Tu sais que rien n'a changé, quelques maladies de plus a en devenir cinglé
Sur les murs, des pavés s'brisent, traçant la crise de gravures illettrés
Mal être qui ne sommeil plus mais qui hurlent à la déraison
Pale être le long des canaux endormis, camés de toutes les saisons
Sueur froide glissant les courbes d'un sentiment d'abandon
Renfermé sur eux même, les gosses talonnent les sentiers de vagabonds
En quête de sens ou de reconnaissance, pensent trouver la voie dans l'errance
Auto pénitence, tremble le manque quand le soir danse, France sous transe
France sous transe...

j'arrive pas écrire, peut être que je n'ai rien a dire
je m'avoue vexé, perplexe à en être névrose et sa empire
j'me coucherai pas tant que l'inspi ne m'aidera pas a m'évader
calculé ce qui reste inconnu, la plume sert comme plaidoyer
Des sirènes dans la nuit sourde, coudre mes pensé par mes maux
toujours des trous des oubli le tout couronné par mes idéaux
Mes mots m'obsède j'en ai les yeux grand ouvert
La nuit de la musique reste très couverte
L'éprouvette de l'adrénaline a pété
a croire, a voir peut être que les fleurs ont fini par fanés
plané restera toujours un des plus grand plaisir
désir de s'enfuir de soi, être roi et pouvoir sévir
tout ça n'a surement pas beaucoup de sens
j'ai arrêté de le chercher, vivant de l'errance,
les rimes se répètent a croire que c'est toujours la même rengaine
changement d'humeur, en changement d'odeur le monde est a la traine

avec ce qu'on a dans le cœur, c'est pas toujours facile de prendre du recul
se qui se terre parmi nos peurs, nos pleurs reflètent notre reflet sur le mur
Humeur piquante, rentre l'adrénaline, les phrases partent trop vite
Tueur dans chaque situation, l'homme éclairé par la dérive
Chavire soit disant en passant l'temps à prôner les joies de l'inconscient
Forcement, état d'être fait paraitre le regard et les mots autrement
Du rire au drame, mes sentiers et leurs fables laissent voler les émotions
Extraverti ou calme assis, j'fais mon autopsie sans contrefaçons
De nombreuse hyperboles, a croire que je ne m'exprime que dans l'excès
L'essai de la vie m'induit le soir à l'enduire de couleurs vives au pastel

C’est pas un mystère, l’planisphère ère dans une autre atmosphère
J’ai que faire d’un soi disant savoir fair médisant un savoir etre
Chere est la vie c’est pour cela qu’on ne me la bouffera pas
Chacun de mes pas, chacun de mes choix livrés aux aléas
Fallait pas créer l’argent si on ne sait pas l’utiliser
Piller hypnotisée conscience violée triste vérité,
Parité, faut en parler, on meurt tous a petit feu,
A chacun sa manière loin des regards envieux
Précieux en son cœur, cicatrices aux douceur
Cours le temps, un instant c’est perdu dans des yeux rouge

J’ai pas trouver Dieu, a dire vrai je l’ai jamais vraiment chercher
Pour autant, J’ai eu la tête plus d’une fois dans la voie lacté
La Voix roué, troué aux mains et la faim qui grogne le lendemain
Les peuples de la terre n’ont jamais aimé leur prochains
Que de bla bla en blasphème, la religion est source de débat
D’trépas à ici bas, les chants des bonnes sœurs ont pris des coups bas
Sous les bas fonds, les mauvais garçons par leur acte demande sanction
Ame sous fiction, larmes en perdition et armes à foison
Percuté en pleine carrure, persécuté de l’origines aux boutures
Courbatures en éraflures, sous nos yeux, des cernes en coupures
L’instant de vérité a oublié de sonner, les mensonges y songe
Tromperie et connerie, il serait temps d’y passer un coup d’éponge
Si j’ai pas trouver dieu, c’est pour faire d’envieux il me semble
Préférant planer et voir le monde de loin manière plus alléchante
J’crache sur personne, je ne cache pas ma propre personne
Une plume enivré qui dénigre tout et ses plaies qui se moissonnent