Bonsoir, je n'ai jamais eu le courage de montrer mes textes, mon copain ma dit que se site me permettra de m'améliorer, alors merci de me donner des avis
C'est la vie que je supporte,
Dans ce taudis qui m'insupporte,
Tout est déjà écrit,
Y'a plus rien à faire à part continuer à écouter tous ces cris.
Mon cœur y saigne mais je ne cherche pas à comprendre,
Trop de remue méninge, je ne veux plus rien entendre.
On me dit pleure pas,
Mais putain même mes yeux y tombent à plat;
Insomniaque les yeux totalement cerné,
Monde devenu complètement acidulé,
On ne peut même plus goûter à la vie,
On se sent trop abrutit,
Devant ces grands qui cherchent a nous faire comprendre le monde,
En nous comparant sans arrêt à la ronde.
Je passe mes soirées à t'écouter me dire que t'étais un ange,
Que je ne suis qu'une merde qui dérange,
T'étais pas non plus le roi, t'étais juste inconscient,
Comme eux, comme tous, a se retrouver claquer des dents,
Pas de froid mais de peur quand on se retrouver face a eux,
Tu connais, toi même tu sais, là ou ce n'étais plus qu'un vœux,
De pouvoir quitter tous ces vieux.
Tu penses que je fais trop mon égoïste,
Les gens disent que je fais trop souvent ma triste,
Je me lèves tous les matins avec ces jours qui se répètes,
J'en peux plus de revoir ces têtes,
Trop de cons, plus aucune envie de fêtes,
Je deviens folle, folle de rage,
Je pleure trop, je ne peux plus tourner les pages.
Passée perturbateur, trop souvent rappelé,
Tu veux essayer de me cerner,
Mais même moi je ne peux même pas me l'imaginer.
On fait tous des erreurs, il est peut être trop tard,
Mais pas la peine de gueuler, je commence a en avoir marre,
De tous ces cris, je veux juste qu'on me tende la main,
Pour accepter le fait que je veux changer de teint.
La drogue m'a fait tourner la tête,
J'avais tout perdu, même la famille me penser trop bête,
Alcool sans arrêt, je me demandais quand sa aller s'arrêter,
Je voulais juste abandonner, toutes ces merdes allaiter.
Tous les jours me fallait ma dose, surement pas accro,
Mais je voulais oublier tous ces mots,
On dit souvent que l'évasion nous fait oublier,
Je suis toujours là, j'ai tout lâché, et la vérité, bourrage de crâne, rien ne s'est arrêté,
J'y repense comme si c'étais hier, je me rappel quand on m'avait proposé de repasser mon année,
J'suis surement passé, mais, mon comportement a fait son fort.
Je souris, je ris, je joue, je vis, mais mon cœur est totalement détruit.
Je deballe tout, j'en peux plus,
Mon stylo s'effondre, mes feuilles pu,
Je vous fais passer ce message que vous écouterez peut-être,
Je lance mes mots comme si sa allait me faire oublier tous ces traîtres.
Voila mon passée, pour finir je peux enfin partir, oublié, tout mes péchés.