Tireur embusqué
Tyran bousculé
Timing redouté
Tempête assurée

Dans mes rêves les plus fous j'atteint ton podium
Mon esprit est endormi comme sous opium
Ma tête et mon cœur sont fragile comme béryllium
Entre toutes tes lignes, je redoute l'erratum

Puis-je ne pas être omniscient ?
Confident, heureux sans être méchant,
Tes larmes sont tombés sur ton masque d'or,
Puis-je te regarder encore ?
Je panse mes blessures quand tu dors,
Mon esprit subit la pire des tort
Tures, dure sont mes acouphènes assourdissants
Dure mes pires maux languissants.

Tu m'es essentiel, comme Dieu a besoin du ciel,
Tu n'es pas additionnel, mon bonheur est artificiel,
Mon envie mortel,en toi  parsemé comme archipel,
Et même cette fumée cruelle, me donne l'envie de braquer ton cœur comme criminel.
Seulement mes rêves les plus fous j'atteint ton podium
Mon esprit est endormi comme sous opium
Ma tête et mon cœur sont fragile comme béryllium
Entre toutes tes lignes, je redoute l'erratum

Les violons suivent le rythme du sang dans mes tempes
Je suis depuis bien trop longtemps dans l'attente,
D'une réponse qui ne soit pas seulement cinglante,
Ma patience et mon existence sont effervecsentes.
La fin d'une histoire qui forge et qui forge,
L'anneau destructeur sont les mensonges, les reproches,
Mon esprit meurt éclaté sur les roches, que l'orage rapproche,
Comme espoir de Gavroche, autant de douleur que la charge d'un auroch.

Mais ça va ce n'est que le temps,
D'après la science l'amour ne dure que 3 ans,
Alors explique moi d'où vient cet énervement ?
Qui m'abandonne quand je la vois vraiment !
Et ce monstre intérieur, froid et hurlant,
Retiens les larmes pour ne pas être un enfant !
Mes idées sombres me font tomber chez les fous riant,
De mon sort et de mes pitoyables aboiements !

La race humaine me sépare des plébéiens,
Ma folie est mon mur d'Hadrien.
Je ne suis pas un alien, je fuis vos fêtes païennes,
Mes souvenirs sont extraits par césarienne.


Dans mes rêves les plus fous j'atteint ton podium
Mon esprit est endormi comme sous opium
Ma tête et mon cœur sont fragile comme béryllium
Entre toutes tes lignes, je redoute l'erratum