soleil courbé,
nuage envolé,
verbe survoler,
décolleter de petit sein,
vice malsain au bout du saint
amen

pourquoi je suis con,
on dit que la vie est un dons,
mais dit donc quand king kong sonne le gong?
le temps passe,les journée son longue,
allonger,enfumée sur mon canaper ,
j'ai trouver le chemin pour le dévier,
la route est ardu,l'illusion me plait sur,
mais les blessure prenne de l'ampleur,
d'juda à jésus je suis un indivisible fantome,
j'bavane ma croix accrocher au couille

Orphée ton talent verbal me fais frémir d'amour
Même la rose a des larmes qui en coule sur sa joue..
Même ma femme a c'est roses qui lui coule entre les jambes..
Plus de sang que pour une révolution gravé dans la légende
Que de mainte façon, se traduise cette fable..
En un train d'imagination construit a des fin respectable

vestige ou prestige,
voltige ou haute tige,
sur un amas de pierre le tigre tapis,
la mort est l'ombre de la vie.

la nuit sous la lune tout me parait si paisible,
sans un crie dans la nuit,divan pour les vagabonds,
s'égarant à travers le temps,perdu dans un passer quelconque,
des bond du proche orient, aux bombe du tiers monde,
s'écoule les larmes de nos frère, nourrissant les racines des arbres,

la nuit sous la lune,tout parait si paisible,
tous ce nuis sur l'infini du huit,
la pomme roule t-elle parfois loin de l'arbre ?
perdu,semant des vers vers ma fin,
oubliant la notion du temps ou la fin des temps,
sur ma faim,ma soif, s'étanche ma folie.

l'inspiration traverse chaque respiration de l'être,
à travers la feuille qui tombe,
l'oiseau qui survole nos tête vide,
la mer qui remplie nos coeur avide;
la penser dépasse les lois de la gravité,
la nature est le temple de l'âme,
sans gardien,sans jugement,
elle existe t-elle qu'elle,
sans tremblement elle prend
sans amour,sans vision,
cent homme, sans lutte,
je ne sais ou je vais mais je sais ou je suis

La nuit sous la lune tout me parait si paisible,
je ne sais ou je vais mais je sais ou je suis,
au fond d'une capuche,je découvre l'allégorie platonique,,
sans avenir,sans ambition,une âme sur une partition

J'ai commencer à écrire le jours ou j'ai su que c'était soit tenir une arme est vider ça haine ou l'exprimer,pas une arme au sens propre,mais être sois même une arme,ou chacune des balle serais rempli de poudre à souvenir.

Le soir marchant seul,cigarette en bouche,
fessant du bouche à bouche aux souvenirs,
sortant d'un trou,trébuchant dans un autre,
le chemin faisant d'une personne semant des rêves,
née d'une semence,la première sentence sans audience,
clair comme de l'eau de roche traversant l'écaille d'un poison,
suivant le court d'eau en flottant,sans ce débattre face à la vie
parfois je me demande comment aurais était ma vie si j'étais riche,
chaque vie possède ça propre malédiction,
chaque vie possède son unique clée,
chacun ça niche,j'ai choisi l'univers.

j'aime boire,parce que quand tu boit,tu cesse de croire

je suis dans un centre,
autour de moi le monde gravite,
je suis le vestige d'un passer,
le prodige d'un futur passer,
je passe mon temps à rêver,
je finirais enlacer ou bien lasser,
finis le temps des nœud d'lacet,
aujourd'hui nos nœud son intestinaux,

minorité marginal,
les fils cacher du ciel,
s'abreuvant de lettre artificiel,
rêvant de toucher l'écume,
s'échouant sur une mers de bitume.

de arthur rimbaud

Assez vu. La vision s’est rencontrée à tous les airs.
Assez eu. Rumeurs des villes, le soir, et au soleil, et toujours.
Assez connu. Les arrêts de la vie. - Ô Rumeurs et Visions !
Départ dans l’affection et le bruit neufs !

J'essaye de faire une prose en ramassant mon vomi,
quelque verbe flotte est prenne symbole,
une cartographie des entrailles,
j'ai trop de mal, je me taille.

J'capture l'émotion des gens qui ce morfond,
de lourd peine profonde s’insémine dans l'fond d'une féministe,
une branlette le soir,le temps défile,je me déguise est d'un sourire s’esquisse la jonquille,
aucun dons,je marche dans une flaque de sang,regard nous, y'a que les yankee qui font un "strike",
on étale nos souvenir sur un futur inachevée,la fin c'est qu'on va tous crever "point";

Je reste,passe le temps,j'attend que l'savoir me tombe dessus,
finir sous les décombres, des hécatombe au catacombe, la Joconde prise dans une toile,
je tourne en rond...t'expliquer l'amour,quand à quatre patte le mille patte traîne de quelque patte,
on existe quand les sexistes exhibe leur Qi d'ivre sous la pluie d'givre,
j'ai cesser d'prier,un jours je cesserais d'respirer,
je suis seul,entourée d'gens seul,plus d'sincérité,
je périrais par naïveté,par mes propre frère,
loin de la vérité,je m’exile dans une nouvelle ère.

La crainte de l'avenir,
d'une bière dégoupiller dans une fourmilière qui ne cesse de roupiller,
et pour quelque roupie nous sommes accroupie par million devant les croupier,
peinant dans l'existence,éternellement insatisfaisante,fessant la sieste,prenant les restes,
injuste tirage au sort,ou nos âme ce forge dans les gravier d'or,
de soirée ou l'on boit ou l'on fume au choix de l’exécution silencieuse;

le piano ou les joie claque sur les touches au corde invisible,
de corps en corps encore poussiéreux par les temps des gens heureux,
dansant sur la mélodie entamant élodie puis d'autre dans un lit,
je finis cette écris,roule ma cigarette,et fume au ciel ouvert.

Je fuis la réalité,
tu peux le voir à travers le verre,
le costume que je porte,
ma clés et mes situation,
mes femme et vice,
je suis en dérive,
pourtant je le souhaite,
le mal nous convient au fond,
flemmardise dans la peau,
hantise dans l'âme,
je rabâche la même chose,
je bacle le tout,
t'avale et tu recrache.

les nuages font leur chemin à travers le ciel,
étendu sur l'herbe ou chaque brindille est unique,
les secondes dégringole,on ce rattache aux babioles,
babel ériger sur le sommet de nos vie,
un sonnets d'estropier,je zigzague sur les syllabes,
chaque fable me rapproche d'une fin,
sur la fontaine j'ai bus la bouteille de jouvence;

je noircie des feuilles blanche,
me déploie sans exploit avec espoir,
la nuit les même chien aboie,à tour de rôle il prenne la garde,
les jours ce répète, quand les uns répète ce que les uns on prêcher,
certain son proche du pêcher,d'autre percher,je reste et j'perce la couche d’osmose,
j'approche de l’oxymore,la vie,la mort,la dérive,le nord,les mains lier je m’aligne au bout d'une ligne.









l'esprit s'échauffe, les mots s’échafaude,
d'une improvisation les pulsion s’accélère,
l'imagination à son comble du paroxysme,
au compte de sisyphe, j'approche la catharsis,
l'épuration du vice à l'aide d'une plume.

poussière sur les temps d'hier,
repasser les souvenir passer,
oubliant les peine,étendu des plaine'plainte, vocifération des petits gens,
aux malheur des moches ou des beaux,tous des soucie d'être égaux,
l'ego d'un avenir d'ado ce transforme en névrose puis elle, elle rêve toujours de rose,
dans cette enclot peut de chose éclot sauf les cloque des ouvrier user par la vie d'pauvre,
infernal spiral ou les même cause engendre les même maux sans ouverture des maison close,
autre chose,oubliant le temps,passant vite le délai, un parti pour de moindre douleur réparti;

je souffle,lancinant,des mots qui s'entremêle au ralenti,
un coit sur un fond de jazz,je cogite fessant le tour d'mon bide,
chemin fessant,je m'enfonce dans l'apesanteur des penseurs,
et l'heure passe,les leurres s'avale avec des ptits beurre,
moi je reste et j'fais mon beurre,je finirais bien par être un des leurs.



aux bonheurs des petites pute,
aux bonheurs des petites pute,
vulgaire comme la beauté sur une toile de merde,
moi je souhaite juste être une étoile poser sur la mers,
rien que subir les coups des vagues sur le sable;

l'inspiration d'un cerveau avide,
j'aspire au néant des mots béant sous l'vide,
des contradiction,des dicton,Ovide mon rejeton,
vouloir ce que t'a jamais,l'espoir des pauvres' pré fabriquer,
pas une question d'argent,n'y de rendement,mais d'entendement,
je rassemble des fresques,je serais presque quelqu'un, dit moi que je suis quelqu'un,
pourtant je suis personne,ou personne me suis ou bien je suis personne en fin de compte ? qu'est ce qui compte;

j'amasse des fleurs de liqueur,
étendu le coeur tendu as tu entendu les crie des frere pendu,
les masque on des masque pourquoi démasquer le marasque,
elle ce cache dans c'est crie sourd'aigu des âme suspendu sur corde.

désoler si y'a de la confusion,faute ect, c de la pur impro la, je me suis pas donner la peine de corriger ect trop crever je précise juste l'histoire de protéger mon ego

un coup,deux coup,trois coup,
la tête s'aplatie contre le sol,
le sang coule et glisse sur les fissures,
la haine en chacun,tous observe,mais plus personne ne ressent,
cela pénètre ton coeur,comme une éponge qui ce gorgerai d'eau.