans l'ombre depuis des siecles. s'ils s'enveloppent d'un tel secret, c'est que leurs motivations ne sont pas claires."
-Albert Pike-
"Dès que possible, nous devons arriver a élaborer un gouvernement mondial et une religion mondiale diriges par un leader mondial" -
Robert Muller- (ancien assistant au secretaire general de l'ONU)
"Le monde est gouverné par de tout autres personnages que ne se l'imaginent ceux dont l'oeil ne plonge pas dans les coulisses."
Disraëli (1804-1881), dans Coningsby, page 183
"Si soudainement il y avait une menace envers ce monde en provenance d'une espece d'une autre planete, nous oublierons tous ces petits conflits locaux qui ont lieu entre nos deux grands pays et nous comprendrions une fois pour toute que nous sommes en fait des etres humains de cette terre."
-Ronald Reagan s'adressant a Mikhail Gorbachev-
"Il y a deux histoires: l'histoire officielle, menteuse, puis l'histoire secrète, où sont les véritables causes des évènements."
Honoré de Balzac
"Trois cents hommes, dont chacun connaît tous les autres, gouvernent les destinées du continent européen et choisissent leurs successeurs dans leur entourage."
Walter Rathenau (1867-1922), dans le journal autrichien Wiener Freie Presse,
24 décembre 1912
" Dans les conseils du gouvernement, nous devons donc nous garder de toute influence sans garantie, voulue ou pas, du complexe militaro-industriel. Le risque potentiel d’une augmentation désastreuse d'un pouvoir mal placé existe et persistera.
Nous ne devrons jamais laisser le poids de cette combinaison mettre en danger nos libertés et processus démocratiques. "
le discours d'adieu prononcé à la télévision américaine le 17 janvier 1961 par le Président Dwight D. Eisenhower
"Le bureau présidentiel a été utilisé pour mettre sur pied un complot d'anéantissement de la liberté du peuple américain, et avant de quitter ce bureau, je dois informer les citoyens de cet état critique."
John F. Kennedy, (A l'université de Columbia, 12th Nov. 1963 - 10 jours avant son meurtre le 22 Novembre 1963.)
"L'avancement du progrès global est maintenant possible seulement à travers une quête pour un consensus universel dans le mouvement vers le Nouvel Ordre Mondial."
Mikhail Gorbachev, Président de l'Union Soviétique de 1990 à son démantèlement, dans un discours aux Nations-Unies en 1988
"Il incombe à la communauté internationale d'élaborer les règles de ce
nouvel ordre mondial",
a dit Jacques Chirac, qui a souhaité que la
communauté internationale s'entende sur "une vision commune inspirée de
la Charte des Nations unies".le 7 décembre 1998 dans l'hémicycle comble de l'Unesco
"...Homme moderne, adulte pourtant parfois faible dans sa pensée et dans sa volonté, laisse-toi prendre par la main par l’Enfant de Bethléem ; ne crains pas, aie confiance en Lui ! La force vivifiante de sa lumière t’encourage à t’engager dans l’édification d’un nouvel ordre mondial, fondé sur de justes relations éthiques et économiques. Que son amour guide les peuples et éclaire leur conscience commune d’être une « famille » appelée à construire des relations de confiance et de soutien mutuel. L’humanité unie pourra affronter les problèmes nombreux et préoccupants du moment présent : de la menace terroriste aux conditions d’humiliante pauvreté dans laquelle vivent des millions d’êtres humains, de la prolifération des armes aux pandémies et à la dégradation de l’environnement qui menace l’avenir de la planète."
Benoit XVI messe de noël 2005
"L'histoire est un mensonge que personne ne conteste"
Napoléon Bonaparte
"dérriere le gouvernement visible siège un gouvernement invisible qui ne doit pas fidélité aux peuples et ne se reconait aucune responsabilité. Anéantir ce gouvernement invisible, détruire le lien impie qui relie les affaires corrompues avec la politique, elle même corrompue, tel est le devoir de l'homme d'état"
Théodore Roosevelt
"La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre contre les Etats-Unis. Une guerre permanente, économique, une guerre sans morts. [...] Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde. Une guerre inconnue, une guerre permanente, sans morts apparemment, et pourtant une guerre à mort."
François Mitterrand (1916-1996), Ex-Président Français. Commentaire lors d'un entretien privé avant sa mort, cité dans le Courrier International du 13 Avril 2000