Il suffit d'une singulière touche féminine
Pour que tout mes doutes s'éliminent
Elle s’agrippe à mon cœur
Comme tel est le dessin du lierre
J'ai rêvé que nos destins brûlèrent
D'une même flamme qui ne meurt
Que chez Satan dans sa demeure
Faux rêve lucide, simili de réussite,
Car j'ai vu s'affaisser des cendres,
Que j'ai laissé se répandre,
Mes doutes, phénix, de ces cendres ressuscitent
Tombent tel les neiges de Décembre
Sans rien pouvoir en faire
Afin de brûler d'un feu commun il nous faut descendre,
Au sein des sombres couloirs des enfers.