J’tiens ma vie en main autant qu’un homme qui à la parkinson
J’suis appart et si seul, j’viens d’un vice qui n’aurait jamais du avoir de lendemain
Et ça m’frustre de déjà détester mon existence dans l’ventre de ma mère
Attendre un peu de sens dans l’antre du mal être, si jeune et déjà noyer dans la merde

Tellement macabre que même le cordon ombilicale à voulu m’soulager d’cet enfer
Après ça 16 ans d’accalmie, une haine en fond comme une ombre lyricale qui m’enchaine
S’monde n’est qu’une illusion de bonheur dans un songes lugubres du diable
Trop d’usures minable, alors que d’autre fond la guerre pour un foutu territoire

J’fais sortir les démons qui sont dans ma tête car j’ai des choses à dires
C’est chaud à vivre, j’ai beau être vrai mais la faux s’agite
Mec parle à d’autre de tes problème, car j’reste impénétrable
J’suis un paradoxe comme mettre un amputé des jambes sur un piédestal

Tu veux des chansons avec des solutions à tes problème demande à d’autres
A chaque texte j’raconte mon parcoure de bohème et oui je sais j’radote
Au fait … C’est l’samouraï aka l’dernier lyriciste au Nodashi en guise de plume
J’en fais l’moins possible car l’succès et l’illicite s’ressemble que veux tu qu’j’te dise de plus