Si jsors mon stylo,
C'est pas pr fair le bo,
Le keumé narcissique,
Qui narre sa vie merdique.
Mais pour, par mes mots,
Mettre les gens aware,
De la société, des maux,
De tout cet atmosphère.
Tu te rappelles David ?
Le frondeur du passé,
Qui de sa fronde, rapide,
Golliath, a terassé.
Aujourd'hui c'est pareil,
Alors sort ta fronde,
Et effondre l'appareil,
Qui partout gronde.
Tout les politiciens,
Son des athéniens,
Fsant style de tout connaître,
Fsant style d'être des maîtres.
Mais ils connaissent pas le ghetto,
Jte dis c'est pas du gateau.
Nous, on des spartiates,
Des guerriers endurcis,
Qui de nos glaives, tape,
Les immondes ennemis.
(refrain)
Jadis Socrate a dit,
"connaît toi dans ton ignorance"
Prend, de ton non-savoir, conscience,
Il a été occis.
Nous on est des socrates modernes,
Philosophe incompris,
De ce monde terne
Qui brise nos utopies
( fin refrain)
Je suis L'néo-Orphée,
Ma harpe est ma pensée.
Ecoute ma mélodie,
Ecoute ce que je te dis,
On est des oprimés,
Vivant dans la pressions,
Il faut se relever,
Pour vaincre l'opression.
On est tous dans l'Arène,
Gladiateurs modernes,
On s'bat comme des démons,
Pour accéder en haut.
Vaincre la soumission,
Et décrocher lgros lots.
Ce lot c'est la liberté,
Liberté de pensée.