A la recherche d'une perle perdu,
enfoui dans l’océan,fouillant les fonds en scaphandre,
fuyant les gens ennuyant,les femmes tendre;
trajectoire d'une balle perdu en pleine poitrine,
Trop faible pour porter le glaive,
de la sève au bout du glaive,
traversant la foule,effleurant des lèvres,
assis sur la genèse,je caresse Ève,
soulève l’espèce,est les baises tous.

On vie,respire l'éternel,
mais l’éphémère nous embrase,
dans une brume perdu sans un phare,
les plages de sable trace est s'efface,
nos âme s'égare vers d'autre gare,
est l'horizon lui n'atteint jamais ça fin.

minable petit homme,affable,étalant les pieds sur la table,
quelque pétasse me faitl'as pendant que mes pensée se prélasse,
qu'importe, la lassitude me colle à la rétine,piétine la fourmilière;
fils du père,fils de la mère,fils de la vie,fils de .... ''''ermite des paradis

Femmes des arrêts de tram,
femmes des bar aux livres en mains,
femme au gros nibard,aux yeux avare,
elle apaise à chaque baise,
la vulgarité me pèse quand je parle d'elle;
mais la vulgarité même de leur bouche peut-être pureté,
je m'égare entre leur yeux,est croire percevoir un phare qui guiderai mes pas,
l'âme lourde,je parts loin,loin au fond de leur..... coeur,
est plus le temps passe,plus elle défile.

La fatigue me creuse,creuse,
qu'elle destin, mort, coule dans mes paumes,
tout est relatif même le relief de nos vie,
je compte plus les fief est les vallée d'homme paumé,
l'écriture dans ma tête,une berceuse pour mes yeux embaumé,
je regarde le soleil basculer et voit la lune sombrer,
des millions de cafard parcours mes bras,
et je continue de croire que la vie à un sens,
que l'amour à un sens,mais je meurs à petit feu,
chaque minute,chaque seconde est un événement qui trace ma courbe,
chaque soumission,abandon est une corde autour de mon cou;
Supérieur n'y inférieur à personne,
laisser moi loin de vos guerre silencieuse,
une vie simple est sinueuse,
un jours je me retirais dans les monts nuageux'

Je n'aime que les femmes,les saintes que l'on perverti,
l'alcool que l'on ingurgite,et je bouge ma bite en plein gite,
faut que j'arrête,mais je finirais vieux en un tas de cendre,
pourquoi je cogite,devenir con et souffler c dernière bougie,
alors je profite en essayant d'avoir le temps,le temps de poser,
le temps d'exploser,mais la vie explose et le cosmos se contracte comme un vagin,

quel destin,quel catin,quel alexandrin,hein à quoi rime de trimé,
à quoi rime de rimer'

Le ventre digère mal se matin,se lever de bonheur mais de quel bonheur on parle hein,
grandiose mes vers son virtuose,si je reste sur place j'explose,quelque verre est mon âme se repose,
les jours se suivent est la lassitude nous décime,peur du lendemain,rêve de finir dans la cime;

démarre le beat,holographique,
yolo anthropologique,legend anthologique,
je reste et passe mon temps sans logique,
l'horloge tourne.... mon temps s'épuise,
je m'en fou j'profite jusqu'à faire jouir cette pute;

le mal s'installe,
depuis le sein, le monde est malsain,
je m'installe est conduit les yeux écarquillé,
j'suis vrier viré et j'continu à boire et me ruiné,
nique les grandi éloquence,les élégance,éléphante mannn

le soir, je passe un doux moment,
les nuages,les dessein, d'un ciel obscurci par les nuits,
me promène d'un airs pommer,envoi tout bouler rouler,
puis je continu à rêver d'un instant,d'un moment,
pourtant le temps passe,et je ne voit que la nuit dans mon sillage,
perdu dans un mirage,je rêve d'un bout de verdure,d'un éclat pur

T'es qui hein t'es qui,
répond donc du tacotac,
la mort ma foutu un crochet de ringard,
je continu à être lâche,cacher dans un fond d'ciel,
un écrou,un verrou,sans issu dans la bouche du loup,
j'couve une infini d'plan,mais rien qui se termine j'sui fini'

Le temps est perdu,
je rêve de léviter mais j'sais qu'on peux pas tout éviter,
je suis pas un bon à rien,la vision des gens est étriquer,
à quoi bon causer,de toute façon l'effet à déjà fait sont ricochet;

Une petite maison en bois,une belle femme,
allonger sur un hamac,vision de terre neuf,de forêt vierge,
quelque livre et bière,loin du traquenard,de l'arnaque de se monde,
mais bon je suis bon qu'à m'exploser contre le temps....

J'ai vue dans l'amour une douce mélodie,
pas celui d'une personne à une personne;
le soleil sert de phare à tous les égarée des bars,
un ramassis de gens moisie,composant des sonnet cramoisie,
et je roule plein phare traversant l'asphalte,
et dans ma lancer j'ai vue le monde se balancer,
même si au fond j'sais que jamais je devancerai le temps.




L'écriture,l'amour,la penser, puis viens la confiture,
j'étale mes sentiments sur une tartine beurrer,
et je les regardes tous se leurrer,avec plein d'regrets;
plus je subis,plus j'pousse,plus elle crie plus mon pubis rougi,
n'y poésie,n'y rap,rien que des mots,
j'ai des trou dans la tête,les verres se balade à leur guise,fjfjerfaerjfazea
fazjafzeoaefjafofejafofae
efà
zejifzeof putain ça veux pas sortir

Que faire de mes journée,
j'écris quelque ébauche,
je me débauche et déambule dans les couloirs de l'embauche,
née pour ne rien faire,si tout était à refaire je referais rien,
vivre,lézarder,écoute du jazz et m'envoyer en l'air,
un ex riche devenu pauvre,drôle de karma laisser moi en paix,
berger était mon rêve,pour seul guide les étoiles,
aujourd'hui elle me scrute en se foutant de ma tronche,
si je pouvais les attraper avant qu'elle ne file,
pas de réincarnation possible,laisser moi éteint,
juste un sommeil éternel sans stress n'y querelle,
loin de tout les traquenard,de tout les gens veinard

La vie est courte pourtant je court à l'envers,
à travers quelque verre j'entrevoie les cieux,
je suis le fils cacher du ciel,pisse un arc en ciel,
j'attends que ma vie se dégraisse,de baiser une grosse pouffiasse plein de graisse,
chaque jours je régresse,y'a rien qui me dégèle,j'ai plus de zèle,je continu ma route vers l'oseille,
mais en vrai ma mort à déjouer l'éveille,somnambule lancinant,j'attends que le réveil sonne,
je suis personne,ne suis personne,mais quelque femme percute mon coeur et j'rêve de les perforer en pleine'chatte,
je rêve de vivre en pleine foret,loin de toute les dame,loin des fables et de mes agissement infâme

poser sur un canaper,
deux trois bitch au soleil,
je reste est contemple se boule de merveille,
pas de suite logique un autiste perdu dans la file,

j'ai vue l'encre s'accrocher à une enclume han,
j'ai vue la plume culbuter la plume,
j'ai vue des pute se prosterner devant un pieux,
j'ai vue des homme pieux baiser des mômes,

je suis en léthargie,
mes idée s'élargisse,
agir,s’assagir,mon dieu ou es tu,
on à rien demander ?
qu'elle et la trame de la vie,
qu'elle est cette dame qui ondule,
méduser par la vie....pisser dans un évier;

je ne peux plus me lever,
les rêves ont quitter mon coeur,
les mœurs m’assassine,les mœurs m'enlace,
ou est ma place,ou suis-je ?
qu'importe laisser moi crever la bouche ouverte,
atome,univers,infini fini,mon dieu ou suis-je,
bon dieu j'ai encore trop bue,
paradis artificiel,alice au belle fesse

" Lorsque étoile tombe sur terre pour renaître sous forme humaine et réaliser son grand vœu, on dit qu’un ange l’accompagne et veille sur elle toute sa vie, afin de la protéger et de l’aider à trouver sa voie. Il s’agit de l’ange gardien. A la naissance de l’enfant-étoile, l’ange se penche sur son berceau et lui effleure les lèvres d’un doigt en lui murmurant : « chut ». As-tu remarqué ce sillon vertical que chaque être humain porte entre le nez et la lèvre supérieure ? C’est la marque de l’ange, l’endroit précis où son doigt s’est posé. C’est un sceau que nous portons tous aux lèvres, et qui nous interdit de révéler à autrui notre mission sur terre, notre vœu d’étoile. Le « chut » de l’ange est là non pour nous censurer, mais pour protéger notre secret. » "





On passe tous notre vie à être des spectateurs,
que dieu me protège de mes détracteurs,
j'ai peur,la nuit couvre mon âme,le goudron enlise mon cœur,
lèvre blême,les problèmes et la vie de bohème me plombe,
sur ma tombe il n’y aura que des chrysanthème.....


Donne moi la bouteille que j'oublie j'oublie,
l'ange tomber du ciel,n'a laisser aucun  sillon  sur mes lèvres,
donne moi la bouteille que j'oublie j'oublie,
l'ange tomber du ciel,n'a laisser aucun sillon sur mes lèvres;

Hors de zion,battement en pleine émulation,
dans quel simulation mes baiser émule t-il,
pour un manque de nicotine je pourrais égorger un porc,
drôle d'homme perdu entre vice et vertu,laisser moi la folie,
étaler ma bite sur une toile,partir parmis les étoiles,baiser le monde voilé.

Prend ton temps pour écrire....mes mots fuse dans un esprit confus,
enseveli par l'infini, j'ai pas finis de me lever,de m'élever,
des chiens comme maître,non domestiquer,j'évite les dogme,juste qu'on me l'astique jusqu'à l'aube,
quel daube t'écris,combien de temps pour un verset,une traverser hein combien de temps,
combien de temps je continuera à rêver,combien de temps ils continueront à crever;

la vie une pulsion,un battement,
l'improvisation une vision brute,
s'étaler sur la neige et voir c'est trace disparaître,
être une goutte se fondant dans l'océan
l

*hifi


On peut belle est bien vendre son âme au diable,
soif de puissance démesuré,le vice me couvre de perle,
jouant avec 108 pierre,buvant mille est une bière,
il tourne tourne,attendant que je cède cède,
le ciel s'effondre,je lis en vous comme dans la bible,
et le mal m'habite toisant le peu de bien qu'il reste,
n'y famille,n'y amis seul je dévie la trajectoire du soleil.


Tout me tombe dessus,
comme un ange déchu ayant déçus son créateur,
je perçois la lumière seulement au bout du goulot,
quel destin dieu me réserve de c'est deux mains*
qu'il me préserve d'aller la ou aucun n'homme n'est aller encore,
dans l'abyss sinistre sans fin ou la soif de faim est sans fin