C'est moi qui le pense,
Mais la plume qui l'écrit,
Ma feuille donne un sens,
A l'encre qui le dit,
La goûtte naît de sa plume,
Qui pleure au dessus de son mouchoir,
Pour mourir en écriture,
Et donner son espoir,
Un petit bruit qui m'inspire,
Qui déchire le silence,
La plume écrit son histoire,
Comme pour redire son enfance,
Je continue de penser,
Mon amour,
Elle continue à le dire,
C'est devenu mon obcession,
Je ne peux plus m'arrêter d'écrire,
Maintenant que j'ai tout dit,
Je dois marquer l'adresse de mon paradis,
Il peut partir faire sa route,
Ce petit mot d'amour...

j'aime ma plume
elle s'abime au fil del'écriture
je la soigne pour éviter la rupture
l'encre se pose sur le papier dure
pour donner des formes douce
et si mon cerveau je pousse
je lis j'écris les petites pousses de talents égaré
j'arrive à retranscrire ma pensée
j'aime cette passion passionnée
et donc j'aime l'objet
qui donne un petit sens à cette triste réalité
je ne suis pas la pour un sens redonner
mais plutot pour lui dire qu'elle me sauve et qu'elle m'a sauvé
la plume tendre calme ce fauve
la plume m'obsède je l'aime
c'est du pareil au même
ce petit poème pour remercier la plume d'anestésier mes problème

Sympa mais un grand manque d'imagiation et de créativité !