Posé depuis je ne sais combien de temps le regard vide au même endroit/ Lové au bord du gouffre le teint livide, songeant au trépas/ Oubliant qu' à force de le fixer il fini par en faire de même, voulant insinuer la peur dans les tréfonds de mon âme/ Mais il ignore qu' en Enfer j' y suis déjà, d' ailleurs ma peine en a refroidie l' air, éteint les flammes/ Dans ces temps où tout va mal, que la tendance est à l' abandon je me surprend au laissez-aller/ Pourtant considéré comme résistant, à force de souffrances j' ai fini terrassé, la gorge sèche, j' en ai perdu le goût d' avancer/ Alor que je sais pourtant que c' est quand on prend des coups que c' est le pire moment pour flancher/ Aveugle.au cjemin devant soi stop, ignorant l' espoir qui repose de l' autre coté/ J' me sent un peu comme pauvres chercheurs d' or lessivés d' avoir creusé des heures dansl' espoir de se remplir les poches/ Finissent par rentrer dépité au point d'se finir à l' alcool, soulangeant le.bar de c' qu' il rest de scotch/ Pauvre type qu' on eetrouvera au p'tit matin spus un drap pour in verre de trop/ Laissant sur le carreau femme comme mioche/ Ignorant tout du tout autre deston qui leirs tendais les bras, dame Fortune demeurée en effet sous un ultime coup de pioche/ Mais bon laissons une chance au dicton, voir si la nuit porte vraiment conseil/ Bien sur rien ne va s' arranger mais peut être l' humeur sera t' elle meilleure au réveil/ Comme le crépuscule qui apaise en fin de journée et son opposé juste avant que le soleil ne remplace sa soeur/ Ces 2 moments mon toujours semblé magique et hors du temps un leu comme un ailleurs en admirant cette singulière beautée, se laissanr aller à rêver à des jours meilleurs/ C' est peut être ça qu' une ex amie disais sans que jamais je comprenne quand elle parlais de mimétisme du bonheur.