Est-ce que c'est ma faute ? Que j't'aime à tort en t'le criant par sémaphore ?
Faudrait qu'on s'mette d'accord et puis qu'j'arrête avec ces métaphores
Que j'sème aphone... Et même si l'eau d'rose s'évapore
J'espère toujours que ce chemin d'croix n'est qu'un schéma faux
T'es mon hémisphère, avec toi j'ai l'Q.I d'une Jennifer
Un jour tu verras mon coeur brisé rubrique faits divers
Alité en plein hiver, j'écris une lettre anonyme élitaire
Pleine d'allités qui rendront haletants ses émissaires
Peut-être la lira t'on en Tunisie, la trouvera-t'on athénisée ?
Ou bien futile comme stériliser l'aiguille de l'euthanasie ?
En feras-tu l'entonnaison en tenant ces mots comme un frêle espoir ?
A moins que tu ne cèdes pour un profane doté d'un bel espar
Mais en l'espèce l'espace d'un instant rêveur
Me laisse penser qu'en transgresseur de la logique mon auspice me laisse veilleur
Et vecteur en ces heures nocturnes d'un genre de ferveur posthume
Qui postule auprès d'ma plume pour obtenir un costume