Salut la compagnie
petit 32 mesures que j'avais songer placer en guise d'outro
J'crois que je vais faire un break, plus écouter d'instru
Cet outro c'est mon intro, y entrée, sortir de la ou c'était trop
Sortir de la ou c'était traitre, la cause de mes nœuds
Elle expulse mes meaux, mais relire ces mots c'est douloureux
Peu étre que je reviendrais sans ressentir le besoin d'être intimiste
A terme, imagine un monde ou je sort des sons optimistes
Dans ma lutte, j'ai pas senti certains appels du pied
A peine du-per dans ma chute, j'ai gâché certaine amitié
Cet outro c'est l'entrain, en train pas a pas de sortir du trou
Plus mon sablier s'écoule, ma mine avance, moins je ressens les coups
A présent, je veut écrire mon propre Fernand Nathan
Apaiser, j'veut ouvrir mes désirs en enfermant l'attente
J'invite mes ennemis a table, j'ai trinquer le poison avec hier
Avant de péter un cable, apercevoir la lumiére
Assez de prendre ma progéniture pour de la crème solaire
Assez de côtoyer ces zéros sans avoir leur même salaire
Cet outro c'est salé, c'est ca l'air, mais ca y es, c'est sincère
Les yeux d'vant l'feu rouge, au cieux le cierge de me mettre au vert
Lasser d'user de ruse pour montrer sans dire mes sentiments
Avoue, t'a craqué la dernière fois que tu t'es senti moi
Saouler par les aromes néfastes que je stock al'
J'deteste étre mal, j'en ai besoin, syndrome de Stockholm
Adulte trop calme, sans projet, sans protocole
Produit local de l'ennuie, des souvenirs en autocoll'
Moi qui avait pas envie de long discours comme aux oscars
Cet outro c'est l'espoir, le comme qui dirait laisse croire
J'connais pas mes classique, trop classique donc personne me connais
Sous plastique de mes classeurs, la noirceur de mes tracer
Une flaque de poussiére, une existence de larmes
Si peu de choses a dire, tant de choses a faire
Tant de roses a terre, transpercer comme le signe du dollar
Si peu de cause m'attire, a part l'applause de Père et mère
Dorset