Je vois des hommes avec des ombres au tableau,
je vois des actes ignoble,sur le sol des tas d’os…
Je vois des miroir brisés, qui frisent l’éclat de rire,
Satan a voulu m’faire la bise, j’ai dit : arretes tes anneries !
Mais je l’répète mon ame est triste, j’regarde couler ce rouge vif,
Tel une brillante améthyste, j’regarde danser ce clown triste,
Cherchant ma place tel un métis, moitié créole moitié chanteur de country,
Je cherche ma voie comme une issue mais j’suis l’noyé du bounty,
Esclave de ma lucidité, j’ai qu’un essai, le bon tir,
J’suis comme la batte Lucie, efficace si tenue par le bon tueur,
Mais j’ai un grand coeur, un espirt vif, à bon entendeur..
J’ai pas d’pitié de ces infames qui possèdent tant d’or,
Les cr rom de zanworth, il te viol mais d’abord t’endorts,
J’me sent masqué comme zorro, j’voudrai les priver d’tant d’air,
Haine de ces tendances… comme décrire la violence de ces ténèbres,
J’ai démarré doucement mais tu sens déja monter tes nerfs,
Je viens démasquer les imposteurs, les Yuri geller,
tu pourras t’branler sur un poster, étudier mes vers,
Convertir les aposta, crochets soudés aux verterbres,
Ils ont hurlé : Jordan t’es mort ! Eux m’verront pas v’nir même dans l’angle mort
L’ange de la mort descent sur terre, j’vais leur parler dans une langue morte,
J’enfile ma soutanne et mes sandales, la sentence est la, s’amorce,
Sortie de la grotte de Platon, j’suis pâré j’ai l’armement,
Concentre mes pensées en lettres, j’évite que mes larmes montent,
J’évite les paroles en l’air, j’évite que ma plume me mente.