[center]j'm'abîme seul mais masque ma peine en compagnie d'autrui
attend toi à l'être aussi si tu franchis l'seuil de ma vie
pour les autres un sourire faussé habille mon visage
froissé et sans teint comme un vêtement terni à force de lavage
j'm'efface et reste discret je me tient droit en société
fin j'essai car tellement imbiber qu'ça deviens difficile à cacher
et plus j'écoute ce qui se raconte plus l'fossé s'creuse
que du blabla d'comptoir, des discussions stérile et morose
ça m'file la gerbe, plus que le sky qui m'enivre du matin au soir
de plus en plus de mal à faire illusions dans tout ce foutoir
j'me sent différend de cette masse composé de pion interchangeable
et plus ça ce prononce plus j'embrume, les cadavres s'aligne sur la table
j'dévoile ce mal qui habite mon être à la poignet de proche que j'ai
on s'entraide et se soutient pour pas crever et continué d'avancer
certain même me rendent optimiste et donne vie à ce rire de façade
il es de ces gens qui rendent heureux meme par une simple accolade
ce genre de personne qu'on ne rencontre qu'une fois dans l'existence
arrivé par hasard et qui à force de, devienne la plus grande importance
je changerais pas de vie malgré tout ces défauts et son lot de souffrance
ces rencontres m'ont construit et je suis conscient de cette chance