Un poème fait en 10 minutes et des poussières, juste après avoir commenté le poème d'axiome, j'ai eu envie de créer un texte. Ca parle de la monotonie d'une vie humaine, vécu à travers une seconde. Le texte peut paraître simple, mais derrière chaque phrase se trouve un sens profond, et rien n'est là pour rien.
La longueur de la seconde n'a d'égal,
Dans son tourment, tournant sur elle-même,
Que la langueur de la monotonie néfaste,
Si du champ lexical ne ressort que la flemme,
La langueur de la seconde n'a d'égal,
Dans son châtiment incongru d'art létal,*
Que la vie d'un simple citoyen du profane,
Si de celle-ci ne ressort que l'or sale...
*Comprenez que le temps, et par extension la seconde, tue. On ne vit pas éternellement. Je trouve que c'est triste de voir mourir des gens, voila pourquoi incongru.