Il m'arrive de voulour m'adosser contre un arbre,
d'imaginer sentir la roser du matin, d'oublier ce corps.
De vouloir m'en aller, en regardant le soleil ce lever.
Eclairer une derniere fois mon visage,
eclairer les herbes vertes,
entendre chanter les oiseaux, sentir mon corps ce rechauffer.
De laisser mon souffle partir,
de laisser mes yeux se fermer.
qu'y a t-il a comprendre, la cruaute des hommes m'epuises.
Sous alcool, j'oublie de regarder le ciel, j'oublie d'aimer.
ton visage ma apaiser, mais ce monde nous a tous baiser,
je me sens ingrat, car ma vie n'est pas pire que la votre,
il m'arrive de vouloir cesser de vivre parmis les notres,
nous nous aimons, mais l'amour nous sauvera t-il de tout ces pieges.
nous nous aimons, mais l'amour nous sauvera t-il de la corruption.
J'ai une soif de pouvoir,
j'ai menti tant de fois,
j'ai etais miserable tant de fois.
Il m'arrive si souvent de rever, de l'enfant que j'etais.
Nous n'avions jamais connu l'amour,
Enfant nous pleurions tant de nuit,
pourquoi etions la, pourquoi n'etions rien dans leur yeux,
qui suis je aujourdhui, qu ai je fait de bien en cette vie,
j'aimerai etre cette etre sur le quel vous vous adosserai reposer,
que mes mains puise vous apaisez, que mes larmes puise vous geurir,
que la haine, la basses disparaisse, que tu puises m'aimer sans en payer le du.
Pardon, dieu que cela n'est rien, arriverai je a bon port, me suis je egarer pour toujours.
Nous nous sommes perdu dans cette univers, nous ecrivons des vers comme dune bouteille a la mers, sans je est ce que j'existe, sans eux est ce que j'existe