Ecoute bien se son car la mélodie écorché saigne à flot,
Faute à des lyrics remplis de haine qui me rende aphone,
Fauve dans une jungle où l’homme ne devient personne,
Te pistonne pour faire gindre oubliant que la paix s’donne,
Sur le perron des petits attende une mère bientôt absente,
Amante d’un père espion sous pierre tombale ou l’âme s’sent,
Septembre dans les pensées car tout finis par s’effondres,
S’estompe les cendres mais encore présent les faits et ondes,
Les rêves se fondes de revoir un proche en face de sois,
Dessus de s’émouvoir devant le miroir a voire son siamois,
Sa voix brille dans nos tympans comme l’or à l’eldorado,
Elle dors à tord mais au paradis avec des ailes d’or au dos,
L’hosto envahi de victimes dont la vie est un combat,
Le cœur bat faiblement sous le choc bientôt dans le coma,
Corps là mais dépouillé par l’impact d’un suppositoire de fer,
Histoire de la génération attentiste où l’on attend le feu vers.
La fureur de s’écraser sur un bâtiment pour inscrire sa croix,
Rois d’une frayeur dans une population ou l’oxygène s’accroît,