Un matin, avec des potes on zonait dans le tié-kar/
Les te-shmi baissait le regard,on été loin d'etre trickard/
Stationnant dans un bar, buvant l'ricard comme de l'eau/
On s'tapait des barres,et on trouvait tout cela drôle/
D'un coup, une meuf passe,débordeur noire et mini gonna /
On voulé tous l'approcher,la toucher quitte à etre des connards/
La meuf nous regarde,on croit qu'elle veut nous allumer/
On va la voir,on s'installe, elle nous répond:"salut mais/
Je suis pas interessé, patientez,reesayer,mais pas aujourdhui/
Des mec comme vous, j'en ai vu trop plein et il m'ennuit"/
Retournant dans nos fauteuil, on la regarde avec le faux œil/
Tel des prédateur, restant à l'affut de tous ceux qui bouge/
Sous le pantalon, popol se lève, j'te l'dis man sa bout/
L'envie monte tel l'adrénalie,mais la fille est très maline/
Elle va prendre l'air, et nous l'air de rien,on la suit/
A l'extérieure, sur le banc public elle est assis/
Quand, elle nous voit elle demande un taxi/
Mon pote sort un shlass,l'invite à nous suivre/
Sous peine de menace,mé voilà koi on est ivre/
On lui bande les yeux,et l'amène là ou on creche/
Sous la cave on commence a lui faire des caresses/
On l'attache à un poteau,pour qu'elle reste immobile/
J'laisse la place à un poto,je sais c'est horrible/
Mais on révait tous d'une putain de nuit torride/
Oh Dieu pardonnez nous de cette nuit horrible/

Nuit horrible, nuit torride, c'est ces vers cité
Qui montre que ce monde est d'une sévérité
La vérité c'est le monde et ses perversitées


Il est 2heure du mat',et j'ai reçu un appel/
Mes potos dans la cave,ils m'appellent/
Ils me disent avoir trouvé un cadeau d'annif'/
Je suis donc sur la route d'cette découverte/
N'sachant pa k'cette news,sera pire kun coup d'canif/
je me gare,sans avoir d'égard ou d'écart pour l'cadeau/
Un chou à la crème, et des miches comme gâteaux/
Je vais les voir, et pendant des heures,ils m'explique l'deal/
Il fait tout noir, petit à petit il commence à faire nuit/
Je me place,déballe le cadeau,mais celle-ci se débat/
Je force, elle me crache dessus, je lui fous des baffes/
Je mets ma main sous son string,sans stress,sans soucie/
La doigte comme une flute, de toute façon je m'en fout si/
Elle lance-ba, Elle ne me conné pas,et ne m'a jamé vue/
Je ressens son souffle, ses tremblements me donne envie/
C'est grâce à cela qu'j'remercie Dieu d'me laissez en vie/
Je déboutonne mon pantalon,mais elle refuse de toucher/
Je veux mettre ma queue dans sa bouche,mé elle s'met à tousser/
Je commence à la pénetrer,elle se met à crier,car elle a peur/
De ce viol aucun remord, lentement je me donne du plaisir
Avec ses formes,et ses jambes tel une femme du Brésil
Je la viole,comme je viole son intimité et sa pudeur
La vie est un jeu,le but est de ne pas se faire prendre
On croit tout connaitre,mé la vie a tant a nous apprendre

Nuit horrible, nuit torride, c'est ces vers cité
Qui montre que ce monde est d'une sévérité
La vérité c'est le monde et ses perversitées

La violant sans soucie,mais le hic c'est que ça sent le roussie
Je ressens presque la sursie,elle porte l'parfum d'ma cousine
Mes mains tremblent,et même son souffle semble m'connaitres
Dans ma poche je sors une lampe,je l'allume,et enlève l'bandeau
Devant moi ma soeur, en pleur, et moi nue devant elle j'bande oh
J'prend d'l'eau,et essuie ses larmes,elle me sort:"moi qui t'aimais
comme personne à présent je te hais",j'sors l'arme,elle dis m'aimais
J'ai honte d'moi, un coup de barre, les nerf craque, et l'coup part
Ma soeur tombe par terre, je pense à un boulevard plein d'amour
Mais n'yarrivant pas,j'retombe très vitedans le désarroi, Des ardoise d'ma vie
effacé puisque celle ci se termine le gun sur la tempe, une attente
une explosion des crie, la sirène Et mon corps plonge dans l'abyme
J'ai regretté mon acte,ce viol était un pacte avec Sheitan,fais chier p'tain
Mais dans ce monde trop peu d'gens s'ouvre,et beaucoup d'gens souffre
Je ressentirais toujours ce souffle,je souhaites pour les enfants de demain
Un monde de paix,sans violence et sans souffrances,ces vers citées
Racontent la story, d'une triste histoire, et cé pourquoi j'emmerde la perversité