Et mon pote, le rap est à la mode, mais on à pas fait les mêmes écoles, ni apprit les mêmes méthodes
Car la colère des mes collegues, cogne les cognes et eux suivent les codes, et roules un cone
De weed que j'm'envole loin d'ici, à faire des théories avec mes idées indécises
Mais précise, que le complexité des mes textes te laisse perplexe
Mec de tec', thèse qui t'vexe, vraiment j'manque de veine
Dans une société qui me peine, voilà c'qui nous pèse et nous traîne
Mais la rue nous berce, dans nos soirs d'ivresses,
Car elle accompagne mes rêves dans mes verres, que je transmet à mes verres
Et me renverse de voir, la pauvreté le manque d'ivoire
Un état qui ment à son auditoire, à croire
Qu'il recherche notre perte et d'encaisser les gains
Mais rien à battre avec les miens on reste serein
Et dés l'matin, roule un cone d'amné pour oublier que la street ta condamné,
Damné à cette destiné, les assiettes vides aux diners
Car on à pas la vie d'Oudhini, je pars en vrille dans ma ville
Car à Paris c'est faux, y'a pas d'magie !
Les terroristes attaque le métro et moi j'attaque le micro,
Laissant une empreinte sonore, un son en or, un son hors norme
Mais le silence est d'or, alors j'rap ma rage sans crier
Mais là c'est trop tard, j'viens d'me faire griller,
Donc roule avant que la vie veuille te rouler
dégaine tes feuilles OCB, pour qu'on puisse s'envoler !

il manque de la technique ; tes rimes sont simple ou voir même sans rime
tes meuz sont irreguier
il y a tout de même un bon fond
et méme de belle meuz

Citation :

Les terroristes attaque le métro et moi j'attaque le micro

Mais le silence est d'or, alors j'rap ma rage sans crier

il y a aussi des interne
conclusion pour une première c'est pas mal