Peur de vivre car chez les humains tout m'effraient
Nique les hommages funéraires qu'on dédommage tout mes frères
Partis trop tôt... Pour étouffer leur cris et
Pas d'quiproquo: je parle bien de meurtrier
Ils se servent de leur billet mais pas pour indemniser
Les amas de corps grilles y en a des milliers
Je regarde l'or briller, une beauté illusoire
Puis l'heure tourne et mes larmes coulent au fil du soir
Et le temps s'égrene... Défaillance et décadence se créent
Et plantent ces graines qui renferment un cadeau secret
Sectarisme et propagande, j'ai croque dans la pomme d'Adam
Dieu pour ma part je sais qu't'arrives mais sache que des mecs propres attendent
Que tu fasse signe... En gros tu dois les sommer
L'attrait du pouvoir fascine mais peu tutoient les sommets
J'ai du mal a raisonner comme un phénix a faire son nid
J''ai tasse mon insomnie sur une feuille que personne lit...