Le ciel, n'est pas trop près d'me pardonner,
Mais m'as donner la vie, et c'est dessus, que je me suis faconner,
Mais aujourd'hui décu, mes vieu n'arrivent plus a rire d'mes chutes,
Et zut, moi qui me croyais ange, je me découvre déchu.
J'ai vu, un poto perdu, c'est dur,
Sa mère sue d'une maladie orpheline,
L'espoir elle l'as encore de vivre,
Mais là suite c'est là mort j'devine...
Et pour sa survit l'soir je pris.
J'me dit, qu'on peut pas partir sans nos bagages...
Même si d'nos jour semble banal, les bagarres a bagdad,
Le bazar des batailles, les batards au bastars,
Contre les isolés, au pistolet bas d'gamme !
Mais les balles partent et ca bad sale,
Ses barbares de batman, en en gardant des balafres se battent man,
T'en a pas marre ?
Tant d'mort, vu qu'les gens s'haïssent,
Les stelles nous envahissent,
A telle point qu'on brûle encore les corps dans les champs d'maïs...
J'prend pas d'risque, car au fond je sens que le cancer me gagne,
Tant d'tèrs de hash, c'est mes poumon que j'enterre de crasse,
La tête a l'envers je cane, en vers je rage,
Car je rève d'en faire sevrage !
Tant d'perle rare, qui m'ont glisser dans les doigts,
Le mal que j'ai eu après qu'elle est briser tant d'espoir !
A teaser dans les bars,
J'me dit qu'le lycée j'en ai marre,
J'dit fuck à la vie, j'veux fumer du cannabis, au paradis,
Pour m'y hisser j'tend les bras,
Mais l'on m'rejète comme une maladie.
Devant cette batardise, je fait mon annalise, je dramatise,
Avant que la haine m'atteigne j'la saigne en gros j'me canalise.
A peine rentré chez moi, j'ouvre ma teille, et j'me shoot à la tease.
En fait j'goûte à la crise,
Mes poches se vident, et mes potes se disent,
Que l'époque se grise en face d'un pauvre stick,
J'écrit une prose riche, sauf quand ca cause de biff,
Mais bas les couilles écoute, j'veux ses chose se lisent.
Tu m'parle de jupiter,
Tu m'parle de l'univer,
Mais si tu voudrais mon avis, j'te dirais mon ami,
Que le mien est sur gy-cer,
J'ai vu l'd'mi frère, sucidaire,
Il veut laissé faire lucifer, J'en suis lassé frère...