anti règle social
j'me met bien je suis al
vivant dans la décadence
sans contrainte ni réticence
préférant le vin d'ici à l'au dela
j'tease jusqu'à avoir des taches jaune dans le foie
ouais j'me bourre la gueule et enchaîne les pétards
et qu'importe si j'fini sur le billard
j'me défonce jusqu'à oublier mon nom
j'oubli le tient de la même façon
toute ses voix qui résonne dans ma tête
qui me chante tes louanges à tue-tête
tu me dis que j'suis gentil
mais qu'on ne sera jamais plus que des amis
qu'est ce que l'amitié sinon deux personnes qui qui ont un temps le même destin
avant de se perdre de vue à la croisé des chemins
ses relations ne dure pas, elles sont courtes, éphèmères
même la plus solide s'éffondre au premier courant d'air
c'est peu être la magie de la chose tout compte fais
l'important n'est pas le temps que ça dure mais l'intensité qu'on y met
pardonne moi mais je veut plus que ça
je ne veut que partager ma vie avec toi
mes peines et mes joies
mes rires et mes tracas
j'veut vivre et mourir à tes côtés
que mon dernier souffle sois dans un de tes baisers
qu'avant de m'éteindre ma dernière images
sois celle d'un sourire sur ton visage
tu ne cesse de me repoussé
combien de fois déjà, j'ai cessé de compter
mais tu peut me haïr
de ta vie me bannir
jamais tu ne pourra s'éffacer mes sentiments
ils sont ancré bien trop profondément
arrache moi le coeur et peut être tu comprendra
quand tu verra qu'il continu de battre malgrès ça
je te l'ai dis et répéter mainte fois
je suis prêt a crever pour toi
demande moi tout se que tu veut
ordonne moi d'exaucer chacun de tes voeux
j'me donnerais à fond pour que tu retrouve ton sourire rayonnant
ou alors mourrait en esseyant
tu peut me dire que jamais ça n'arrivera, que l'espoir est interdit
l'espoir est tout se qui donne un sens à ma vie
traite moi de fou ou d'incensé
si la folie c'est t'aimer qu'on me conduise de suite chez les alliénés
je ne suis pas du genre à baisser les bras facilement
beaucoup ont essayer de m'faire tomber, tous ont échouer jusquà présent
j'attend le jour béni ou enfin j'passerais au trépas
mais même les ténèbres ne veulent pas de moi
regarde dans qu'elle état tu me met
j'suis plus qu'une loque humaine, le fantôme de s'que j'étais
mais je n'suis plus capable que de ça
je ne vit que pour entendre ta voix
même si tu dis rien de si brillant
tes mots ont un effet euphorisant
tu guérit mes blessures mieu qu'un pansement
je suis malade, c'est toi mon médicament
je ferai tout pour toi, j'ai gravé cette promesse dans le sang
et j'péfére la torture à rompre mon serment
mais je t'en supplie me demande pas de cesser de t'aimer, de perdre cet espoir
c'est peut être vain, mais tant que la flamme brûle, le rêve demeure de crier victoire
le jour ou j'partirais regarde le ciel et si tu voit la pluie tomber
c'est que malgrès moi mes larmes auront coulé