depuis ma naissance j'ai compris qu'la vie arrache les sentiments,
si vous savier s'que j'pense et s'te putin d'sourire j'le sent i ment,
face à ma daronne j'sais pas si j'dois crier j'taime,
j'la confond avec une bonne,je sais plus si ça serais le bon thème,
j'trouve le temps trop long,j'ésite entre la fugue ou la T.S,
mais de toute façon,a la fin d'ma lettre sa sera "jvous laisse",
j'suis plutot du genre sincère,
qui prèfere s'démerder et s'taire,
même quand j'flip j'suis toujours prête a aider ce qu'en on besoin,
sa fait parti d'mes principes pour les autres j'suis au p'tits soin,
i parait qu'on apel ça un grand coeur,
i parait aussi qu'ici on en meurt..

putin d'vie injuste tu m'as retirer l'amour maternel,
mais i parait que la famille c'est eternelle,
j'pense que c'est pas l'bon choix de dire "je t'aime" a un cerceuil,
pour assouvir ma souffrance, j'choisi la faciliter et j'le met sur une feuille,
après ton décès j'ai compris que la mort n'était pas tout à fait s'que j'voyais,
et qu'pour l'accepter,cétait plus dur que s'que j'pensais,
mais j'me dit qu'cest pas d'ma faute et j'baisse pas les bras,
j'garde la tête haute,et j'continu à croire en moi,
j'repousse s'qui fait mal,
et j'continu à garder l'moral..

i parait que s'qui n'tue pas rends plus fort,
donc désormais je n'ai plus peur d'affronter la mort,
mais je n'sais pas si c'est à raison ou à tort,
car il se pourrais qu'a 15 pige déjà mon ame ne fasse plus parti d'mon corps,
j'me suis fait mal ,mention suicidaire,
dans l'journal jf'erais une brève apparition dans la rubrique des ordinaire,
après tout j'avais rien à foutre dans ce engard,
la corde au coup ,les pleurs dans le regard..

on m'a toujours dit quand j'était enfant qu'il était jamais trop tard,
mais moi j'ai toujours dit que plus on atend et plus s'quon veut part,
et pour ce "je t'aime" j'suis toujours en retard,
c'est comme l'histoire du petit qui loupe son car,
j'suis souvent enfermer dans ma chambres, façe à cet ordi
ou seul alonger sur mon lit j'prend une feuille et j'écrit,
parfois à la fenetre j'prend une autre feuille mais celle-ci j'la roule,
j'l'allume et j'tire en traçant mon cerceuil et en essuyant ces larmes qui coulent,
j'dessen,j'choisi liqueur et jus d'orange,
j'met la dose et j'mélange,
j'passe le temps en m'noyant dans mon verre,
asise sur ce bord de toit j'cherche dans quel sens marcher sur cette terre,
dans un sens je pleurs,
dans l'autre j'meurt,
mais personne au monde ne choisi sa vie,
alors j'avance et j'me sert d'mes acquis
j'reste tapis dans le silence,
j'considère que grace a vous tous j'ai quand même de la chance,
j'garde le sourire,
même si un jour faudra bien partir,
j'penserais jamais a vous dire que j'vous aime,
sa sera une ereur et j'vous ferais d'la peine
car je sais qu' vous l'mériter,
et même de l'autre coter j'oublierais pas les moments passer...