Mon cher ami vous n'êtes points à la hauteur !
Aussi exquis soit vos propos, ils ne sont point de grands révélateur...
D'un quelconque accomplissement, simplement d'une pedanterie à nul autre pareil !
Votre anéantissement sera salvateur, celui de notre belle langue et son réveil
Car j'ose le dire, non sans malice, vos vers sont sous terre, sans merveille !
À l'éveil je vous incites par quelques piques, qui vous torturerons jusqu'à vermeille !
Votre manque de respect ne m'émeut point, il n'est que le révélateur de vos lacunes !
L'homme inconstant et perdant ses moyens comme vous-même, ce noie en rancune !
Vous êtes un butor, un amuseur, un plaisantin qui n'amuse nulle gallerie !
Vous n'êtes  qu'un butoir, un barbare qui fait passer pour civilisé les autres barbaries !
Un grossier personnage à peine moins grivois que le Marquis De Sade !
Votre médiocrité nage, dans le stûpre et la fange des caves d'ambassade.
Vous tutoyez les rats avec une complicité qui rendrait jaloux tout homme de courts.
Vous vouvoyez les rois avec duplicité, qui ne trompe point même les sourds !
Votre grossièreté ne sera points impunis, vous saluerez la potence !
Vous le savez, cette longue corde récompensera votre esprit d'impotence !

Vous n'êtes qu'un sot, marqué du sceau de l'infamie
Un faux, qui a plus de défauts qu'une arme enraillèe d'infanterie
Vôtre faussetée n'a d'égal que votre laideur
Dans laquelle vous vous vautrez en grande candeur
Vous n'êtes qu'un grand scandeur de fausses rumeurs
Un futil jacteur, fût-il utile de mettre sur vous ces projecteurs ?!
Vous ne laissez nul personnes indifférentes du fait de votre bêtise
Vôtre plus grand alliage sonne de la résonance de mil sottises
Mil merci de me laisser ainsi votre buste verbal à ma merci
Et même si je vous butes sans hautes luttes, la plèbe m'en remercie
Vous n'êtes qu'un baveu sans honneur
Un rampant hargneux, qui rendrait honorable le déshonneur
Vous n'avez rien de remarquable, si ce n'est ce talent pour la traîtrise
Vous ne seriez jamais capable d'égaler ma maîtrise
Vous n'êtes qu'un reptile inoffensif et sans venin
Marqué de troubles érectiles et d'attributs phallique de nain.

Vous n'êtes qu'un imbécile de plus à mon tableau de chasse
Les allures d'une fille facile au regard peut chaste
Un ringard docile aux poignées de mains flasque
Un être vile, au magistère de tête à claque
Vous demandez audience mais pour ne rien formuler
Vos doléances sont digne d'un prêtre defroquè
Un menatte, un perroquet, un paltoquet aux analyses tronquées
Un amateur qui dilapide sa mitraille dans des sales troquets
Qui vilipende à qui ne veut l'entendre sa vie privée, sous la boisson abusé
Qui fini allonger sur les boisseries de la brasserie à force de trop brassé
La picole facile vous ne cessez de l'embrasser
Votre ridicule est connu de mils audiences embarrassé
Vous ne conquererez nul audience malgré vos rodomontades embrasès
Vôtre manque de convenance, qui vous convient, j'en conviens, en vient à nous  indisposez
Vôtre hystérie de catin délabré sous cacheton, bien que braillarde, ne dégage nul virilité
Vos manières de pourceau, ne sont nullement celle d'un gentilhomme de qualité

Ce grand bavasseur n'a cessé de trépasser
Dans cette histoire sans rancoeur vous ne serez qu'un trait de passé
Vous n'avez rien de sage, vous ne survivriez à nul climat
Vôtre rime de coprophage, à un musc fatal, pour tout odorat
Vôtre corp ce décompose face à ma rime comme toute chose
Oui j'ose... Dire que vous n'êtes qu'une chose, au style sans osmose
Quelque rares flatulences délicate, seront votre seul apothéose
Apprêter je pose, ici mils interrogations aux amoureux de la prose
Pourquoi cet individu ni austère, ni sage ce présente comme tel ?
Vôtre attitude n'augure nul mystère,manque de pudeur en vernissage dans ce cocktail
Finissons en de cet ouvrage, qui est de vous achevez
Vôtre cadavre à la merci de ce système anthropophage, avec nul chevet
Pour vous car vous ne le méritè pas, vos mérites sont d'enfreindres
D'emprunter ce qui ne vous appartient pas, à des poètes qui écrivent sans feindre
Vous remontez aux Racines de Phèdre, ignoble catin d'âge mûr
Je suis plus solide que les racines du Cèdre noble, vous n'êtes qu'un arbuste à fioritures

Cesse de croire en la victoire, tu n'es qu'un exutoire
Tu mourras au champ sans gloire, mais à Auchan déguisé en Magloire
Robespierre de salon ton illustre ardeur n'inspire nul terreur
Tu n'es qu'une erreur qui s'attife de traits d'empereurs
C'est pas vos faux sceptres qui feront de vous un roi
De vous à moi nul sceptre d'Ottokar pour vous si ce n'est celui d'un tocard aux abois
Vous admirez la victoire sous les traits d'une effeuilleuse, la voir sans la toucher
Ne pouvez l'avoir ni la toucher, à moins que dans le noir vous ne l'attouchiez
Contre toute règles de bienséance sous l'empire de la malveillance
Vous êtes la malveillance en pure, avec vous la malaisance s'empire
Vous êtes l'empereur de l'an pire, celui sous qui tout empire:Napoléon 3
Vous faites des bises de marques, pour sucotè les bourses de Bismarck
Vous sursautez, de votre traîtrise comme les élites françaises pactise à l'ennemi
Là où peuple ce bat vaillamment face aux fuyards de Varennes sans compromis
Vôtre destinée ce trace au compas même si vous croyez encore la terre plate
Moins plate que votre compagne, qui avec les garnisons essuie les plâtres

Vous parlez de mines d'argent,là ou la mienne est en or massif
Vous n'êtes qu'un agent de cette mauvaise poésie aux allants excessifs
Abus de figure de styles,pour en dissimuler le manque
Le doute s'instille dans vos pupilles en voyant l'usure de votre encre
Une inefficacité flagrante,le musc de l'incertitude comme fragrance
Une répartie navrante,dissimuler derrière une peur maquillé en insolence
Vous êtes à l'hiver de votre apogée et de votre créativité
Vos plus beaux été sont un passé , une nostalgie,d'un talent devenu inactivité
Les défis qui vous enivrez autrefois , ont été rattrapé par l'usure de l'âge
ça n'est pas la première fois,que le réel vous conseils de devenir sage
Déroute après déroute,votre Bérézina est moins Napoléonienne qu'Ukrainienne
Votre plan de route,c'est de rester sur le bas côté,en attendant que le trépas vienne
Et si vous croyez que je loue la Russie,vous commettez moult erreurs de Parallaxe
Aucune analyse ne vous réussies,je dirais surtout que l'OTAN est un impérial Axe
Loin de moi l'idée de loué des psychopathes aux accents cosaques,je m'occupe des miens,taquin!
Ceux qui salissent la langue de France qui m'épate,en annihilant McRano le faquin

Ma culture est à nul autre pareille, la votre est nul , sotte , à baliverne
La caricature est votre appareille, mais elle est autoportrait qu'ont vous décernes
Je vois que vous avez pris du temps obséder à potasser ces logorrhées malsaines
Vous perdiez votre temps pendant que je potassais mille pages pour travailler, et m'assurer vie saine
Je vous rends hommages, non pour votre talent, mais votre acharnement dans la disette
Car c'est dommage, même si je note le courage de revenir après autant de défaites
Vous ne troquerez jamais la belle défaite, contre quelconque victoire
Votre panache ne souffre nul dette, mais vous finirez par disparaître instable tel le Directoire
En cela vous êtres comme Cyrano c'est vrai, vous avez du panache juste avant le trépas
Nul armée de lettres que vous lèverez ,n'empêchera que vous me servirez d'amuse-gueule de repas
Vous admirez la beauté des choses, car on admire souvent ce qu'ont ne peut avoir ou toucher
Vous prenez des aires de fauves , mais vous n'êtes qu'un chaton qui couine par manque de lait
Vous ne pourrez vous défaire des fardeaux de vos déterminismes, tel la consanguinité
Plus têtu qu'une mule ou qu'un bardot , vous n'êtes guidable qu'à la carotte comme ces équidés
Vous serez liquidé pour vos propos, en millisieverts votre bêtise irradie par vos kyrielles des contrés de façon très forte
Votre allure de légume fait ,que je me contenterais de vous dépeindre inspiré ,comme ont peint une nature morte