Une simple reflexion.
Souvent, il y a un berger et des moutons, si quelqu'un dit aux gens que ce sont des moutons et invite a la revolte, peut-on affirmé que le la personne est un berger et que les gens confirme que ce sont des moutons ?

Généralement on dit de quelqu'un que c'est un mouton lorsqu'il suit un autre, sans réfléchir et qu'il dit amène à tout.

Aprés ça dépend, si quelqu'un subit et qu'il rencontre un jour une personne qui lui propose une autre manière de voir les choses et qu'il lui propose de s'allier pour la révolte, là non, ce n'est pas un mouton, c'est un opportuniste qui saisie l'occasion de provoquer un changement pour sa condition d'homme, sans doute parce que lui même n'a pas la motivation, la force ou je ne sais quoi d'autre pour allumé lui même la flamme de la révolte.

Malheureusement, les gens pour vivre aujourd'hui, on besoin de références, ce qui en soi est sage, il y a tj eut chez les maitres à penser, chez les artistes, une hierarchie maitre/disciple, maitre dans le sens de l'artistique, pas de l'humain....

Le problème c'est la nature ces références, lorsqu'elles sont malsaines ou pitoyables et qu'elles sont suivient, on à ce qu'on connais aujourd'hui, des gens qui n'pensent plus par eux même, mais sont influencé par leur environnement direct ou indirect, par leur culture ou leur traditions, qu'ils soient oui ou non d'accord avec. Il y a des rebelles à leur condition humaine, mais trés peu.

C'est pour ça qu'il y a tj eut des leaders, Freud dit que la majorité à toujours eut besoin d'une minorité plus heuu comment dire, plus vif d'esprit pour être mener, et c'est la vérité, c'est en tout cas ski spasse partout dans le monde. Les gens crois être libre, ils sont libre oui...mais dans le troupeau...

Mais si on prend en exemple Cuba, il y a le Che qui a fait la révolution, tout le monde a suivit, on a mis Castro au pouvoir, et dans le fond, ça n'a rien changé aux conditions de vie.
On a dit "révolution" et a la fin, la majorité a été remis dans l'enclos du troupeau, donc c'est ce genre d'exemple qui m'est amené a ma phrase du début.

oé mais le CUBA de maintenant ce n'est pas le cuba du ché, lol...

Et puis, c'est aussi une question d'idéal, le ché avait une vision non capitaliste, c'était + une idéologie de partage du travail ect...

Alors que le monde économique, c'est tout autre chose, celui aujourd'hui qui ne s'aligne pas il est mort avant même d'avoir existé.

C'est un choix, faire souffrir son peuple pour les idéaux ou alors lui proposer disons une prospérité meilleur mais en regnant ses principes politique et moraux.

Mais je pense qu'entre les deux, on peut trouver un compromis, c'est le capitalisme social démocrate, c'est à dire chacun fait ce qu'il veut dans le bisness, mais à conditions que les droits des travailleurs soient bien regler et juste et que les salaires soient honorable. En gros, un monde du travail humanisé et non pas materialisé.

tout est juste mai ne peut s'apliqué, ou avec du mal alor .

Bienvenue dans la vie

non mai jrespecte ta facon de voir les chose

Che c'etait un communiste et Castro c'est son bon pote qui l'as fait assassiné ...

Castro a joué un role pendant la revolution qu'il a vite laché une fois celle ci finie j'crois ;)

j'vais t'en mettre des mouton dans l'cul
hataaaaaaaaaaaaaaaaaiiiiiiiiiiiiiiiiiiii




payer ton loyer avant kil ne te paye!!!!!